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1 Utilisateur(s) anonymes
Re : Merci pour un poing sait tout ! |
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Visiteur
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Bonjour Tiramisu,
Il y a des choses que je peux laisser passer, mais pas à chaque fois. Citation :
Cela peut ? Vous arrive-t-il de confronter la réalité aux fantasmes ? De manière récurrente, vous redoutez des choses qui jamais ne se produisent. Ici comme sur un fil précédent au sujet d’un autre texte. Est-ce ainsi que vous participez à des échanges, en faisant en permanence des suppositions s’avérant fausses ? Ne concevez-vous aucune altérité vous permettant de laisser une place à l’autre et à la confiance ? A cela, vous ajoutez une chose inacceptable : de manière récurrente également, vous faites des conjectures sur la personnalité de votre interlocuteur, sur ce qu’il pense ou ressent. Je connais suffisamment bien la charte de ce site pour savoir que ce faisant, vous flirtez avec ses limites. Je vais par conséquent demander à la modération de bien vouloir examiner la manière par laquelle vous traitez vos interlocuteurs. Ce sont des choses que je peux laisser passer une fois, peut-être deux, mais pas lorsqu’elles se reproduisent de manière récurrente. Lorsque j’évoque Balance ton porc, je suis hors-sujet du cadre strict de votre texte, vous avez parfaitement raison. Ce ne sont que deux lignes (deux lignes !) sur lesquelles vous vous focalisez, que vous prolongez vous-même par une évidence et à propos desquelles vous écrivez « Est ce qu'au fond les hommes qui ne sont pas concernés et qui se sentent salis comme vous le dites se sentent tellement solidaires de la communauté masculine pour en souffrir ? ». Je ferais injure à votre intelligence en imaginant que vous ne puissiez comprendre en quoi cela pourrait constituer une chose suffisamment grave pour qu’elle ne demeure pas en suspens. Par ailleurs, en formulant une question, vous ne pouvez vous étonner de recevoir une réponse. Et si Marite a insisté sur ce point, je n’en suis pas responsable. N’avez-vous pas la sensation d’être totalement hors-sujet lorsque pour avoir un contrôle absolu de votre fil, vous attaquez votre interlocuteur ? Citation :
Je n’ai que faire du fond de votre pensée et de votre ressenti à mon sujet, en particulier lorsque j’en connais le contenu. Non seulement vous redoutez des choses qui ne se produisent pas, mais vous mettez en place toutes les conditions pour qu’elles se produisent. Lorsque vous écrivez une nouvelle, vous pouvez baliser le cadre de votre intrigue, bâtir vos personnages à votre guise, leur faire dire ce que vous voulez qu’ils disent, leur faire penser ce que vous voulez qu’ils pensent, leur faire ressentir ce que vous voulez qu’ils ressentent, les faire aller là où vous voulez qu’ils aillent, prévoir leurs actions futures, l’auteur étant en quelque sorte un manipulateur puisque rien n’entrave ses désirs, mais je ne suis pas, Tiramisu, un personnage de vos nouvelles. Je suis une personne réelle qui entend bénéficier du respect de son interlocuteur. Me suis-je, à aucun moment, permis cela à votre endroit ? Je ne fais aucune conjecture vous concernant, je me contente de relever des faits objectifs puisqu’ils sont inscrits noir sur blanc et consultables à souhait. Si vous m’avez lu sur ce fil, vous devriez savoir que j’ai suffisamment été confronté à ce genre de situations pour avoir appris à m’en préserver pacifiquement. Et puisque je suis, comme Hersen, sensible aux usages communs dans un Etat de Droit, et même si nous ne sommes pas ici dans un Etat, j’introduis un dossier auprès de la modération. A cet effet, je rassemblerai toutes vos interventions, sur ce fil et sur un autre, dans lesquelles vous vous attaquez à la personnalité supposée de votre interlocuteur plutôt que de parler du sujet. Quoi qu’il en soit, sans présager de la réaction de la modération, j’éviterai à l’avenir de vous croiser, et par conséquent de commenter vos textes puisque l’un ne va pas sans l’autre. Bien cordialement, Bandini
Contribution du : 20/12/2021 13:19
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Re : Merci pour un poing sait tout ! |
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Expert Onirien
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16/07/2019 14:25 Groupe :
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Citation :
Bandini : « De manière récurrente, vous redoutez des choses qui jamais ne se produisent. » Si justement, elles se produisent et voilà une nouvelle fois. Mesurez-vous le ton et les propos de ce que vous venez d’écrire ? Voilà ce que je redoutais. Me suis-je trompée, apparemment non, vous le prouvez-vous même. Comme la dernière fois sur un autre fil de discussion. Vous prenez la mouche, pourquoi ? Que me reprochez-vous ? Vous avoir donné mon ressenti honnêtement. Vous ai-je agressé ? Ou, quand, comment ? En quoi vous ai-je attaqué ? Citez-moi. J’ai dit que je vous sentais à vif. C’est mon ressenti. Mon ressenti n’est pas une vérité absolue, mais c’est ma vérité. Et vous parlez d’altérité ! Elle est là l’altérité accepter le ressenti de l’autre qui est sa vérité. En revanche, vous m’avez agressée en me disant que je ne prenais pas mes responsabilités. Et, je me sens agressée par ce dernier post où vous me prêtez des attitudes que je n’ai pas, comme vous considérer comme un personnage de mes nouvelles. Vous m’accusez de flirter avec les limites. Ce sont des procès d’intention. Je suis d’accord avec vous sur un point, cessez de commenter mes textes, et cessez d’échanger avec moi, j’en ferai autant. C’est déjà ce que je vous ai proposé précédemment.
Contribution du : 20/12/2021 16:17
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Re : Merci pour un poing sait tout ! |
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Maître Onirien
Inscrit:
09/03/2013 09:32 Groupe :
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24669
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Salut,
avoir suivi ce fil de discussion m'a poussé à lire le texte, là à trois heures trente du matin, sur mon téléphone à l'écran fendillé, assis sur le carrelage gelé de ma salle de bain tandis que ma femme et nos enfants roupillent à côté. Dans quatre heures je vais partir au taf complètement explosé, mais c'est un détail au regard des enfants polyhandicapés dont je "m'occupe", eux ils se plaignent pas... Alors bien sûr y a les collègues qui prennent de haut et qui font chier, ce théâtre qu'est l'existence et dans lequel je joue souvent très mal, car pas envie, parce que j'en vois pas "l'utilité". Bref, pas le sujet. Je dis "ma" femme donc , je pourrais dire "ma" compagne, ce serait peut-être mieux, mais j'aurais toujours du mal avec ce "possessif", alors comment désigner, comment l'écrire, "la" compagne peut-être avec un grand L en mode grandiloquent, je sais pas. Les mots ne sont qu'un pâle reflet de ce qu'on voudrait exprimer, de ce qu'on ressent. Finalement. La "transmission" d'une pensée est compliquée, quant à l'honnêteté envers soi-même... Alors ce texte, Tiramisu. Ce texte et ce fil de discussion. Je vais écrire mon ressenti sur les deux ici, j'espère qu'on ne m'en voudra pas. D'autant que mon ressenti... Il y'a de l'ambivalence. Il y a de l'ambivalence en toute chose je crois, tout est brumeux et pour ma part le "positionnement" au sens large est assez compliqué. Je peux commencer tout de suite par dire que je ne "comprends" pas ces hommes qui frappent leur compagne, je ne les "comprends" pas car je ne parviens pas à " me mettre à leur place", je n'ai aucune espèce de forme d'empathie à leur égard donc, c'est quelque chose que je ne "comprends" pas. Je suis un homme, mais n'appartient pas, comme Bandini, à une quelconque "communauté" et je n'éprouve, plus largement, aucune solidarité particulière pour ceux qui partagent le même sexe que moi. Je confesse avoir souvent du mal à éprouver un sentiment de solidarité envers l'espèce humaine, mais la question n'est pas ici, quoi que. Le texte se place donc "dans la tête de", en l'occurrence dans celle des "bourreaux", des "agresseurs", je ne sais pas comment les appeler j'avoue. Dans la tête "d'un" bourreau plus particulièrement. L'exercice n'est sans doute pas aisé. Il est question ici de "justifications", alors que justement il n'y en a pas. Donc effectivement ce n'est pas aisé et il est difficile de ne pas tomber dans certains "clichés de situation" à mon sens. Mais sans doute que toutes ces histoires "se ressemblent" finalement, ce qui est d'autant plus effrayant. La vie est une caricature. On ne guérit jamais de son enfance paraît-il, je préfère choyer l'enfant qui vit en moi, l'enfant que je voudrais choisir plutôt que celui que je fus. Du coup je m'aperçois que j'ai du mal à exprimer ce que "je" pense du texte et du fil de discussion. Nous trainons tous nos expériences comme des casseroles plus ou moins brinquebalantes, plus ou moins bruyantes, plus ou moins rouillées. J'en retire ce parallèle avec les stages pour le permis de conduire, pour retrouver ses points. Pour se "racheter" une conduite. Sans doute faut-il aller fouiller en nous-mêmes, bien racler le fond et ne pas avoir peur de remuer la merde. Demeurer à la surface est une constante, la stagnation un état ordinaire.
Contribution du : 21/12/2021 04:44
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La compréhension n'est pas nécessaire à la poésie, mais la poésie est nécessaire à la compréhension. |
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Re : Merci pour un poing sait tout ! |
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Expert Onirien
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Merci pour ce passage, Pouet, j'espère que ce fil ou mon texte n'a pas été la cause ou au moins n'a pas contribué à votre insomnie.
J'ai aimé la douceur qui se dégage de votre intervention qu'elle soit voulue ou non. Citation : On ne guérit jamais de son enfance paraît-il, je préfère choyer l'enfant qui vit en moi, l'enfant que je voudrais choisir plutôt que celui que je fus. C'est une certaine sagesse, en effet. Mais je ne suis pas d'accord que l'on ne guérit jamais de son enfance, cela demande beaucoup de "médications", avoir conscience de ses blessures, vouloir les guérir, et la guérison est longue avec beaucoup de rechutes. Citation : Du coup je m'aperçois que j'ai du mal à exprimer ce que "je" pense du texte et du fil de discussion. Nous trainons tous nos expériences comme des casseroles plus ou moins brinquebalantes, plus ou moins bruyantes, plus ou moins rouillées. Ne pensez vous pas que la violence reçue dans l'enfance est rentrée en nous et pousse comme une tumeur purulente qui a besoin de s'évacuer, soit elle s'écoule à l'intérieur de nous , soit elle est projetée à l'extérieur, dans les deux cas, cela peut être dévastateur. Citation : Sans doute faut-il aller fouiller en nous-mêmes, bien racler le fond et ne pas avoir peur de remuer la merde. Demeurer à la surface est une constante, la stagnation un état ordinaire. ça me parle. Bonne fin de nuit Pouet !
Contribution du : 21/12/2021 09:00
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Re : Merci pour un poing sait tout ! |
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Visiteur
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Tiramisu,
La modération statue actuellement. Quelles que soient ses conclusions, il me parait important que vous compreniez pourquoi je fais appel à la modération. De plus, je ne pense pas que ce soit hors sujet de votre texte. Je pense qu’on est même en plein dedans. Pour les plus fragiles d’entre nous, les poings parlent lorsque les mots ne le peuvent pas. Vous savez peut-être ce qu’est la CNV (communication non violente). Il y a sans doute un effet de mode à son sujet et elle ne devrait pas non plus être utilisée de manière caricaturale au point de créer des cocottes minutes qui jamais ne peuvent libérer la pression, mais elle est tout de même très intéressante. Peut-être même auriez-vous cherché à l’utiliser. Si c’était le cas, il me paraitrait intéressant d’en rappeler le principe. Voici un extrait de ce dit Wikipedia à son sujet : Dans son best-seller Guérir, David Servan-Schreiber décrit le processus de la CNV en termes relativement simples. Selon lui, le premier principe de la CNV est de remplacer tout jugement par une observation objective, afin d'éviter les réactions habituelles de son interlocuteur face à une critique. Le second principe est d'éviter tout jugement sur son interlocuteur pour ne parler que de ce que l'on ressent, l'autre ne pouvant contester cela. L'effort consiste alors à décrire la situation en commençant ses phrases par « je », pour être « dans l'authenticité et l'ouverture » Dans votre dernier message à mon adresse, vous avez notamment écrit « Et, je me sens agressée […] ». Ça, c’est de la CNV. Quel dommage qu’à la phrase juste avant, vous ayez écrit : « En revanche, vous m’avez agressée […] » Saisissez-vous la différence entre ces deux phrases ? Dans la première citée, vous utilisez le JE pour aborder votre ressenti VOUS concernant. Je ne pourrais contester ce ressenti dès lors que vous l’exprimeriez honnêtement puisque je ne peux pas être dans votre cerveau pour savoir ce qu’il s’y trouve. Dans la deuxième citée, vous utilisez le « VOUS » pour porter une accusation contre une agression dont, selon vous, je serais coupable. Il y a encore d’autres choses, récurrentes, sur ce fil et sur un précédent. Je vous cite par quelques extraits : 1. Je pressentais que vous aviez le sang chaud, vous me le confirmez ! 2. Mais je supporte assez mal la condescendance. 3. Et surtout je sens que l'émotion est trop forte de votre côté pour que celui ci reste serein. 4. Je vous sens souvent à vif. Voilà, vous connaissez le fond de ma pensée. Au point 2, vous portez encore une accusation, même si la formulation est ici subtilement indirecte. Aux points 1, 3 et 4, vous faites quelque chose qui a le goût et la couleur de la CNV, mais qui est à l’opposé de la CNV. Vous utilisez le JE, pour exprimer votre ressenti, mais un ressenti ME concernant, supposant une intention ou un état d’esprit de ma part, avec toutes les chances de vous tromper. C’est violent et je le ressens violemment. C’est une violation de cerveau. Je me sens violé. Vous ne pouvez pas, Tiramisu, savoir ce qu’il y a dans mon cerveau. En faisant cela, vous mettez en place toutes les conditions d’un dérapage. En faisant cela, vous me niez totalement, vous écartez la possibilité d’une relation de confiance et d’altérité. Pire encore : de manière répétée, vous prévoyez une situation future de conflit alors même que cette situation ne se présente pas. Et ce mode de fonctionnement trouve sa conclusion parfaite ici au post #22, dans lequel, après avoir mis en place toutes les conditions d’un dérapage, vous concluez que cette situation est advenue et que vous aviez dès lors toutes les bonnes raisons de craindre si ce n’est même de savoir que cette situation adviendrait. De votre première intervention à mon adresse, sur un autre fil, jusqu’à la dernière sur ce fil, vous êtes dans une situation de manipulation. Attention : je ne dis pas que soit conscient ni volontaire de votre part. Je dis simplement que je me sens manipulé de bout en bout, que je me sens nié de bout en bout, et je propose à la modération d’estimer si cette situation peut être appréciée comme telle et si elle peut être considérée comme un danger dans la conduite de discussions qui ne demandent pas tant pour déraper. Je connais bien ce site et je connais donc très bien les conditions de dérapages fréquents. Il est parfaitement possible de mener une longue discussion avec quelqu’un n’étant pas du même avis sans que jamais rien de fâcheux ne se produise. Il est revanche possible, comme ici, que quelque chose de fâcheux se produise alors même que les avis ne sont pas fondamentalement divergents. Il suffit parfois de beaucoup moins que cela pour que des noms d'oiseaux fusent, même si ces noms sont plus moins littérairement maquillés. La violence se trouve aussi là où certains ne la voient pas.
Contribution du : 21/12/2021 11:36
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Re : Merci pour un poing sait tout ! |
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Expert Onirien
Inscrit:
16/07/2019 14:25 Groupe :
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3094
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Bandini,
Cette fois ci vous considérez que je suis une manipulatrice. Je ne vous répondrai pas car je risque à nouveau que cela soit mal interprété. Je ne vous répondrai plus car je me tiens à ce que je vous ai dit dans mon post précèdent, je ne veux plus avoir à échanger avec vous.
Contribution du : 21/12/2021 12:25
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Re : Merci pour un poing sait tout ! |
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Visiteur
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Je n'ai jamais écrit que vous étiez une manipulatrice. J'ai écrit que je me sentais dans une situation de manipulation, indépendamment du fait que vous en soyez consciente ou que ce soit volontaire de votre part, à la différence de vous qui avez à plusieurs reprises porté des accusations ou vous êtes permise des remarques déplacées au sujet de mon supposé ressenti.
C'est toute la différence que manifestement vous ne comprenez pas et qui pourrait éclairer des problèmes de communication. Et c'est la raison pour laquelle je demande à une instance tierce d'y porter attention.
Contribution du : 21/12/2021 12:57
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Re : Merci pour un poing sait tout ! |
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Visiteur
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Question : à quoi reconnait on un manupulateur ?
Réponse : il vous accuse de le manipuler.
Contribution du : 21/12/2021 13:03
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Re : Merci pour un poing sait tout ! |
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Organiris Animodérateur
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12/05/2016 20:15 De Vendée (85)
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Chacun a pu s'exprimer sur ce sujet, nous vous remercions donc de mettre fin au débat. Vincente pour l'équipe de modération
Contribution du : 21/12/2021 15:29
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