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Re : Ouvrages concernant l'écriture
Expert Onirien
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28/07/2011 11:53
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@Incognito: dans la droite ligne de ta proposition, c'est dommage que le concours soit terminé, on aurait pu écrire une nouvelle au titre sympa: "d'un mythe errant à l'autre"...

Je n'ai aucune info sur les relations de François à Louis-Ferdinand... Peut-être ont-ils pas mangé avec la même francisque, mais il serait étonnant qu'ils ne se soient jamais croisés. D'un autre côté, l'irrascible et déjà sulfureux médecin se serait méfié d'un politicien. Si une rencontre a eu lieu, il est possible qu'elle n'ait pas laissé que de bons souvenirs aux uns et aux autres.

Contribution du : 15/09/2011 18:51
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Re : Ouvrages concernant l'écriture
Visiteur 
Bonsoir incognito,
Je lis actuellement: Le travail intellectuel de Jean Guitton, publié par Aubier en 1951.
Il parle superbement de l'apprentissage de l'écriture, une manière sobre, complète tenant compte de l'écrivain, de ses ambitions et des contraintes, obligations, joie de l'écriture.
Le voici en occasion (recherche non-exaustive!):
http://www.amazon.fr/s/ref=pd_lpo_k2_dp_sr_sq_top?ie=UTF8&keywords=le%20travail%20intellectuel%20de%20jean%20guitton&index=blended&pf_rd_p=471061593&pf_rd_s=lpo-top-stripe&pf_rd_t=201&pf_rd_i=2700734092&pf_rd_m=A1X6FK5RDHNB96&pf_rd_r=0SQP4BDE6MTFXPXXKDTM

Ou je vous le scanne et l'envoie en pdf, 190 pages ca va encore!
Bien à vous, Sadja

Contribution du : 16/09/2011 00:04
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Re : Ouvrages concernant l'écriture
Visiteur 
Tiens, j'y pensais justement. Je me souviens d'avoir vu une émission dans laquelle Musso était invité. Il disait ceci : qu'il avait écrit un premier roman, il l'avait fait lire à un écrivain connu. Ce dernier lui avait signifié qu'il était mal construit, dans les grandes lignes, il lui avait donné la marche à suivre. Musso aurait suivi ça à la lettre. Depuis... :)

Contribution du : 16/09/2011 11:40
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Re : Ouvrages concernant l'écriture
Apprenti Onirien
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Comment ne pas donner envie de lire le bouquin, merci Salamandre :p

Contribution du : 16/09/2011 11:53
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Re : Ouvrages concernant l'écriture
Visiteur 
Bonjour Sadja,

On ne se connait pas du tout. Je suis donc très touché que vous me proposiez votre aide avec ce PDF. J'en suis même un peu gêné.

Du peu de ce qu'il en est dit sur le net, de cet ouvrage que vous proposez, j'ai l'impression qu'il traite surtout des conditions dans lesquelles devrait se mettre un créateur pour créer. Dites-moi si je me trompe ! C'est sans doute très intéressant, mais je ne suis pas certain que ce soit cela que je cherche. Mais sans doute cet ouvrage aborde-t-il plusieurs aspects dont il n'est pas fait mention dans les résumés que j'ai lus.

Je me rends compte aussi qu'il est difficile de se faire une idée de ce que j'attends, étant donné le flou dans lequel j'ai enrobé ma question.
C'est que je ne le sais pas exactement moi-même.
Je vais donc essayer d'être plus précis, si tant est que cela soit possible.
Il est sans doute plus simple de procéder par élimination, en donnant des exemple que ce que je n'attends pas.

Voici un exemple :

On m'avait recommandé la lecture de "Écriture, Mémoires d'un métier" de Stephen King. Je l'ai donc lu.
Je n'irais pas jusqu'à dire que cet ouvrage est sans intérêt, mais il me semble toutefois fort limité.
Stephen King recommande, par exemple, de traquer sans pitié tous les adverbes, ou presque tous, de dégraisser sans pitié. Désolé de le dire aussi crument, mais je trouve ça parfaitement ridicule. On voit souvent des textes à l'écriture que je qualifierais de "scolaire" (bien que l'école ne mérite sans doute pas cet ostracisme), qui font usage de pléthore d'adverbes pour faire passer en force des émotions ou pour palier à la faiblesse des verbes. L'adverbe n'est pas une béquille pour supporter un verbe incapable de se tenir droit tout seul, c'est évident. Pour ce genre d'écrit, la recommandation de Stephen King est sans doute très utile.
Mais je pourrais aussi donner des exemples de phrases, de textes faisant un large usage d'adverbes, mais de manière subtile ou étonnante. On se trouve alors là devant de vraies originalités de langage qu'il serait dommage, pour ne pas dire criminel, de brider. Je vais le dire comme je le pense, même si ce n'est pas politiquement correct : cette recommandation de SK améliorera peut-être un peu l'écriture d'auteurs qui resteront de toutes façons mauvais, mais elle est en revanche une tueuse de créativité.
Même chose concernant les adjectifs. Je pourrais donner aussi des exemples de phrases dans lesquelles on juxtapose deux, voire même trois adjectifs avant le substantif. Ce n'est pas facile, ce n'est pas une recette, ce peut-être complètement raté. Mais lorsque c'est réussi, quelle jouissance ! Dès lors, il me parait beaucoup plus utile d'essayer de comprendre quand, comment, pourquoi ça fonctionne.
SK nous donne aussi cette recette : lorsque vous avez fini d'écrire votre texte, supprimez-en 10% ! Franchement, est-ce bien sérieux ?
C'est grotesque ! (je renonce définitivement au politiquement correct) Encore une fois, le principe n'est pas idiot, il me parait même évident, mais quel manque d'imagination ! Nous nous trouvons sans doute tous, à un moment ou un autre, devant un passage de notre texte dont on pressent bien qu'il n'est pas très bon, mais par fainéantise, ou par manque de moyens, ou peut-être tout simplement par entêtement imbécile, celui qui consiste à renoncer à noyer notre bébé pourtant si mal né, nous ne sommes pas capables de mettre au rebut ce qui nous a pris du temps. Personnellement, c'est une des choses qui m'est le plus difficile. Pourtant, je suis tout à fait convaincu de l'incroyable bénéfice que je pourrais en tirer.
Mais cette recette est grotesque (pourtant, en préambule de son bouquin, SK se défend de fournir des recettes). Comme si supprimer 10% (ou quelque pourcentage que ce soit) d'un texte pouvait suffir à le rendre bon. C'est parfois 100% qu'il faut supprimer, et tout reprendre à zéro. C'est parfois tout le contraire : il faut ajouter des choses qui manquent.
Encore une fois, ce genre de recommandations peut être utile pour rendre à peu près correct un texte qui était mauvais. Mais si la seule ambition est celle-là, ça ne m'intéresse pas. Ce qui m'intéresse, c'est de faire d'un bon texte un texte excellent. SK nous laisse bien démunis pour ce projet !

On pourra peut-être me dire que pour se faire une éducation, il n'y a pas de miracle : il faut lire et lire encore, de bons auteurs, plein d'auteurs, de styles différents (et peut-être aussi de mauvais textes, pour identifier et se convaincre de ce qui n'est pas bon dans les nôtres; je crois que c'est d'ailleurs le seul conseil que j'ai trouvé vraiment intelligent dans le bouquin de SK).
C'est peut-être vrai. C'est sans doute vrai.
Pourtant, il m'est arrivé de lire des choses intelligentes, d'une telle qualité que j'ai encore la faiblesse de croire qu'il ne soit pas forcément nécessaire de bouffer des bibliothèques entières pour pour y trouver ce que l'on cherche, ou du moins ce que l'on attends sans savoir exactement ce que l'on cherche.


Merci beaucoup Sadja, je garde bien au chaud votre suggestion.
Ne croyez pas que que ce qui précède est un procès d'intention à l'égard de ce que contient cet ouvrage, puisque je ne le connais pas. D'ailleurs, vous avez parlé de sobriété, et j'avoue que c'est un argument plutôt convainquant.

Contribution du : 16/09/2011 12:54
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Re : Ouvrages concernant l'écriture
Expert Onirien
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28/07/2011 11:53
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Je n'ai pas lu le livre de Stephen King, mais je me souviens de quelques remarques faites en préface de "Le Fléau", où il disait être incapable d'écrire autre chose que ce qu'il fait. Il aimerait bien, mais il ne peut point! Il disait aussi que cet énorme pavé, pondu en début de carrière, avait été refusé par son éditeur qui l'avait sorti en version 180 pages. Une fois que le nom de SK fut devenu connu, l'éditeur a ressorti la version originale (>1.000pages, je crois bien) et tout le monde en était content (lui, SK, le banquier et accessoirement les lecteurs).

Concernant la sobriété du texte, je suis pourtant assez d'accord avec l'extrait donné par Incognito: on gagne toujours plus à enlever des adverbes et des adjectifs qu'à en ajouter. L'exercice de se forcer à retirer 10% est dur, mais force à se concentrer sur l'essentiel.

L'un de nos pièges est de vouloir boursouffler nos textes pour que nos lecteurs se refassent exactement la même vision que nous des décors, des personnages et des situations. Or, ce qui compte souvent, c'est que le lecteur se fasse SA vision mais garde NOTRE histiore.

Plus on veut forcer un lecteur à se faire la même idée que nous (et utiliser le récit comme un substitut à la télépathie), et plus on prend de risques (cf un commentaire que j'ai fais à la bonne nouvelle de Oscar Van Buren).

Si Incognito parle de "une jolie femme et d'un homme pas assorti", quel intérêt de savoir comment il "voit" comme une femme jolie et des tares du mec? Dans un livre de 250 pages, on peut avoir envie de le savoir, mais une nouvelle de 3 pages, c'est contre-productif.

De même, je peux lire 250 pages avec en tête une brunette piquante et un quinqua bedonnant, tantdis qu'une femme verra une rousse sculpturale avec un gars de 30 ans boutonneux. Tant que l'âge ou la couleur des cheveux n'influent pas sur l'histoire, quelle importance?

La seule chose, c'est qu'il ne faut pas en plein milieu dire que la scène se passe à Pékin ou à Nairobi, car là, on ne va pas savoir si les personnes ne sont finalement pas tous chinois ou blacks... Parfois c'est un effet qui peut être recherché (faire vaciller le lecteur sur sa vision du texte), mais c'est casse-gueule (surtout sur un long texte).

Pour résumer, il me semble que l'idée du "juste nécessaire" est intéressante: chaque mot doit apporter à l'histoire et pas à la description de notre vision d'auteur, genre télépathie.

là aussi, ce n'est que mon avis perso.

Contribution du : 16/09/2011 17:06
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Re : Ouvrages concernant l'écriture
Visiteur 
Citation :

L'un de nos pièges est de vouloir boursouffler nos textes pour que nos lecteurs se refassent exactement la même vision que nous des décors, des personnages et des situations.


Alors là, je ne peux que plussoyer énergiquement !
Les descriptions de décors, le plus souvent, me gonflent épouvantablement. En fait, ça ne m'intéresse pas du tout.


Citation :

Or, ce qui compte souvent, c'est que le lecteur se fasse SA vision mais garde NOTRE histoire.


Hum... oui... mais non, pas pour moi.
En fait, la vision du lecteur ne m'intéresse pas en tant que telle, et l'histoire encore moins, qu'il s'agisse des siennes ou des miennes. Ce qui m'intéresse, c'est l'émotion.



Citation :

Pour résumer, il me semble que l'idée du "juste nécessaire" est intéressante: chaque mot doit apporter à l'histoire et pas à la description de notre vision d'auteur, genre télépathie.


Là, c'est un peu la conséquence de ce qui précède.
Si je m'en tiens à la stricte (et partielle, j'en conviens) assertion "chaque mot doit apporter à l'histoire", ça ne va pas du tout dans le sens de ce que j'aime. Mais il ne s'agit que de moi, bien sûr.
Pour moi, le langage est un enjeu en tant que tel dans un texte qui se veut littéraire, et peut-être même le principal. Le langage doit se faire émotion, étincelle de vie. Je ne ferai jamais l'économie d'un mot s'il sert le charme du langage. Qu'il apporte quelque chose à l'histoire ou non est sans doute le dernier de mes soucis. Par contre, je modifierais volontiers l'histoire s'il s'agissait de supprimer un mot qui fasse fausse note dans la musique qu'il est censé créer.
Je veux, et c'est ce à quoi je voudrais parvenir, que mes textes soient vivants, qu'ils apportent un moment de vie à mon lecteur. Le reste, c'est que des histoires !

Lorsque Céline décrit fait vivre son arrivée à New-York, je me fous pas mal de New-York. Ce qui m'intéresse, c'est l'émotion qui nait en moi, cette incroyable musique qui me plonge dans l'inconnu, l'étonnement, la stupeur. Le reste, c'est que des briques !




Pour une surprise, c’en fut une. À travers la brume, c’était tellement étonnant ce qu’on découvrait soudain que nous nous refusâmes d’abord à y croire et puis tout de même quand nous fûmes en plein devant les choses, tout galérien qu’on était on s’est mis à bien rigoler, en voyant ça, droit devant nous…
Figurez-vous qu’elle était debout leur ville, absolument droite. New York c’est une ville debout. On en avait déjà vu nous des villes bien sûr, et des belles encore, et des ports et des fameux même. Mais chez nous, n’est-ce pas, elles sont couchées les villes, au bord de la mer ou sur les fleuves, elles s’allongent sur le paysage, elles attendent le voyageur, tandis que celle-là l’Américaine, elle ne se pâmait pas, non, elle se tenait bien raide, là, pas baisante du tout, raide à faire peur.

("Voyage au bout de la nuit", Louis Ferdinand Céline)



D'ailleurs, vous n'avez qu'à remplacer New-York par la forêt camerounaise et l'émotion est la même.


Les crépuscules dans cet enfer africain se révélaient fameux. On n’y coupait pas. Tragiques chaque fois comme d’énormes assassinats du soleil. Un immense chiqué. Seulement c’était beaucoup d’admiration pour un seul homme. Le ciel pendant une heure paradait tout giclé d’un bout à l’autre d’écarlate en délire, et puis le vert éclatait au milieu des arbres et montait du sol en traînées tremblantes jusqu’aux premières étoiles. Après ça le gris reprenait tout L’horizon et puis le rouge encore, mais alors fatigué le rouge et pas pour longtemps. Ça se terminait ainsi. Toutes les couleurs retombaient en lambeaux, avachies sur la forêt comme des oripeaux après la centième. Chaque jour sur les six heures exactement que ça se passait.

("Voyage au bout de la nuit", Louis Ferdinand Céline)

Contribution du : 16/09/2011 18:23
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Re : Ouvrages concernant l'écriture
Visiteur 
Très cher collègue écrivain,
Comment ne puis-je répondre autrement que par l'envoi du dit pdf? Il ne me fallut que demander à l'une des nombreuses muses me suivants tel un dieu artistiquement sur-doué et bientôt mémorable écrivain, à scanner ( 80 pages tournées + 80 clics!) à le faire, afin d'honorer la demande d'un éminent collègue, nécessitant absolument cet incontournable ouvrage, actuellement en fin d'édition, pour ses nombreuses et incommensurables recherches...
Voilà, voilà.... J'essaie de vous l'envoyer en MP!!!!
Bien à vous,
sadja

Contribution du : 16/09/2011 20:02
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Re : Ouvrages concernant l'écriture
Maître Pat de Velours
Inscrit:
16/04/2007 17:44
De Quelque part entre ma tête et mes pieds
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Primé concours
Responsables Oniropédia
Conseil consultatif
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Membres Oniris
Post(s): 63288
Hors Ligne
Si l'éminent collègue écrivain renâcle à lire cet ouvrage, moi ça m'intéresse... Par contre, par MP, ça semble difficile pour envoyer un si long format. Par mail, ça serait mieux.

Le mien c'est pat@oniris.be ; celui d'Incognito, il vous le donnera sans doute volontiers (ne serait-ce que pour pallier le désert de ses étagères...)

Si vous avez déjà fait le scan en PDF, ça me semble une demande relativement raisonnable (je n'aurais pas osé vous obliger à le faire juste pour moi). Si vous voulez bien, évidemment. Merci !

Contribution du : 17/09/2011 00:17
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"Il faut deux ans pour apprendre à parler et toute une vie pour apprendre à se taire." Proverbe chinois
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Re : Ouvrages concernant l'écriture
Visiteur 
Non mais regardez-moi ça ! Je le crois pas. Ca commence par de l'ironie au sujet de cet éminence qu'on semble ne pas vouloir me reconnaître, et puis ça fait profil bas pour mendier une copie. En plus on encourage la reproduction et la distribution publique. Bientôt, la fin de l'édition. Et où c'est que ce ça passe tout ça, je vous le demande ? Sur un site LITTERAIRE !
C'est du propre ! Non vraiment, je le crois pas.

Pat, voyons, un peu de tenue ! Même un ours devant un énorme pot de miel aurait sans doute mieux maîtrisé ses instincts.


JALOUSE !!!

Bon, Sadja, dites-moi, qu'est-ce qu'on fait ? Vous croyez qu'on peut faire quelque chose pour cette malheureuse ?

Contribution du : 17/09/2011 00:45
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