J'aurais penché pour Dug'nou :) mais comme tu l'aimes bien :)) y a pas d'mal :)))

C'est pas faux :)

Tout le monde sait que je suis le sosie littéraire d'Anna

À ce propos, Anna, aurais-tu besoin d'un 'rédacteur' , façon Paul-Loup Sulitzer ?

Ma foi, je peux étudier la proposition

Je cite ce que vous dites à papipoete :

Citation :

Je dirais presque la même chose mais ne parlerais pas de rôles, plutôt de personnages. En tout cas c'est bien ce qui m'attire vers l'écriture, vers la lecture aussi.
Parce que ma propre vie, petite vie, s'enrichit de la vie de ces autres personnes, de leurs propres pensées, de ces lieux que je ne connais pas ou qui n'existent pas. Ma propre vie n'a donc plus les limites contraignantes et parfois décevantes du réel. Elle devient magique de tous ces personnages que j'ai rencontrés, ces lieux que j'ai exploré au fil de mes lectures.

La difficulté, pour moi qui lis surtout des romans, est de formater ce que je veux dire en quelques centaines de caractères, et comme vous l'avez fait remarquer par ailleurs, d'étoffer en si peu d'espace un personnage.

Bon maître, comme vous y allez ! Mais je sais que vous taquinez. Je ne me sens maître de rien et surtout pas côté nouvelles, voilà seulement la deuxième qui paraît ici et j'ai donc encore tout à apprendre.
Bon, ça oui. Dans le sens de pas méchant, bien entendu.

L'intérêt pour vous et pour chacun n'est pas d'essayer de "faire mieux" dans le sens de mieux plaire à ceux que votre histoire n'a pas convaincus. D'autres l'ont trouvée tout à fait à leur goût, qui serais-je pour décider ce qu'est le bon goût ?
Mon commentaire en demi-teinte vient du fait que je ne suis pas parvenu à croire à ce personnage qui a la pensée si leste, trop leste, virtuose comme je vous l'ai dit.

Bonne continuation, Cyrill

Merci Cyrill, eh bien, nous allons essayer de progresser de concert

@Larivière : Wooow, tu as fini de me mettre la pression ? Tu sais bien que je suis une petite fille fragile dont un grain de sable peut dérégler la belle mécanique (bon d'accord je suis pas crédible^^). Je note toutes tes remarques pour me remettre au boulot.

Ah... J'allais oublier, je me suis fait un peu la même réflexion (plus pondérée) concernant ton dernier poème (le truc en trois lignes) quand on connaît le talent et le potentiel du bonhomme, on a envie de se dire que (finis la phrase !)

Grazie mille

Merci pour ce retour, Anna. Le texte n'a pas laissé les lecteurs indifférents.

Merci Don, si je peux provoquer des réactions, de quelques natures qu'elles soient, je suis toujours heureuse

@Johan : Laissez-moi en préambule vous féliciter, à peine arrivé, vous commentez, c’est cool, tous les auteurs d’Oniris ont besoin d’avis. Donc grand merci pour votre passage et votre analyse. Je parlerai plutôt d’emprunteur que de voleur car nous rendons toujours ha ha. J’ajouterai juste qu’heureusement que les écrivains à travers les siècles n’ont pas attendu Bobin la grenouille de bénitier et ses tautologies spécieuses pour savoir que ce qu’ils livrent sur le papier n’est jamais que la régurgitation d’influences, d’expériences, de vécu, etc. pour exposer leur tripaille en librairies. Vous connaissez le fameux « Rien ne se perd, rien ne se crée : tout se transforme » De Lavoisier. Reste la façon de faire,le chaudron, la patte, le style. À bientôt.