Merci pour le retour, Johan.

Citation :

Je ne me serais sans doute pas découragé, à moins que la longueur ait été ennuyeuse. Ça me paraît dommage d'élaguer une nouvelle pour de simples supputations sur la quantité de lecteurs.
Mais vous avez peut-être pris cette décision devant d'autres considérations.

Il faut, c'est vrai, reconnaître que le confort de lecture n'est pas le même que sur un bouquin papier dont on peut lire tranquille 1000 pages affalé sur son canap'

Citation :


J'avoue avoir craint un découragement général, et d'autre part je n'étais pas assez sûr de la solidité de cet épilogue. Pour l'ennui, je ne peux pas en juger, seul vous l'auriez pu.

@Louis et vertigo

Je vous comprends, vertigo, passer après le commentaire de Louis est diablement embarrassant et ce ne l'est pas moins d'y répondre.

Cher Louis vous avez transcendé le simple commentaire pour le hausser au niveau de la critique et de l'analyse littéraires. C'est bien simple je ne sais toujours pas quoi vous répondre tant c'est saisissant de perspicacité. A ce qu'il m'a semblé vous flirtez un peu avec le lacanisme par moments, mais ce n'est pas un reproche !

Un grand merci à vous deux.

@senglar

D'abord merci d'avoir consacré du temps à Moleskine dont la longueur a dû paraître dissuasive à beaucoup.

J'espère que vous aurez trouvé au début de ce fil des éléments de réponse à vous remarques (positives ou négatives) sur la nouvelle.

Je reconnais volontiers avoir péché par manque de clarté en de nombreux passages, notamment celui où il était question de filiation.

Je voudrais aussi attirer votre attention sur le fait que je résiste mal à la tentation d'émailler mes textes de détails qui n'ont, à première vue, d'importance qu'à mes yeux (nous sommes sans doute nombreux dans ce cas). Prenons par exemple le détail de la plaque d'immatriculation de la voiture du grand-père : si vous me dites que vous vous en foutez dans les grandes largeurs, je n'aurai rien à y objecter. Mais si un autre lecteur, ne serait-ce qu'un seul, se demande "Tiens mais au fait, c'était quoi le numéro de celle de mon père (ou de ma première caisse) ?", j'aurais réussi un petit quelque chose. Vous voyez ce que je veux dire ?

Enfin tranquillisez-vous : je prends tous les commentaires comme ils viennent et, au risque de me répéter, je serais vraiment un bel ingrat de me plaindre tant de leur nombre que de leur teneur générale. Ceci dit, il ne manquerait plus que quelqu'un vienne lire Moleskine après vous et se livre à une descente en flammes carabinée ! J'accepte le risque. Je me répète à nouveau (il vaut mieux se répéter que se contredire) : j'ai le cuir épais.

Encore merci et à bientôt.

@Blitz

Merci pour votre passage.

S'agissant du trop jeune âge du gamin, je laisserai le débat ouvert entre les lecteurs que le détail n'a pas gêné et ceux ayant trouvé qu'il manquait un peu de vraisemblance.

En tout état de cause, je peux attester qu'à une certaine époque (précisément dans les années 60) il était possible de sortir de Maternelle en sachant lire.