Citation :

Farpaitement Dame Cristale, suis une bande de pouèmes à moi tout seul!

Bonsoir hersen,

Tu fais exprès de jouer avec mes émotions hein ? Tu sais bien que cette chanson pénètre ma chair, mon coeur, mes tripes...Rhaaaa !!! Mais quel plaisir de l'écouter encore et encore.

Tu as découvert le premier opus alors que tu étais p'tite nouvelle sur Oniris ? Mince alors, ça me rajeunit pas

Mille mercis pour tout, et pi c'est tout, chut ! j'écoute la chanson.
Waouh ! J'ai des frissons dans les cheveux...

Ah! Sieur Pouet,

Vous êtes le seul pouème qui n'a jamais été copié, tellement inimitable que la création pouétique n'aura jamais d'égal. Voilà. C'est comme ça.

@Larivière (beaucoup + )

Beau travail sur fond et forme, une riche recherche prosodique qui n'étouffe pas l'émotion mais la transcende, que demandez de plus à un poème ?
Les vers font mouche et touchent le coeur...
Merci pour cette lecture et bonne continuation !


Bonsoir Larivière,

C'est avec un grand plaisir que je découvre votre commentaire.
Vos mots ainsi que vos appréciations me touchent beaucoup.

Au plaisir de vous lire...je vous lis moi aussi

Cristale

Ah, vous êtes aussi unique et inimitable Dame Cristale...

Peut-être que nous nous copions sans cesse, nous-mêmes je veux dire, comme si nous pouvions être en phase avec ce que nous croyons être ou projeter.

Quant aux mots jetés ou déposés, pâle reflet de nos pensées, copie ratée de nos sentiments, ils se font tout de même béquille s'enfonçant dans la terre meuble des représentations, des illusions.

L'unicité en traduction de nos multitudes.

Chère Cristale,

c'est toujours un plaisir d'avoir un retour sur retour. Je sais le temps précieux que cela nécessite alors ici , après un tel déluge de commentaires...
Pour tout cela, mille mercis Marchesa ^^
ET pour le reste, avant de viser Cannes, moi il y a un autre tapis rouge et d'autres marches qu'il me tient à coeur de fouler à nouveau.
You see what I mean?

Vous dites fort bien Sieur Pouet avec vos mots pétris de surréalisme.

Avec les miens, plus classiques, je peux vous avouer que je passe mon temps à courir après mes propres hologrammes au point que je ne sais plus distinguer mon "être" de mes "maltipare-être".

C'est pratique pour accepter des invitations en plusieurs endroits différents le même jour à la même heure pour ne vexer personne mais je crains toujours que l'une de me représentations n'étalent les copies ratées de mes sentiments en récitant quelques brouillons de mes poèmes ou bien qu'elle dégage sur les convives les pâles reflets de mes pensées sans la moindre vergogne ce qui mettrait un terme à de longues amitiés en me faisant passer pour une quiche.

Être soi est un métier ad vitam æternam quant au salaire, c'est souvent celui de la peur de nous-même.

Ah ! cher Sieur Pouet, nous sommes si peu de chose alors "L'unicité en traduction de nos multitudes" (je vous cite) ferait bien le titre et le thème d'un poème de votre stylo plume.

Chère myndie,

Yes I see et je loverais tellement que tu voles above the tapis rouge pour offrir, tout en haut des marches, à la foule en délire le fruit de tes scénarii poétiques.

@Marité (passionnément)

Voici exactement ce qui me séduit dans la poésie classique, une simple lecture nous offre un ensemble complet et harmonieux entre la forme et le fond. Ce poème est un délice à savourer en relecture ... tout est exprimé et ressenti par la lectrice que je suis sans heurt, gêne ou incompréhension. Merci pour ce moment poétique offert.


Bonjour Marité,

Je suis heureuse que vous ayez apprécié votre lecture ainsi que la forme utilisée.

Merci pour votre agréable commentaire ainsi que pour la haute notation attribuée à ce poème.

Au plaisir de vous lire,
Cristale

@ Inconnu1 (passionnément)

Une absence, une si longue absence. La mienne, désolé mais finalement lorsque les autres font tout le travail en commentant, je peux cultiver ma paresse naturelle.
Bien sûr que ce poème, le 3eme de la série, est aussi réussi que les deux autres : l'attente et une si longue absence. Entre Francis et François, il n'y a que un o qui change, celui de l'étendue marine qui a englouti le marin breton.
Mais ces poèmes sont ceux que je préfère dans toute la série de tes poèmes emplumés car ils sont beaux comme un tableau de Mathurin Meheut

Bonjour poète Inconnu number one.

Je remercie ta "paresse naturelle", je te cite, de s'être oubliée pour te permettre de venir m'offrir cet adorable commentaire.

Je suis allée chez Mr Inter Net et son guide, Mr Google, m'a fait découvrir les oeuvres de Mathurin Meheut, alors j'ai compris le rapprochement que tu fais avec mes petites historiettes poétisées.

Un grand merci à toi pour tes mots déposés et ta haute appréciation.

Au plaisir de te lire.
Cristale