(à qui je souhaite la welcome)

je suis devenu une grosse feignasse

textuellement

garçon "multifonctions"

Non, rien, W, rien... Je te souhaite la welcome, passager de passage, comme moi... (j'te jure, je rigole pas, je suis pas du tout en train de me bidonner parce que tu fais des essayages textuels... :))) )

Bonsoir, Monsieur widjet

Pourquoi je n'ai pas commenté votre texte "Le garçon suisse".

Tout simplement parce que j'aurais du le signaler comme contrevenant sans arrêt aux règles de la plus élémentaire bonne conduite. Pour son manque de courtoisie et de prudence dans le choix des termes.
Pour ne pas vous mettre sottement dans l'embarras.

Relevons quelques "anomalies" d'évidence :

- Racisme.
Bon à tout, bon à rien = suisse ?
Vous trouvez cela courtois, vous ?
Alors, suissophobe ?
Je n'insisterai pas plus avant sur le fait, selon vos propres déclarations, que votre couteau suisse est noir ( ! )

- Chauvinisme exaspéré.
Pourquoi un "César" comme récompense ?
L 'Oscar a un côté trop étranger pour vous ?

- Homophobe.
Par exemple, dès le début de la nouvelle, cette citation révélatrice : "serveur qui s'avère être une serveuse..." ( ! ); plus loin : ".. la pédale douce côté boissons...", allusions sans finesse dont l' homophobie frappe et choque d'autant plus qu'elles sont injustes, tous les homosexuels n'étant pas dans la restauration et ne se livrant pas, non plus, aux plaisirs frelatés d'ivresses à peine légales.

- Hétérophobe.
Des formules telles que : "...le genre de fille pour qui vous êtes capable d'assister à une conférence sur les éoliennes, de faire des barres asymétriques ou d'entrer dans un magasin de bougies." !!! sont, d'évidence, hétérophobes.
De quel droit osez-vous penser qu'une personne d'un sexe différent du vôtre puisse vous imposer des tortures aussi atroces ?

- Bistrotphobe.
La description des personnes, par ailleurs sans doute respectables, qui peuplent votre bistrot, donne la fâcheuse impression de fouiller dans une poubelle emplie d'échantillons périmés d'humanité, avouez-le, coupable que vous êtes.

- Agoraphobe.
Une seule preuve : "L'authenticité, on ne la trouve plus que dans les bistrots", lieux bien évidemment fermés.

- Xénophobe.
Juste ça ( j'ose à peine citer tellement c'est atroce ) :

"Elle et moi, ça ne marchera pas, ça ne peut pas.
Et pourquoi donc ?
Parce qu'elle est de passage, en transit ( sic )..."

Quelle impudence ! Et c'est passé, ça ? J'en reste stupéfait tel un baba rond de flanc.

- Ecologicophobe.
Bien heureusement, d'autres que moi ont relevé cet aspect choquant de votre écrit ( quoique j'avoue vous suivre sur pas mal de points dans votre raisonnement mais là n'est pas la question )


Sinon, j'ai bien aimé la fin. Parce que j'aime les "happy landings" ( allo Houston ! ) et que je me demande encore quel goût avaient les lèvres de Cali.

Bien aimé ton intervention amusante.

Un seul reproche : tu as lu. Mais tu n'as pas commenté.

Pas bien.

Widjet

Je ne commente plus.
L'approche sémantique des termes est trop liée à la culture - disons sociale - et à la culture - disons générale - pour permettre une commenteurisation efficace, une qui laisse la sauce prendre et la vérité se dégager toute seule comme le fumet de la truffe sous la cendre des écrits incertains ( c'est pas mal, on dirait un peu, vaguement, du brabant, non ? ou du David un lendemain de foire...)

Mais je peux dire en forum quand j'ai aimé et pourquoi.
Dont acte pour toi.

micdec

Citation :

C'est une flemme toute personnelle plutôt, je ne suis pour rien dans ce message qui signifie si je ne me trompe que le commentaire n'aura pas lieu, pour le motif très légitime que vous ne le voulez pas. Pas besoin de plus d'explications, ce n'est pas à justifier.

@David
Du David pour la forme, David, pour la forme, pas pour l'esprit, bien évidemment.

Pour ce qui est de la flemme, pourquoi en serait-il question ici ?
Je ne présente pas de textes et ne trouve, sur Oniris, d'intérêt qu'à en lire.
Ce que je fais.
Mais, quand mes commentaires sont argumentés, précis, justifiés et pesés, je comprends mal qu'on les supprime parce que quelqu'un ou quelques-uns ne savent pas vraiment lire et/ou ignorent l'usage du dictionnaire.


Désolé pour widjet si je semble flooder son "garçon-suisse" mais je pense qu'un widjet s'en remettra.
C'est solide, ces hommes-à-tout-faire là...

@David again pasque j'ai oublié...

et je doute que plus de 20 commentaires, tant en Nouvelles qu'en Poésie ces derniers temps, puissent être considérés comme de la "flemme" commentatrice !

D'un autre côté, c'est sans grande importance puisque la semaine prochaine approche et que je n'aurai plus guère le loisir de m'amuser ( ben oui ! ) sur Oniris.

Citation :

Il était possible de reposter le commentaire en enlevant le passage demandé par le modérateur, ou en le reformulant, une copie est fournie pour cela.

Si la modération n'était pas claire, il vaudrait mieux continuer par mp, ça ne changera rien pour le texte de W mais si ça peut faire gagner un com à celui de Narcisse, c'est pas perdu.

@David
Il y avait MP et j'avais accepté - pourquoi pas, c'était demandé par quelqu'un que j'apprécie - de modifier une phrase, une formulation.
Pendant que nous échangions un ou deux MP de bon ton avec cette personne, donc, quelqu'un d'autre a purement et simplement viré le com, bing !, comme ça, en m'envoyant un courrier comme quoi j'étais un vilain garnement.

Entre parenthèses, le procédé était d'une rare incorrection envers un autre membre actif - très actif, je crois - du site Oniris.

Sinon, le sujet est clos pour moi.
Demain, c'est vendredi et je viendrai sans doute lire ici - et intervenir si je ne suis pas éjecté -
Après, samedi, dimanche, j'aurai autre chose à faire ( entre autre, déguster une canette que je vais cuisiner au foie gras, je pense, un travail à soigner, ça...)

Citation :

C'est la procédure normale, les commentaires sont d'abord cachés du public et la personne est averti dans le même temps pour que le commentaire puisse être remis en ligne.

On ne peux pas discuter avant d'agir, le commentaire pouvait prêter à ambiguïté avec la charte du site. Pour un modérateur malchanceux qui prendrait le temps de discuter avec un commentateur sur le même sujet, les réactions de l'auteur ou de quelqu'un d'autre choqué par les propos pourraient s'ajouter, en forum ou par mp, à la première discussion, avant qu'elle n'ait aboutit de préférence, ça simplifie tout.

Ce n'est pas une politesse de différer une modération, ni un privilège, c'est un risque de cacophonie.