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3 Utilisateur(s) anonymes
Re : Exercice de stylo |
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Visiteur
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version carpe
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Contribution du : 15/04/2011 11:50
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Re : Exercice de stylo |
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Apprenti Onirien
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Je n'ai pas compris "version carpe"????
Contribution du : 15/04/2011 12:33
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Re : Exercice de stylo |
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Maître Onirien
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Citation :
Je n'ai pas compris "version carpe"???? Version carpe : version muette, donc !!!
Contribution du : 15/04/2011 13:31
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Re : Exercice de stylo |
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Apprenti Onirien
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Version tombe
Contribution du : 15/04/2011 13:49
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L'art ne vient pas se coucher dans les lits qu'on a faits pour lui. Jean Dubuffet |
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Re : Exercice de stylo |
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Apprenti Onirien
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J'ai pas compris l'exercice à faire......
Contribution du : 15/04/2011 14:51
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L'espoir fait vivre, ceux qui vivent d'espoir meurent de faim!!!!! Lino-Ärsenik |
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Re : Exercice de stylo |
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Maître Onirien
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08/02/2011 17:15 Groupe :
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Dodolili, ce n'est pas très compliqué : tu racontes l'histoire suivante selon une version qui n'a pas encore été écrite (version dramatique, comique, horrifique, etc.)
L'histoire est la suivante : un fou qui repeint son plafond, un autre fou arrive et lui dit "accroche-toi au pinceau j'enlève l'échelle... (à décliner sous tous les styles, donc)
Contribution du : 15/04/2011 15:10
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Re : Exercice de stylo |
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Visiteur
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Version FSP (jeux vidéos où un héros tue tout ce qui bouge...il est parfois blond, grand et fort ET américain...souvent il sauve le monde dit libre!)
"Roger! Je suis sur zone". j'avance dans un brouillard opaque, rouge, agressif, mais le fait que j'ai une armure biohazard me protège de toutes ces p*** d'émanations de gaz neurotoxiques. La vie n'est cependant pas morte sur Pandoria 14, la 22ème colonie terrestre. Un être difforme apparait. Il s agissait surement d'un humain, un de ces pauvres hères qui ont colonisés laborieusement cette planète. Maintenant il n'a plus rien d'humain..Son regard est assoiffé de MON sang, ses mains aux ongles noirs déchiquetés brandissent une échelle et un pinceau. Sa peau est violette. J'arme mon shotgun.Le premier coup arrache un de ses bras, il tient encore son pinceau! " Enfoiré accroche toi à lui! Meurt fils de p***" La rafale du machine gun le coupe en deux.
Contribution du : 16/04/2011 18:42
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Re : Exercice de stylo |
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Apprenti Onirien
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Un fou, juché sur une échelle double, repeint un plafond. Arrive un autre fou:
- Tu m'en passes la moitié, que je t'aide? - D'accord mais j'ai peur de me casser la gueule en la partageant! - Tu n'as qu'à t'accrocher au pinceau, idiot
Contribution du : 16/04/2011 19:10
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L'art ne vient pas se coucher dans les lits qu'on a faits pour lui. Jean Dubuffet |
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Re : Exercice de stylo |
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Visiteur
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Version Estelle2L
Je pige pas, y a un mec totalement normal, un samedi, avec un pote qui décide de repeindre son plafond. Tout le monde se marre parce que le second demande au premier de s'accrocher au pinceau, qu'il retire l'échelle. Je vois pas ce qu'y a de drôle! Il aurait pu ne pas le prévenir qu'il retirait l'échelle, lààà, lààààààà ça aurait été drôle!!!
Contribution du : 16/04/2011 23:55
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Re : Exercice de stylo |
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Visiteur
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(pardon mais j'ai eu un flash... je bisse)
Version Stephen King (épouvante) C'était un soir, dans une maison de Derry, - où les murs aux papiers peints défraichis semblaient ne tenir que par l'action d'une divinité sadique dénuée de notions d'architecture – un homme qui cachait de lourdes tares psychologiques. Il avait été enfermé à Juniper Hill pour avoir trucidé Caroline, sa grenouille Buffle mutante, en la jetant dans un bain d'acide avant de la broyer au mixer. Des morceaux du batracien étaient restés coincés entres les lames du Blender et lorsque la mère du jeune Thad Rasmus avait préparé des margheritas pour le cocktail du soir, elle et son mari John avaient succombé dans d'atroces souffrances à l'ingestion de l'acide batracique. Laissant Thad, le faible d'esprit, orphelin. À l'asile, il avait fomenté une vengeance. Ce qui était absurde vu qu'il était le seul responsable de la mort de ses parents, des morceaux d'œsophage brûlés, des hémorragies, du sang sur les murs, de la merde sur la moquette qu'il avait fallu nettoyer. C'était la pauvre Polly Denbrough qui s'y était collée et elle pourrait témoigner de la violence des décès, elle avait remis suffisamment de pancakes le jour où elle avait été faire le ménage, pour nourrir une colonie de sdf, ceux qui pavent les rues de Bangor une pancarte J'ai faim devant les pieds. Thad avait un ami. Ils se connaissaient depuis l'enfance, ils avaient joué à des jeux dangereux ensemble, ils avaient enflammé leurs pets, conduit bourrés sur la voie ferrée, violé la petite Harriman à la fête du Printemps. Steve, il s'appelait. Les gens le prenaient pour un attardé, parce qu'il en avait rien à foutre de se curer le nez en public, ou de retirer son pantalon pour chier en plein devant le bénitier à la messe le dimanche. Mais Steve il était malin. Quand Thad était sorti de Juniper Hill, ils s'étaient retrouvés, et Thad avait été ravi de constater que son vieux complice avait toujours ce grain qui le rendait si spécial, qui le faisait suivre Thad dans tous ses bons plans. Hé! Sauf le coup de tes parents, hein, Thad! Tu l'avais pas vue venir hein, celle là! Steven avait proposé à Thad de se loger dans sa maison, celle dont il avait fait l'acquisition avec son premier million. Steven lui expliqua qu'il avait racheté le Megaplex de Derry, qu'il l'avait réaménagé, retiré les traces que les gosses avaient laissé quand ils avaient terrassé Ça... et commencé à amasser plus de fric que le pape et Mickaël Jackson réunis. En échange de ce logement, Thad devrait juste rafraichir la peinture. Ils avaient conclu le marché, et ce soir, Thad avait demandé à Steven de venir l'aider à terminer le plafond du salon, où Thad avait reconstitué le toit de la chapelle Sixtine. Il avait accroché le lustre au bout du doigt de Dieu, enroulé le fil d'alimentation du pinceau à sérigraphier qu'il avait utilisé pour les détails autour des fils dénudés du lustre. Il avait également dénudé le fil d'alimentation. Il espérait que Steven s'électrocuterait quand il allumerait la lumière. Son ami arriva, ils échangèrent quelques claques dans le dos, puis Steven monta à l'échelle double. Thad lui parlait, en se dirigeant vers interrupteur. Alors que la peinture jaillissait, Thad alluma. Un éclair fusa entre les mains de Steven qui s'accrocha au lustre, secoué de soubresauts. Le fil du sérigraphe qui crachait toujours et maculait la pièce de peinture bleue s'enroulait autour de son cou alors qu'il se balançait grotesquement au bout du lustre. Thad avait ce regard, le même qu'il avait eu devant Caroline, devant les cadavres encore chauds de ses parents... il sourit à son ami, qui grimaçait, bleuissait et gémissait : Aide-moi, Thad. Alors Thad fit ce qu'il avait prévu de faire : il retira l'échelle, entendant les derniers râles de son ami accompagner sa sortie, puis ferma la porte à double tour.
Contribution du : 17/04/2011 00:48
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