Gulysse-

Une histoire dépaysante, d'autant plus pour moi qui ne connait pas du tout l'Asie.
Cette rencontre non préméditée transforme Jeff. La générosité de ces gens opère comme une sorte de révélation.
Le surgissement des enfants m'a rappelé ce qui peut se passer dans certains coins, au Maroc par exemple. On croit être seul, dans un coin perdu et puis voilà qu'arrivent de nul part des enfants souriants et curieux.

Bonjour bonjour

Passant rapidement par ici, j'ai eu envie d'une part de remercier les ceusses qui ont émis des avis sur mon texte, mais surtout de poser une question
Est-il habituel ici que les auteurs qui publient - après un appel à exercice - ne postent pas systématiquement des commentaires et donc logiquement n'en attendraient pas non plus sur leurs écrits?
Il me semble qu'on écrit d'abord pour soi, puis, une fois qu'on a décidé de publier, le texte appartient au lecteur, je crois aussi que l'auteur souhaite avoir des avis, et évidemment pas tous dithyrambiques, au contraire, afin de progresser.
Je me trompe?
Car pour ma part, je me suis fait un devoir (et un plaisir) de lire tous les textes, puis de les commenter assez rapidement ensuite un par un afin que chacun sache au moins déjà qu'il a été lu, puis plus ou moins apprécié
C'est cela que je trouve "normal"
Qu'en est-il donc sur Oniris, vu le peu d'intervenants qui ont fait ainsi depuis que tous les textes sont parus?
Merci de vos avis.

Pour le titre, c'est idiot, mais je n'ai même pas pensé à en attribuer un à mon petit récit, je vous prie de m'en excuser.

A bientôt.

Vous êtes trop pressé, Gulysse..sourire
perso :
Je n'ai pas eu le temps de lire, quant à commenter, ce sera après, comme pour remercier tous les commentaires qui n'ont pas "oubliés mes myosotis".
Pour les autres, je ne sais pas.

Oniris n'impose rien en la matière, invite.

Bon, je vais lire les nouvelles du défi....

"Oniris n'impose rien en la matière"

Oh?


Merci de cette réaction, éclaircie.
Mais surtout ne vous forcez à rien
C'était juste un étonnement, d'où un questionnement
Rien ne presse en effet

@Gulysse. Bonjour (vous avez vu l'heure..). Puisque vous traînez encore dans les parages, je voulais vous demander, puisque vous êtes resté un temps en Guyane française si vous avez connu ce chef indien blanc à Antecum-Pata ou à Maripasoula. Dans mon souvenir, il me semblait qu'il était de nationalité belge. Il avait eu 2 ou 3 enfants avec une Amérindienne. Et si je me souviens bien, il vivait avec 3 femmes (une coutume indienne) qui avaient l'air de bien s'entendre entre elles ; mais n'en avait épousé qu'une seule, la mère de ses enfants.

D'avance merci ! Et bonne nuit !

@ Gulysse

J'ai beaucoup aimé cette nouvelle, sans titre, arrivée en retard, mais c'est normal, elle venait d'un pays lointain ; pays bien attachant, sans doute, à en croire ce récit.
Le thème est parfaitement respecté, c'est un très beau texte.
Merci pour la lecture et bravo !

Luz

Bonjour Gulysse
#96

Merci pour ce joli voyage dans ce pays que je ne connais que par l'intermédiaire de reportages télévisés.
Le vôtre est semble-t-il beaucoup plus naturel et détaché de ce côté touristique qui déplaît généralement.
Vous nous faites entrer dans le coeur même d'un village où tout semble paisible, où les habitants sont souriants et généreux malgré les souffrances subies dans un proche passé..
Un dépaysement étonnant où tout contraste avec notre civilisation égocentriste.
Une jolie chute :
"De ce jour date la décision de Jeff : rester, aider, partager.
L’amour, comme dit l’adage, est l’une des rares choses qui ne diminue pas quand on le partage."

Bravo !

Cristale
.

Un petit mot ce matin pour remercier les commentateurs d'au fil des ans .

j'accueille vos remarques avec plaisir, les positives et celles qui pointent les défauts. j'ai voulu montrer, à travers quelques détails sélectionnés, la manière dont un couple se fait et se défait, avec comme parti pris une idée d'arrangement plus que d'amour. C'est en effet assez morne et triste et je voulais aussi que la langue utilisée ( sèche) traduise cela.
Pour l'utilisation des temps , je reconnais que j'ai un peu pataugé à cause des allers retours entre évocation passée et présente.

Encore Bravo à tous aussi bien pour la participation que pour la qualité des récits et textes produits dans le contexte de contraintes.

@Gulysse

Citation :

je vous trouve bien sévère dans la remarque ci- dessus. Beaucoup sont venus commenter ! Et il n'y a, en effet pas d'obligations à ce niveau-là mais un esprit de réciprocité qu' Oniris défend et que vous semblez d'ailleurs avoir intégré.

Bonjour plumette, bonjour à tous

Vous dites "je vous trouve bien sévère", hum, c'est votre ressenti, que je respecte, moi j'y vois une impatience mal placée, à laquelle éclaircie a répondu avec vérité.
N'empêche, j'ai comme l'impression que mon post n° 122 a déclenché un truc, hihi

Merci encore à vous pour votre sérénité, et merci aux récents commentateurs, ça me fait très plaisir.
Cela dit, j'aurais bien encaissé une critique négative... histoire de progresser
Perso j'en ai une, de critique, mais je ne vous la dévoilerai que si vous insistez, haha!
Merci encore.

Bonjour dream

Merci de votre intervention.

Je "traîne"? Ah, ben oui, disons ça ainsi. Mais pour l'heure, bon, faut tenir compte du décalage horaire.
Là, il est l'heure de goûter, hihi

Et pour répondre à votre question, non, je n'ai pas connu ce chef. Un Belge ? Vous m'auriez dit un Saramaka, un Amérindien, un Surinamais, un Noir-Marron, okay, mais là, je suis étonné.
En fait, j'y étais dans les années 92-95, pour la fusée et on avait fait la remontée et la redescente du Maroni en pirogue sur 10 jours à Noël, jusqu'à Aloïké, en limite de zone interdite. On avait visité pas mal de village indigènes, y compris côté Surinam, histoire que le piroguier fasse le plein d'essence, mais aussi de rhum et d'herbes diverses et odorantes... haha!
Maripasoula bien sûr, Pompidou-Papaïchton et autres villages sublimes, que de chouettes souvenirs. Y compris une église de bois construite au bord du fleuve par un Père français qui y vivait et tentait d'attirer des ouailles plus préoccupées par trouver à manger chaque jour qu'aller à la messe, le pauvre.
Souvenirs, souvenirs

Merci Luz, Cristale et dream pour vos réactions au texte sans titre et fautif quant au délai imparti.