Re,

Oniris est une mine d'entraide à qui veut le voir et y participer.
Par contre, pour d'autres il peut juste être une manière de recevoir des avis (ou des plumes, fichtre, c'est vrai que ça existe aussi).

L'implication de chacun est PERSONNELLE et entièrement BÉNÉVOLE, et je ne remercierai jamais assez toutes les personnes qui à leur rythme personnel et selon leur temps libre, prennent cette implication à coeur et font tourner le site.

Les TEURS d'abord, qui bénévolement ET sans se plaindre en public, corrigent, sélectionnent, discutent, modèrent, améliorent, ...
Ce sont eux les moteurs premiers.

Le GL, qui en anonyme et devant des anonymes prennent sur leur temps libre (d'ailleurs les TEURS appartenant au GL sont assez nombreux, c'est beau) pour rendre un retour des plus honnêtes et qui sont aussi, comme les TEURS dans une dynamique d'entraide et de soutien aux personnes qui en recherchent.

Les auteurs et les commentateurs, aussi et surtout, chacun à leur manière !

Je rappelle qu'à la base Oniris fut créée pour permettre à des auteurs amateurs de se confronter à des auteurs ou lecteurs ayant envie d'apprendre à l'autre, et d'apprendre de l'autre. Ce qui se perd à mon grand dam depuis quelques temps.

Heureusement, il y a des gens comme silvieta, mais pas que ! parce que silvieta est comme moi une hyperactive dont l'implication se ressent et se remarque, ce qui est en soi remarquable sans avoir besoin d'être constamment souligné . Le bénévolat c'est ça. Si on a du mal avec la reconnaissance, faut faire autre chose.

Tout le monde n'est pas en mesure de donner ça. Tout le monde n'a pas envie de le faire. Faut pas les accabler pour ça. Mais ceux qui le font sont dans l'esprit initial et originel du site, et tant mieux !

Faut pas se braquer.
On est des personnalités différentes, des gens différents, heureusement, on réagit tous différemment et on attend d'autres choses. On peut cohabiter et coexister comme ça sans crier à la démission ou au burn-out dès que quelque chose ne va pas dans le bon sens !

Le bénévolat, c'est pas du travail.
On peut arrêter.
Prendre une pause.
Revenir plus tard.
Ou ne pas revenir du tout.
On s'en fout.
On attend rien de l'autre, on vient pour soi, quand on a du temps, pour les autres si c'est ce qu'on recherche dans Oniris. Mais j'estime qu'on a pas à se justifier de son mode de communication ou de son implication en public si on prend le temps de participer.

Après, les égos et la manière dont le récepteur et l'émetteur peuvent ne pas se comprendre, c'est humain, et imputable à 2 personnes : l'émetteur et le récepteur.

Ptêt méditer un peu ça.
Prendre du recul.
Et revenir pour faire ce qu'on est venu faire ici !

Bon dimanche à tous, c'est l'heure de l'apéro ou presque, on respiiiiire !

(sinon après ça me gave et je deviens tatillonne)

Il est de bon ton de qualifier un commentaire négatif de commentaire vengeur. Heureusement que je n'ai pas commenté la nouvelle de Silvieta qu'elle aurait qualifié de vengeur après qu'elle est noté un "un peu" sous mon dernier poème. On n'osera plus faire un commentaire négatif désormais.
Sur ce je laisse certains dans leur parano. Je n'interviendrai plus sur ce fil car ça ne changera rien.
Au revoir.

Citation :



idem donc

Citation :

Je vous comprends aussi.
Mais faut continuer à commenter, peu importe ce que pensent les autres.

W

Bonsoir à toutes et à tous !

Je vois en effet que l'on parle beaucoup de moi. Les sadiques dans mon genre apprécient, vous le savez bien, que l'on parle d'eux. En bien ou en mal, d'ailleurs.

Silvieta, j'ai l'impression d'être un terroriste de la littérature, à tes yeux. Le pâle khâgneux s'étonne d'une telle agressivité de ta part.

C'est moi, l'enfant, dans l'affaire. Je devrais me plaindre ouvertement de mon traitement. Je devrais hurler à l'injustice ! que dis-je ! à la tragédie que tu me fais subir ! Mais tu prends ma place ! C'est terrible, tout cela.

Aux yeux de tous, sans même avoir le génie de me nommer (non, il est préférable de fusiller l'adversaire de dos), tu dresses un portrait plutôt acerbe. Je n'ai pas utilisé le mot adversaire par hasard. Comme l'expliquent quelques membres de ce site, tu rends l'échange guerrier. Le commentateur est une possible cible ; il faut évaluer son comportement et, si possible, lécher sa sueur.

Sa bonne sueur. Pour qu'il écrive ce commentaire si bon. Le choix est malin : remercier les bons Samaritains. Les bons et loyaux disciples. Mais Judas, on ne le remerciera jamais. Barabbas, je n'en parle pas ; le lâche n'a pas intérêt à te croiser.

Ta stratégie est atypique et non moins divertissante.

Tes arguments deviennent, au fil de tes interventions, ad hominem. C'est-à-dire que tu choisis de me houspiller, non sans une certaine maestria, je dois bien l'avouer. Tu ne juges pas l'avis littéraire que j'émets sur un texte d'une confondante légitimité (chaque texte a sa valeur), mais tu préfères crier sur les toits d'Oniris que je suis un démolisseur. Le choix des mots n'est jamais hasardeux. Tu as eu la licence d'écrire toutes ces considérations.

Elles sont étranges. Peu respectueuses, naturellement, mais surtout, en fait, n'apportent rien. Je ne suis pas un démolisseur. Je suis évidemment sadique, puisque j'ose dire être peu convaincu de la teneur littéraire de ton texte (quelle indécence, hein !). Mais pas inhumain non plus.

Réellement, as-tu bien lu mon commentaire ? Je me fiche parfaitement de ta manière d'être à ce site (tu es admirable d'autant commenter les textes des autres, mais je m'en fiche comme de ma première chemise. C'est te dire). Je ne jugeais qu'un texte.

Je me fiche de tes lectures, de tes écritures (régulièrement lire ou écrire des nouvelles ne signifie jamais être un bon littérateur).

Ainsi, tu m'as essentiellement fait rire. Ce n'était pas probablement pas ton intention, mais j'observe avec attention que mes collègues ont bien souligné leur étonnement quant à ton agressivité.

J'aime rire, ça tombe bien. Ce doit être mon côté rabelaisien ?

Bien à toi,
Hadrien le terrible. Même pas vingt ans.

Avant d'aller vaillamment gagner mon pain quotidien, je me suis mis un peu d'Oniris avant de partir, comme j'aurai pu écouter un morceau de Bach ( je déconne, je ne supporte pas la musique classique, ou alors, ''la danse du sabre, des trucs de ce genre, qui déménagent ).
4 heures du mat, j'ai des frissons, je bois mon café, et je lis tranquillement les propos des uns et des autres, dont une stupéfaction de voir des commentaires modérés, alors qu'il me semble hier les avoir lu.
Comme quoi rien n'a vraiment d'importance.
J'aime bien le dernier commentaire, celui qui se trouve juste avant. Moi qui pensais être le seul sadique de ce site, me voici rassuré. Bon, là je dois y aller, alors bonne journée à toutes et tous.
Personne le courageux. Même pas 100ans.

ça c'était couru d'avance. On vous a sonnés ? HadrienM et Personne, je ne vais pas troller sur votre fil malgré ce que je pense de vos qualités d'écriture et de la pertinence de vos commentaires d'une manière générale.

Alors cessez de prendre le mien pour un paillasson.

Merci.