Déjà que je me plante avec le breizhsonnet, tu voudrais pas en plus que je me mette au deutschsonnet ?
C'est pas tellement que déteste les langues germaniques, il m'arrive même à l'occasion d'en pratiquer une, mais enfin, entre la Bigoudène et l'Allemand...

Bon, c'est pas tout ça, mais faut que j'aille voir si tu réussis mieux ta première nouvelle que moi mon premier poème.

Bonjour à tous et félicitations.

@Lobia : "du bout des doigts je décide d'ausculter mon environnement." !??? ben dites donc, moi qui était déjà impressionné par un pote qui se léchait l’œil ! ;=)

@Palimpseste : manque pas des bottes au légionnaire pour le coté pratique !

@Ludi : cela me rappelle une blague de collège qui finissait par "Sniiiiiif, Haaaa, Mercedes !"

@Acratopege : merci beaucoup pour le compliment

@Dowvid : diable, le coté mutin m'a échappé !

Je ne suis pas sûr d'avoir lu tous les textes de la contrainte de la semaine ...

LA RENTRÉE SCOLAIRE

C'était en automne et je me trouvais dans les corridor
et je devais me rendre en classe pour un de mes cours
mais un étudiant me poussa dans l'escalier et
je dégringolais et comme je dégringolais il me disais ceci.

Où es ton uniforme monsieur en veste de plage.

De quel uniforme que tu parles celui qui m'a pousser
dans l'escalier avec mes bouquins abimé ainsi que mon
journal créatif avec tout les titres que j'ai mis dedans, dis-moi.

Du polo que tous les étudiants de ce collège porte
monsieur.

Je n'ai pas de polo parce ce que quand je me suis inscrit
on ne m'a pas de dit de mettre un uniforme pour étudié
en classe.

Retourne chez toi et va mettre un polo.

Dans cette pluie qui tombe.

Comment sais-tu que c'est le déluge
dehors.

Tu n'as pas entendu le tonnerre...

Non mais assez causée.

Retourne chez toi.

Veux-tu le laisser faire Greg et va
m'attendre en classe je vais lui passer
un de mes uniformes.

Venez avec moi je vais t'en passer un de mes uniformes.

À ton casier.

Oui bien sûr mon amour.

Comment ca mon amour.

Tu ne me reconnais pas.

Tu es Anika,
Caroline,
Magalie,
Paige,

Et la blonde répondit ceci.

Je ne suis pas l'un des noms que tu as dis.

Très bien c'est quoi ton nom.

Karen, la blonde qui se tenait devant un casier et qui voudrais faire ceci avec toi.

Karen, tu es dingue, arrêtes ca j'ai une blonde moi.

Et puis tu n'aimes pas ca quand une fille embrasse un garçon.

Mais Karen, c'est comme ca que vous faites quand un étudiant s'inscrit dans ce collège pour venir étudié.

Oui on fais ca avec les détective comme toi mon chou.

Qui t'a dit que j'étais un détective.

Tu te promène avec un chien ainsi qu'avec un imperméable mon chou...

Bonjour, Martin,

C'est pas mal, mais je ne vais vas pouvoir retenir le texte car il est sans rapport avec la contrainte de la semaine.

@Stony : Robinson de plage mais branché. Joli coup Stony, mais ou est le coté coquin ? A moins qu'avec le Hallemand... si on lit en les lignes .... ;=)

@Martin : rude retour de vacances, mais bon, une délicieuse rencontre de classe comme l'on peut en faire sur une plage. Bravo Martin.

@ Pepito : La contrainte, c'était "Retour de vacances apocalyptique" ou "La boutique des articles coquins", ou les deux, mais c'était pas obligé que ce soit les deux. Les deux, c'était pour les cochons qui ont passé de mauvaises vacances. D'ailleurs, je dois encore lire votre texte. Je parie que c'est cochon, je me trompe ?

@ Martin : Où avais-je la tête ? C'est vrai que la rentrée des classes coïncide avec le retour des vacances.


Demain, nouvelle contrainte, les amis.

Je suis remonté dans le temps, difficile de voir ou commence les textes de la dernière contrainte. C'est le binz sur ce faux rhum, c'est ki ki fait le ménage ?

@ Rosebud : à « Ornicar, mords-le ! » j'ai pouffé excellent !

@Acratopege : ben dites donc, pas gai le Papi, c'est pas autobiographique au moins ;=)

@Stony : allez va, sans rancune, il est super bien tenu ce forum...
PS : oui j'avoue, j'ai écris un peu cochon...

J'aurai pu écrire un texte avec l'autre contrainte mais je devais faire des photos d'objets.

Dimanche, les enfants !

Vous pouvez arrêter de vous ronger les ongles, voici la nouvelle contrainte, proposée par MissNode :


Thème : Dis-moi le meilleur ragot que tu as entendu cette semaine !

Le texte comprendra deux parties :

1. le ragot colporté par une écriture supposée féminine, par exemple, en forçant le trait : "Bon, je sais que ça paraît bizarre, mais j'ai l'impression que c'était peut-être un cheval bleu."
2. le ragot colporté par une écriture supposée masculine, par exemple : "C'était un cheval bleu".

Les deux parties ne doivent pas forcément débuter par les exemples proposés, puisque ce ne sont que des exemples.


Il s'agit de la combinaison de deux propositions d'écriture de Nathalie Goldberg dans les "Italiques Jubilatoires".
A ce propos, les phrases mises en italiques ci-dessus ont été empruntées à l'auteur.



La mayonnaise commence à reprendre. J'ai déjà une proposition de contrainte pour la semaine prochaine. N'hésitez pas à m'en proposer pour les semaines suivantes.


Bonne semaine et bon travail.

Bon, il est encore tôt et personne ne s'est penché sur la nouvelle contrainte. Alors, m'est-il permis d'ajouter quelques lignes à mon texte relatif à la contrainte précédente ?

***

Monsieur, ceci sera nécessairement mon dernier appel. Il semble que l'hospitalité de mon hôte soit moins désintéressée que je l'estimais. Je suis très libéral, là n'est pas la question. Réagissez rapidement ! L'homme est très entreprenant. Surtout, il est costaud. Je suis incapable de vous signaler ma position. Une petite île dans les Côtes d'Armor avec un grand mince dévêtu, un gros costaud, un pêcheur d'huîtres. Faites-vous renseigner par France Telecom pour plus de précision. Alertez les garde-côte, toute la flotte française s'il le faut. Je vous paie assez cher pour ça !