Bonjour Malitorne,

Vous suggérez une influençabilité regrettable de ma part, c'est un avis, pas une évidence, dans lequel je ne me reconnais pas. Je vous inviterais plutôt à garder votre sang froid quand un intervenant vient donner son point de vue sans agressivité particulière ni fausse précaution, en toute franchise ; ce qu'a fait à mes yeux hersen.
Quand je vous lis dans cette phrase (#20) :
Citation :.
Je ne peux que constater, "sans influences", que vous êtes bien susceptible - où sont les "attaques" que vous évoquez ? - et que la focalisation dont vous parlez venant d'hersen, semble plutôt être inverse, de vous à hersen dont les propos paraissent vous toucher plus particulièrement. Vous avez un franc parlé, soyez reconnaissant envers ceux qui s'adressent à vous franchement.

Avertissement:

La remise en cause de la modération, la mauvaise foi avérée :

Citation :

ne correspondent ni à l'esprit du site, ni à ce qui est admis par la charte.

Je voulais mettre un commentaire à la fois positif mais également en partie critique sur ce texte. Je préfère renoncer pour ne pas risquer de froisser la susceptibilité. Dommage, il me semblait que quelque soit l'appréciation d'un lecteur il y a toujours matière à en retirer une réflexion. Mais je ne veux pas m'exposer à des retours polémiques.

Quatre contre un c'est beaucoup

Et si on détendait l'atmosphère ?

ICI

Bonjour.
Je suis nouveau sur Oniris, et ne sais pas encore bien ce que l'on peut dire et ne pas dire. Le bon sens et le respect d'autrui me semblent essentiels, comme partout. J'ai lu la charte et je viens de la relire.
Ce passage parlant du commentateur m'a interpellé :

"Il importe qu’il sache distinguer ce qu’il lit de ce qu’il projette dans sa lecture. Dans son commentaire, il dit s’il aime ou non ce qu’il lit en s’exprimant sans emportement et surtout sans pousser la discussion à la polémique"

Dans ce cadre, lorsque Hersen écrit :

"je reproche à ton texte, et à d'autres que tu as publiés ici, de tourner court, de rester dans la blague du gros tonton du bout de la table, qui raconte en lorgnant sur la petite nièce",

peut-être n'a-elle pas souhaité être blessante, je ne sais pas.
Mais en quoi l'évocation d'un pervers pédophile parle-t-elle du texte ? Le commentateur a le droit de se tromper dans son interprétation, certes.
Mais ici, le personnage évoqué, qui "raconte" la blague peut facilement être assimilé à l'auteur du texte.

Lorsque, simple commentateur du poème, j'ai lu ce passage, je me suis moi-même senti attaqué en tant que lecteur ayant juste apprécié le poème. Je n'imagine même pas ce qu'a pu ressentir son auteur. En tout cas, je comprends sa réaction.

Merci Ligs de partager mon indignation. La comparaison d’Hersen est dégueulasse mais c’est moi qui suis trop susceptible…
Je ne comprends pas votre banderille Robot, on peut savoir ce que je vous ai fait ? J’attends avec un vif intérêt votre commentaire et resterais comme à mon habitude pondéré. Mes ripostes sont toujours une conséquence de coups bas.
Hé oui Cristale, je ne suis pas en odeur de sainteté. La bonne du curé, bien sûr, ça faisait une éternité que je ne l’avais entendu !
Je ne connaissais pas Marinette, Sympa. Elle m’a fait sourire et se situe dans le même registre que Monacale.

Salut Malitorne,

J'ai voté oui pour ton texte en centrale de publication, je ne suis pas le seul vu que celui ci a été publié...

Je ne compte pas spécialement le commenter parce que perso, ce n'est pas un texte qui m'a marqué

J'ai aimé la "morale" de ton écrit une charge bon enfant contre l'église, explicité par les passages que tu cites...

Bon enfant, c'est ce que je retiens de ce texte, mais contrairement à la fougue que tu mets à défendre ton texte (libre à toi), tu le dis toi même.

Et oui, Annie Cordy pour illustrer tout ça certainement, c'est mieux que gare au gorille de G. Brassens, d'ailleurs j'ai pas pas bien compris le rapport... avec Annie Cordy plus !... ;

Bonjour à tous,

Je n'ai pas désiré commenter ce poème, ne souhaitant pas éventer un secret de famille, enrobé de grands mensonges. Mais le sujet de ce texte me concerne de très près, je n'entrerai pas dans des détails que je connais peu, si ce n'est pour dire l'essentiel : ma mère était bonne soeur et déjà enceinte quand elle a rencontré celui qui m'a reconnu comme son fils. Cela s'est passé avant ma naissance, et de toute ma vie je n'ai connu qu'une mère comme les autres, dont j'ai appris beaucoup plus tard l'ancienne appartenance à l'ordre religieux.

Ce qui me dérange, dans toute cette polémique, c'est que certains croient cette èpoque révolue. J'ai 44 ans et je ne me sens pas vieux. Rappellons qu'une gestation prend neuf mois... un autre point qui me dérange encore plus, c'est que certains (je ne vise personne en particulier, bien sûr, suivez mon regard) prennent position sur le problème sans en avoir vécu une simple seconde. Je déteste cordialement ceux qui réagissent à un fait de société après en avoir acquis une connaissance toute théorique au travers d'un média quelconque, abordant la question sur l'ordre des idées. Je trouve ce genre de prise de position merdique, tout en restant poli.

Pour le reste, on aurait pu faire à ce poème un commentaire en rapport avec l'avenir de la mère et du rejeton : une vraie aubaine pour quelqu'un affligé d'un trouble de la personnalité narcissique... comme l'a si bien dit Cristale dans son commentaire, tout cela n'est qu'une histoire d'adultes sado-masochistes consentants.

Les poèmes de Malitorne sont, oui, très grivois, même salaces. Mais son regard par rapport à des faits de société anecdotiques, sont ici, plutot justes. Personnellement, je préfère rire de la chose qu'en pleurer ou m'en scandalider.

Je songeais il n'y a pas longtemps ; voilà une mer bien calme que celle d'Oniris, où plus l'on ne s'enflamme, juste quelques brandons ça et là d'un feu allumé, qu'un éteignoir plein de sagesse vint coiffer.
Et puis comme ça, tel levé par un Mistral en colère, un vent mauvais sème le trouble... pour un poème osé, mais loin d'être graveleux ( de toute façon, modéré il ne put survivre dans ces colonnes ) l'on s'emporte, ça monte dans les tours, et l'on se dit comme à chaque débordement " ce n'est pourtant que de poésie, qu'il s'agit ; non point de savoir qui l'on va fusiller, qui l'on va épargner "
Allez poètes, rengainez vos colts et affûtez vos plumes ! les muses attendent !

Il ne faut pas tout mélanger...
Le texte a été publié. Ce qui pose problème est la réaction de l'auteur aux commentaires négatifs portés.
Il me semble important que les différents avis soient entendus sans qu'un auteur demande à un commentateur de l'ignorer ni qu'il fasse des suppositions sur sa faculté de commenter, ni sur l'intervention de la modération.
Vincente a été très clair dans son explication.

L'auteur s'exprime et défend son texte, mais si sa défense mène au dénigrement des commentateurs, il y a un problème. Robot exprime le risque d'auto censure qui en découle.

Ce serait bien que le calme et la mesure reviennent.