La bougie lentement se consume en rêvant
Aux âmes sereines qui contemplent son trésor.
Les larmes de l'amour sont comme cette enfant
De cire et d'or : elles ne cessent qu'à la mort.

Avec son souffle d'ocre et ses baisers de flammes,
Le brasier sensuel de ses mille pigments
Il envoûte les bois comme il ravit les âmes,
Et j'aime avec passion ses suaves tourments.

Il était une maison
Qu'on voyait depuis la plaine
Si petite, si seule dans le crépuscule
De tes yeux.

Il repasse à l'endroit même
de ses grands avènements
Il est le pèlerin
de son chemin des astres

Le sacré luit sous la chaleur de sa peau ;
Jaillit un flot pur, subtil, d'en ses abysses.
Conquise, légère, par ses lestes assauts,
Ma raison absorbe l'or de sa malice.

Le sacré luit sous la chaleur de sa peau ;
Jaillit un flot pur, subtil, d'en ses abysses.
Conquise, légère, par ses lestes assauts,
Ma raison absorbe l'or de sa malice.

@Vadim, la suite


Redoutant cette ivresse, en un dernier sursaut,
Elle étouffe l'émoi de sa pensée complice.
Ma raison se voulait si pure et sans défaut ;
Il fallait bien qu'un jour, son étoile pâlisse...

Elle a pleuré son émoi
dans le creux de ses mains
Elle a ri devant l'équation
de leurs aventures

Mynd', épisode 2 !

Ses prestes mots m'ont abreuvé de rayons chatoyants.
Sait-elle ? ils ont le doux parfum de runes
Célestisantes… dans son arcane, festoyant,
Je noierai ma nuit en l'étoile, sa plume...

ZUT ZUT ZUT

Modif :

Ses mots m’abreuvent de rayons chatoyants.
Sait-elle ? ils ont le doux parfum de runes
Célestisantes ; dans cet arcane festoyant,
Je noierai ma nuit en ton étoile, vive plume…