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Re : ''Un cheval qui en avait dans le ventre'' Retour de senglar...
Expert Onirien
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16/01/2019 11:42
De Pyrénées Atlantiques
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J’admets que mon petit côté rigide associé à ma passion pour l’histoire m’ont entraîné vers une mauvaise lecture de votre récit. Je n’aurais pas dû le prendre pour argent comptant mais davantage le considérer comme un exercice de style, un mythe revisité à la sauce Senglar. Je persiste néanmoins à penser que la même chose aurait pu être faite en essayant de mieux coller à l’époque. S’il est évidemment impossible de retranscrire sans se tromper le passé, on peut s’en rapprocher en faisant un bon travail de recherche. Par exemple dans ma nouvelle Les Eaux-Bonnes (appel du pied), j’ai passé un long moment à fouiller le net, me rendre sur place et lire des archives.

Contribution du : 03/03/2023 09:30
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Re : ''Un cheval qui en avait dans le ventre'' Retour de senglar...
Expert Onirien
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02/10/2013 12:55
De La Thébaïde
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@ louis :

Merci pour votre passage et votre appréciation sous cet équidé farceur.

J'ai bien aimé la dualité héros/narrateur que vous avez mise en évidence et la duplicité de leur action, chacun promenant sa cible. Bêtement je me suis senti valorisé, sur le point de m'auto-congratuler. Moi ! Ulysse ! Oh Yé !
(tout à fait entre nous, de tous les héros de la Guerre de Troie c'est Achille que je préfère. Dixit Caroline Loeb)
Tout est dit et décortiqué dans votre subtile démonstration qui est un vrai régal. Revenez quand vous voulez. Vous pouvez entrer sans frapper:) Ajouter quoi que ce soit serait gâcher le plaisir que j'ai eu à vous lire. J'ai appris une utilisation du mot ''métis'' que je ne connaissais pas.

Nota Bene : J'avais bien vu le décalage temporel ''Pégase///Héraclès/Hercule//Odysseus/Ulysse''. J'ai choisi Hercule au détriment d'Héraclès parce que le nom grec aurait été un indice trop probant qui aurait menacé de donner trop vite la solution. Auquel cas je ne vous aurais pas baladé vous-aussi sur cet astucieux cheval mais comme vous l'avez très justement remarqué au risque de l'anachronisme.

Encore merci à vous:)


@ Elena :

''Jubilatoire, peaufiné, redressant un vocable par ci, gommant, élimant l'expression par là, le plaisir pris à l'exercice de l'écriture saute aux yeux...''
Me voilà percé à jour jusques au plus profond de mes neurones, savez-vous que vous m'intimidez plus que jamais Elena :)
Voici bien ce qui me plaît dans l'écriture :
Exercice stylistique : 75 pour cent (et non 65) Je peux revenir dix fois sur un mot, une tournure.
Jubilation : 24 pour cent. J'y prends autant de plaisir à chaque fois et à chaque relecture. Si c'est marrant je me marre dix fois...
Autres : 1 pour cent. C'est pourquoi ce que je fais peut parfois sembler gratuit.

Curieusement (ou non) cela se ressent à la lecture. Moi-même j'ai parfois ressenti le plaisir que certains avaient à écrire leurs histoires. Cet enthousiasme non dissimulé est-il une qualité ou un défaut ? Certains s'en agacent et s'en irritent, parfois même me l'ont déjà reproché (par MP). Cela se discute. Je pourrais faire le rapprochement avec le comédien : doit-il vivre son personnage ou s'en distancier ? Parfois l'on est gêné, d'autres fois on souscrit.

Je n'avais pas vu que j'humanisais quelque peu cet épisode historique puisque l'on a retrouvé les restes de Troie, des preuves d'incendie. Vous avez tout à raison.

Mais bon sang qu'est-ce que vous m'intimidez Elena...


Senglar

Contribution du : 03/03/2023 16:26
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"Je suis le Ténébreux,- le Veuf,- l'Inconsolé,/ Le Prince d'Aquitaine à la Tour abolie :/ Ma seule Etoile est morte,- et mon luth constellé/ Porte le Soleil noir de la Mélancolie." "El Desdichado" G. de Nerval
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