Il est impossible de se mettre dans le mental d'une personne de quatre vingt quatre ans ce qui est mon cas, l'imaginaire abouti à de tristes clichés genre si je pouvais avoir seize ans etc etc, je suis très loin de tout ça et encore en pleine création, il est regrettable que tout le monde prenne la vieillesse comme une maladie à montrer du doigt comme un cancer ou un handicap, c'est le lot de la société et vous ne vous en distinguez pas

"Il est regrettable que tout le monde prenne la vieillesse comme une maladie à montrer du doigt comme un cancer ou un handicap, c'est le lot de la société et vous ne vous en distinguez pas."

Comme quoi, vous n'avez absolument rien compris au texte

Et puis si ça vous plaît d'être vieux, c'est votre affaire, mais ce n'est pas le cas de la majorité des gens âgés avec lesquels je discute souvent.

Toujours tout en finesse je vois, il ne s'agit pas que ça plaise ou pas il faut faire avec, tout le mondes vieillit depuis sa naissance ce n'est pas un sujet

Qui a vous demandé de venir faire un commentaire sur un texte que vous n'avez justement pas commenté ? Vous dites l'autre jour que vous ne compreniez pas la littérature et que vous n'alliez jamais sur les nouvelles, on s'y perd avec vous...

C'est mon originalité !!

Admettons...

Alors bonne journée

À vous aussi, Vincent !

@Senglar : Merci pour ton commentaire enthousiaste et ta lecture attentive. Conan Doyle et Poe (encore plus) ont toujours été des influences majeures pour moi en matière de créateur d’atmosphères pesantes et à la fois vaporeuse. Tu cites Stephen King, c’est plus étonnant, même si j’aime aussi beaucoup certains de ses livres anciens (il a d’ailleurs écrit un très bon roman sur le vampirisme, Salem, je crois), ce n’est consciemment pas un auteur qui m’inspire d’emblée. Bram Stocker, bien sûr, et puis Anne Rice font également partie de mes influences. Pour les détails du gaz carbonique, je veux bien uniquement si ça ne te prend pas trop de temps.

Anna