@ maria
@ poldutor

Merci d'avoir apprécié cette histoire.

Certains vétérinaires sont bien trop prompts à condamner nos amis à quatre pattes.

J'ai moi-même une chienne et c'est un membre de la famille à part entière avec son caractère et ses humeurs, tout comme nous, mais d'une gentillesse inébranlable.

ANIMAL post #148 : bravo ! On plaint ce chien impotent et on admire le geste de son maître.

Merci Dugenou,

Oui, il y a heureusement bien des maîtres qui aiment leurs compagnons à quatre pattes et souhaitent leur offrir une belle fin de vie.

Citation :
@ Animal : je parie que l’homme sera plus efficace a long terme...
Concernant votre post #132 : Vraiment très touchante cette micro-nouvelle, et ce petit Tim est un chouette gamin. J’ai bien aimé la chute « Il s’enfuit en courant sans voir les larmes embuer les yeux de la mendiante” , car vous laissez le mot, non plutôt la larme de fin à cette vieille femme.


Citation :
@ Dugenou : merci en effet, je l’espère bien... même pour un moins servile, car ça finit toujours par tomber en panne ces gadgets, et pour ce qui est de la conversation... Après, c’est sur, il ne le contredira point... Lol
Concernant votre post #130 : c’est une brillante idée, un vrai polar, bravo !!! Et moi non plus, je n’ai pas vu venir la chute entre ces deux petits monstres.


@ Nelsou44 Post #126 : Soit madame perd la boule, soit monsieur n’est pas au courant que madame a adopté un chaton ? Je choisis l'option numéro deux...


Citation :

@ Eclaircie : Merci pour votre retour, pas « trop » sévère mais sincère. Je pensais avoir tissé un texte assez clair, j’essaye de mettre des indices tout en laissant l' imagination des lecteurs faire le reste. Cela dit, je pensais être suffisamment limpide. J’essayerai donc d’y faire plus attention la prochaine fois.


@ Animal post #140 :Vous avez vraiment une imagination débordante, encore une idée originale, mais j’espère vraiment ne jamais être sur le chemin de ce type de « tueur »... Brrr ! A l'époque où l'on vit.


@ Dugenou post#141 : Oh ! C’est vrai que c’est la réalité pour certains enfants, malheureusement. Deux problèmes tragiques de la société, la maltraitance et l’alcoolisme. Pour moi, votre traitement du sujet n’est pas hors charte... Un jouet pour racheter son affection


@ Plumette post#142 : J’ai bien aimé cette lettre du petit Lucas pour le père Noël, une triste réalité aussi. La séparation des parents est toujours un traumatisme pour les enfants, surtout dans cette situation et si en plus le père noël se trompe de cadeau... Mais il est vrai que les parents dans ces moments sont tellement préoccupés par leurs propres soucis qu'il ne sont parfois plus à l'écoute de leurs bambins ou qu'ils n'ont plus les moyens financiers pour maintenir le même train de vie...


@ Animal post #148 : Une histoire qui a de la patte, bravo ! je ne l’ai pas vu venir avant « des quatre membres ». Ce chien pourra continuer à gambader encore un moment... Merci pour lui, le meilleur ami de l’homme. Je n'ose pas imaginer la mienne dans cette situation !


J'ai l'impression d'avoir écrit un roman, je n'arrive plus à vous suivre !!!! Et on est que mardi, bravo à tous, c'est super d'avoir autant d'histoires différentes avec un seul sujet...

Animal, post 140 LES JOUETS
Des adultes imaginatifs, un scénario glaçant, micro originale. Bravo !

Dugenou post 141 LES JOUETS
On voudrait ne pas lire, mais on lit une réalité terrible.
Bien conçue, bien écrite.
( je ne pense pas hors charte, vous ne faites pas l'apologie de cette violence domestique)

Plumette post 142 LES JOUETS
Les jouets ne sont là non plus pas synonyme de joie et de jeu. C'est perso, mais je préfère le traitement plus froid, sur un tel sujet. Ici, j'ai vraiment l'impression que la micro veut me tirer les larmes, et elle y parvient.

Animal, post 148 LES JOUETS
Bravo ! tu sais à la fois, ici, évoquer la tendresse, la vieillesse (du chien comme du maître (?)) et le nombre de caractère proche des 1000 (comme presque toutes tes micro) m'impressionne. C'est un format qui dans ce cas "n'en fait ni trop ni trop peu".

Bonjour Eclaircie,

Merci d'avoir apprécié mes micro-nouvelles.
Je trouve ce format parfait car le fait de devoir condenser le récit oblige à n'en retenir que l'essentiel et c'est un excellent exercice de style.


#140 En effet, le maître n'est pas non plus très jeune, ce que j'ai suggéré avec le prénom René, un peu désuet de nos jours.

J'ai vu que certains d'entre vous se posaient la question de savoir s'il fallait que le mot-clé du thème se trouve obligatoirement dans la micro-nouvelle. En fait, non, le thème c'est ce sur quoi on se base pour broder avec nos propres mots... Tant qu'on n'est pas hors-sujet, ça va ! Ainsi, si le thème, c'est « LES JOUETS, comme c'est le cas pour cette semaine, le mot « JOUETS » ne doit pas se trouver obligatoirement dans la micro-nouvelle, mais il importera des les évoquer d'une façon ou d'une autre...

Quelques retours sur LES JOUETS :

Animal : post #132.
Très touchée, bien sûr, par cette sensibilité qui peut tourmenter les petits comme les grands. L'innocence de l'enfant est désarmante, ici. La mère est confuse « Madame Ferrand rougit » avant de donner une pièce. « la mendiante » en a les larmes aux yeux. Une micro-nouvelle percutante. Suffisamment pour nous faire réfléchir face à nos propres comportements. Très bien écrit, encore.

Animal : post #140.
Quelle imagination... Une micro-nouvelle que j'aime beaucoup ! L'innocence de l'enfant laisse présager quelque chose, c'est sûr, mais je m'attendais à un trafic moins grave... Surprise, donc ! Bien vu, d'ajouter des dialogues. Ca dynamise, même en micro-nouvelle...

Dugenou : post 141.
Un récit qui a le mérite de dire des choses que je n'aime guère lire ou voir, mais le réalisme de cette micro-nouvelle me confronte à cette fameuse violence que je déteste partout, comme ici avec un enfant. Que se passe-t-il, en effet, loin des regards de la société ? En toute discrétion, parfois des horreurs. Bien écrit, par ailleurs. Merci.

Plumette : post #142.
Une micro-nouvelle touchante. L'innocence de ce petit récit me rappelle un film que j'avais bien aimé « I wish », un film de Kore-Eda, un cinéaste que j'aime beaucoup... A un moment, un groupe d'amis d'enfants exprime leur vœu le plus cher. Ici, dans ton texte, l'essentiel de nos besoins est d'autant plus fort qu'il est dit par un enfant. Juste vivre dans la dignité...

Animal : post #148.
Bravo, là encore, Animal, pour cette micro-nouvelle toute pleine de force littéraire... Bien écrit avec toujours une dynamique intéressante dans les phrases. Et toujours une découverte sur le plan de l'imaginaire. Ce récit nous donne à voir une belle amitié, et de bons sentiments qui font du bien. Merci beaucoup de votre participation active sur ce fil. Elle fait plaisir, et je découvre avec grand plaisir vos façons d'écrire qui me donnent envie d'aller vous lire par ailleurs.

Thème : LES JOUETS

On joue au foot ?

Nina pleurait. Nous étions assises au bord d'un terrain de foot. Les garçons ne voulaient pas qu'elle joue avec eux. Pourtant, elle savait bien jouer. Je cédais souvent à ce jeu de ballon, lorsque j'allais chez elle. Son frère nous entraînait toujours sur la terrasse de la maison.
Mais ce jour-là, son frère Jean n'était pas là, et je n'étais pas motivée pour la soutenir. Jouer avec Pierre qui se moquait de moi quand on se croisait à l'arrêt de bus pour aller à l'école. Non merci.
Derrière nous, des filles jouaient à l'élastique. D'autres regardaient le match. Révoltée, Nina se leva pour une autre tentative. Cette fois, elle se rua sur le ballon, et donna un fort coup de pied. Le but ! Je revois Michel, le goal, pris au dépourvu, et Pierre qui cria encore une fois : « Mais Nina, qu'est-ce que tu fais ? ». Elle me rejoignit. C’était l'heure de rentrer.
A la maison, je regardai mes jouets. Dehors, le grand air ne savait pas mes secrets.

(964 caractères)

Lulu post #158 : en effet, à cet áge bien des garçons ne veulent pas jouer avec les filles, lesquelles sont souvent meilleures aux mêmes jeux, fratrie oblige... merci pour cette micro.

@ Lulu #158

Très belle manière d'évoquer ce sentiment de beaucoup de garçons (pas tous) d'appartenir à un groupe auquel les filles ne doivent pas avoir accès (les pisseuses, les pleureuses et autres gentillesses). Cet effet de clan persiste souvent à l'adolescence et à l'âge adulte, même si les membres du groupe changent.

Et si certaines filles ne s'intéressent absolument pas aux jeux des garçons, les autres découvrent très tôt le sentiment de rejet et d'injustice.

Il reste heureusement le jardin secret où se réfugier.

Une bien triste façon pour Nina d'apprendre qu'être douée ne veut pas dire être acceptée.