Citation :

Merci pour tes conseils, c'est agréable de voir qu'il est possible d'y avoir de l'entraide.

Absent sur le site en 2010, je découvre, grâce à Louismauriac que je remercie, les remarques entraînées par mes rubriques. Je prie ceux qui ont posé en ce temps des questions à leur propos de m’excuser de ne pas avoir répondu. Comme, dit-on, il n’est jamais trop tard pour mal faire, je précise donc à nouveau les circonstances dans lesquelles ces rubriques s’inséraient.
L’aventure se passait donc avant la création de la nouvelle centrale. En ces temps reculés et par définition primaire, les premières lectures étaient faites par les correcteurs. Malgré toute la bonne volonté qui animait ces masochistes, une certaine lassitude pouvait s’installer au fil de lectures où les fautes et maladresses récurrentes nous obligeaient à répéter sans cesse les mêmes propos. Oui, même si on est de bonne composition, à la longue, ça gonfle !
Le but de ces rubriques étaient donc d’aider les inexpérimentés et d’éviter aux correcteurs de se répéter en renvoyant ces auteurs aux chroniques.
Je précise donc à nouveau, qu’il n’était pas dans mon intention de donner des leçons à qui que ce soit. Je n’ai ni cette prétention ni les connaissances pour cela.
J’avais d’ailleurs baptisé les chroniques « destinées à ceux qui s’estiment débutants » afin de laisser à chacun la décision de savoir si elles lui étaient adressées ou non.

En ce qui concerne les demandes et remarques concernant « un début, un développement et une fin » et « un minimum de mots pour exprimer un maximum de contenu », il est évident que ce ne sont pas des règles absolues. Par contre, comme Louis Timbal-Duclaux, André Marquis et Pascal Perrat dans les ouvrages desquels (et que comme il se doit j’ai cité en son temps) j’ai pompé ces conseils, je continue à penser qu’un auteur très débutant devrait commencer par appliquer ces principes pour mieux progresser, être compris et accepté par le lecteur.