Alors donc je remercie le CE et plus particulièrement les correcteurs car j'ai remarqué après coup évidemment que j'avais laissé quelques grossières fotes d'ortografe qui n'est pas forcément mon fort.

EtienneNorvins: ah bon c'était moi, ah... sûr?

socque: désolé si mon texte vous a transmis la surdité...
Mais je pense être encore plus sourd que vous car pour moi les quatre récits poétiques ont peu ou prou tous le même rythme. D'ailleurs je n'écris quasiment pas autrement la prose. Un procédé dites-vous? Certainement, mais alors spontané et inconscient.

papipoete: faut pas se faire du mal comme ça. Allons, presque trois mille caractères d'une aile à tire-plume qui dérive, c'est pas sérieux, ménagez-vous!

AnnaPanizzi: "épuisé ou lassé", comme vous y allez. Non, je conserve ma lassitude et mon épuisement pour l'existence, pas pour l'écriture.

StephTask: vous parlez de Damasio, comme un autre commentateur d'ailleurs, je devrais peut-être lire celui qui me copie...
Et rassurez-vous, je ne comprends pas ce que j'écris non plus.

pieralun: oh, c'est la première fois que vous me commentez, non?
Petits êtres translucides oui, farpaitement!

Cristale: toujours un honneur que d'accueillir l'expression de votre ouverture d'esprit et de votre sympathie.

Vincente: tout est description, tout particulièrement dans ces quatre récits pouétiques. Sinon à partir du moment où c'est un humain qui crée, l'humain y en a aussi, c'est comme la prune!

Cyrill: pas loin pour les Playmobil, vraiment pas loin, mais non. Ce sont des clones miniatures de Mireille Mathieu; inutile de préciser que leur air préféré est 1000 colombes...

Vert-de-gris : je comprends, moi c'est pareil, dès qu'un vélo fait pouet pouet je réponds "oui chérie j'arrive!"


Et bien sincèrement un grand merci à vous 10.

Ah ah j'adore^^ Enfin je veux dire, la façon que vous avez de retomber sur vos pattes, je suis carrément admirative.

Je vous comprends AnnaPanizzi, je l'admire aussi énormément.

hersen, j'ai bien pensé à les présenter en une fois mes êtres élémentaires, mais je subodore que je n'aurais alors guère dépassé les 50 lectures. Tu imagines bien là la terrible crise existentielle que j'aurais ainsi infligé à mon ego...

Merci à toi.

Oui, Pouet, je comprends, on touchait alors le cinquième élément : Le vide.

Pour le cinquième élément faut choisir entre Bruce Willis et Empédocle... Milla Jovovich ou la quintessence...

Sinon pour les bouddhistes, il y'en a six des éléments dont:

Vāyo-dhātu (vent)
Ākāsa-dhātu (espace)
Viññāṇa-dhātu (esprit)

Et dans la culture chinoise, pour les cinq éléments constituant le Wuxing on peut voir flotter l'élément Bois (pinyin)

Ou alors y a les rillettes du Mans, sur une tartine grillée, c'est bien aussi.

Milla elle même peut se décliner en deux éléments :

"Oto-ouache" et "moultipasse"

Salut Eskisse, oui le vocabulaire... volontairement "technique", "précieux", "ampoulé" ou "qui s'la raconte" comme on voudra, c'est pas forcément mon habitude, mais là je l'ai voulu ainsi. Sans doute dans une optique de précision dans la description, définir au plus près le réel dans un contexte irréel, fouiller le flou, un truc comme ça.
Et puis le sens des mots tu sais, c'est très surfait.

Merci.

Oui c'est bien connu que tu t'la racontes!:)

Mouais, je ne sais pas. Jamais évident de savoir vraiment. De se farfouiller en-dedans. Entre ce qu'on veut faire paraître, ce qu'on croit faire paraître, ce qu'on croit vouloir faire paraître et ce qui est perçu par les uns, les autres. On a la représentation de soi qu'on peut sortir de temps à autre, en société ou devant son miroir, peu importe; on a ce qu'on projette d'être sur le moment ou dans dix ans, on a le reflet dans le regard de l'autre, ce qu'on sait de nous et qu'on tient à distance, ce qu'on semble entrevoir, comme une espèce de versatile continuité, de ça dépend.
On a surtout ce qu'on ne saura jamais.

En tout cas, moi,je ne perçois pas une once de "pèterie" ,tu donnes plutôt dans la contrepèterie....