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1 Utilisateur(s) anonymes
Re : Là où le début et la fin ne se croisent jamais |
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Contribution du : 28/05/2022 10:52
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Re : Là où le début et la fin ne se croisent jamais |
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Maître Onirien
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Merci Dugenou pour le lien sur cet album de Sonic Youth; j'ai Goo mais pas ses démos.
Personnellement, j'ai une préférence pour trois albums: * Dirty: celui qui m'a fait aimer le groupe * Washing Machine: celui qui m'a donné envie de les voir en concert * The Eternal: une belle manière de terminer une carrière réussie et sans compromission.
Contribution du : 28/05/2022 14:43
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Nous sommes les acteurs Témoins d'un nouvel idéalisme Dans le théâtre extrémiste (Dirk Polak) |
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Re : Là où le début et la fin ne se croisent jamais |
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Je n'ai que peu d'albums du groupe, en dehors des démos de Goo, trouvé à Delft en 96, je suis plutot Confusion Is Sex et Experimental Jet Set.
Contribution du : 28/05/2022 15:59
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Re : Là où le début et la fin ne se croisent jamais |
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Maître Onirien
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@Cyrill: oui, je comprends, ce qu'exprimaient les Doors à travers leur musique et Jim Morrison par ses textes ont permis à une jeunesse plombée par une société figée de se voir ailleurs, différemment du modèle qu'on - les adultes, leurs parents, les décideurs - leur imposait. Je crois que ces groupes que furent les Beatles, les Rolling Stones j'en passe et d'autres de cette époque, ont joué ce rôle. Et il a duré sur la décennie suivante, soient les 70s.
Pour ma part, je suis arrivé après, avec le réveil et la gueule de bois post-punk, après que le modèle des 30 Glorieuses se soit effondré par deux chocs pétroliers, un chômage de masse, un président auvergnat qui se prenait pour le roi, l'arrivée des ultra-libéraux en Grande Bretagne et aux Etats-Unis, bref que du joyeux. On avait le choix d'écouter de la variété estampillée Drucker, du disco en fin de vie remarketé funk, du hard rock à la Motul venu d'Australie ou des dépressifs anglais venus de Manchester ou d'ailleurs, et puis d'autres trucs par-ci par là. Autant dire qu'il fallait se démerder tout seul.
Contribution du : 29/05/2022 08:37
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Re : Là où le début et la fin ne se croisent jamais |
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Maître Onirien
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@Dugenou: Confusion Is Sex et Experimental Jet Set sont pas mal du tout, le dernier ayant même une reprise de Madonna.
Contribution du : 26/09/2022 09:30
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Re : Là où le début et la fin ne se croisent jamais |
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Euh... une reprise de Madonna sur Experimental Jet Set ? Tu es sûr ? Je connaissais Get into the groove, sur The Withey album (enfin, issue de cet album, reprise sur Screaming Fields, le best of, que j'ai aussi), j'ignorais qu'il y en avait une Experimental Jet Set...
Contribution du : 26/09/2022 10:24
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Re : Là où le début et la fin ne se croisent jamais |
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Maître Onirien
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Oui, tu as raison, je me suis trompé d'album. C'est dans le Screaming Fields.
Contribution du : 26/09/2022 10:41
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Re : Là où le début et la fin ne se croisent jamais |
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Si mes souvenirs sont bons, il y a une reprise d'Iggy et les Stooges sur Confusion is Sex : I wanna be your dog... il me semble, je ne l'ai pas rippé, le quatrième de pochette, c'est le bordel et j'ai pas eu la patience de réécouter pour pouvoir mettre le bon titre sur les pistes.
Contribution du : 26/09/2022 10:44
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Re : Là où le début et la fin ne se croisent jamais |
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Maître Onirien
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Merci Wan, j'apprécie que tu laisses le mystère du texte pour mieux te délecter de la forme parce que j'avoue que j'ai essayé vraiment de la travailler.
Bye Don
Contribution du : 25/10/2022 19:33
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Re : Là où le début et la fin ne se croisent jamais |
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Maître Onirien
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Citation :
Et ton travail a porté fruit ; du moins, sur moi ! Bravo ! Wan
Contribution du : 26/10/2022 03:36
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L'homme est comme de l'herbe, et son éclat, comme la fleur des champs ; l'herbe sèche, la fleur tombe, mais la Parole de Dieu subsiste éternellement ! |
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