Un frôlement de courbe est c'est la pâmoison
Que notre cœur soit ferme ou bien velléitaire.
Heureux les belliqueux car ils auront la terre,
Le sang n'est pas souillure au cimier du blason.

L’ombre de mes lamentations trompait l’espace vital de mes espoirs,
La solitude creusait l’instant, la mer confondait mes pas ensablés,
Et de ce reste disparate, je ne laissais qu’une trace marine…

Un morceau de vie s’étendait devant mes yeux presque hagards,
Un idéal doucereux me rappelait les remous d’un souvenir presque heureux
Je n’avais plus rien, mon ami, que la rue dans le creux de ma main

Un miséreux, un enfant de la rue, avec le silence pour seul garde fou
Et le rêve d’un ciel meilleur, d’un dieu là haut sur son belvédère
Lorsque la nuit s’épuisait, je gardais en mon cœur la lueur angélique du levé

Derrière les pas des gens se nichait l’absence, la transparence éphémère
L’odeur d’un foyer saisissait ma pensée, elle avait cette saveur magnifique du passé
J’ai fui comme un bandit, au milieu des corbeaux

J’avais soif d’envies et comme un paria alcoolique je me noyais dans cet univers liquoreux
Eperdu et perdant, de cet oral mortel je recouvrais les sauveurs d’antan
Je m’inventais en héros quelques trêves et mon cœur sursautait à chaque nouveau mirage

Angélique où es tu ma bien aimé, ma muse, mon exhaussée !
Que ferais-tu de ma saleté, de mes ongles noircis par la peur
Je ne suis qu’un réfugié sur cette plage, effaré, fanfaron de panique en pacotille

Je suis las, sans avoir voulu, regardant l’astronomique destin de ma déchéance
Et l’osmose de nos déplaisirs, Angélique, ma paire, mon impair avec ses chiens,

Tu sembles si lointaine, avec tes restes de manière, sur le bitume,
Tu es ma poupée effarouchée, ébouriffée, mon sacrifice indompté
Ma princesse sur sa blanche monture, et je ne cesse de te compter mes éloges

Petite branche frêle, immigrée des vents, africaine sanguine,
Je t’accompagne ma compagne dans ce soulagement de vie
Loin des massacres de nos castes, avec tant de parcimonie…

Pascale

Je me tiens en haut du Belvédère
Clairvoyance astronomique,
Théâtre de nombreuses Lamentations …
Tradition orale…

La beauté s’admire sans Parcimonie !

Nos idéaux…
Notre Osmose…

Tu étais ma Monture
Je te chevauchais en étanchant ma Soif
à tes eaux
Je léchais à ta peau doucereuse
La Panique, liquoreuse
à ton regard angélique

Ce soir
Les Corbeaux
Volent, en cercle disparate,
Sous une lune teintée de lueurs sanguines,
Frôlant les Remous de nos passions,
Où la nuit chante encore les éloges
De notre amour aux parfums d’Angélique
Au vent marin



Improse approximative...



( Siebby t'exagère ... 9 jours pour faire ton exo???? Tu nous prends pour des gens de chez Gallitruc ou quoi????)

Je monte au belvédère
et juge, astronomique,
les oraux;
Je cote avec parcimonie
ces idéaux
privés d'osmose.
monture vengeresse
Mon stylo rouge à soif
de doucereux zéros
qui sèmeront panique
en vos esprits liquoreux.
Etudiant angélique ?
Ame corbeau
pauvre esprit disparate !
Tes rêves sanguins
en ton lit, créent de bien pauvre remous.
troubles, courts et sans éloge
sont les tâches d'Angélique.
Aurait elle des rêves plus marins ?

Perdu!!!!!

Is tu peux pas plurieliser des singuliers imposés...

(où il est le smiley avé le martô?)

quel pluriels ? de toute façon j'ai oublié les lamentations du lamentable lamentin....

pour le reste, avé les parenthèses c'était bon... bah je me lamente qd même........

Et je sors, vite=====================>