Je me doutais bien que je n'étais pas propre....

Toi même mon petit coeur !

Menvussa en a fait une pas mal, à mon sens. Du cut-up réinventé; pas mal.

Dans le mpeme ordre d'idée :

VoRici B unUe phrTase exprCimaKnt bWieQn lGe cHhaTos.

sinon :

Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Eurk! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum! Yum!

Je sais pas pourquoi, mais je regarde et je ris. C'est si subtil que j'ai failli passer à côté du chaos. J'ai envie de dire : excellent ! J'adore le côté gymnastique ou militaires à la parade que ça suggère. Ca me fait rire. J'y peux rien, dsl.

jaimetonsensduchaoscyberelaxvafalloirassurerderrierepasfaciledentrouvrirlaportedutourbillonsansfindelapertedeselementsdesideesdecideesetdesilusionaceluiquicroitlavoirsaisi

J'aime bien cette exercice ! Je vais rester sur un coté plus conventionnelle. Cette petite nouvelle (Je débute et je fais pas mal de fautes en plus) est une autre approche de la définition du chaos

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Chaos

Assis à coté d’une cheminée, un homme d’une quarantaine d’années lit tranquillement son livre. Son esprit divague aux files des pages. L’histoire le passionne, il prend même l’espace d’instant la place du héros, sauvant des flammes la douce princesse.

La lecture touche à sa fin. Le temps est passé tellement vite. Le feu de cheminé commence à s’étouffé. Charles se lève de son fauteuil, sa chambre à couchée est seulement à quelques pas. Soudain, son cœur et son pou s’arrêtent. Son esprit commence à quitter son enveloppe charnelle. Une lumière apparaît, ce fameux tunnel. Es comme dans les livres ? Les anges m’attendent t’ils de l’autre coté de la porte ?

D’un coup la lumière du savoir recule. La main de son corps le rattrape de justesse et l’oblige à retourner dans son cadavre.

Que ce passe t-il ? Ou je suis ? Autour de lui plein homme en tenu blanche. Il se sent transporté. Il comprend, je suis sur un brancard.
- Ne vous inquiéter pas nous allons vous sauver !
Charles essai de parler mais rien ne sort les tubes respiratoires l’empêche de parler. Il regarde à gauche à droite, il ne reconnaît pas les lieux.
- Ou suis je, pense t-il ?
Ses yeux commencent à s’obscurcir, son rythme cardiaque s’accélère.
- Nous le perdons ! Crie un médecin.

C’est fini ! Nous ne pourrons pas le sauver une seconde fois. Sa femme Jane ne comprend pas comment un chose pareil a pût se passer. Sa fille Barbara essai de la consoler.
- Ne pleure pas ! dit-elle
- Mon mari, ton père est parti nous ne le reverrons jamais ! Comment veux-tu stopper ces larmes ?

Sa fille le sait bien. Même avec la plus grande volonté du monde, elle ne pourra pas arrêter la rivière de couler avec une simple pierre. Pour sa mère le chaos l’envahi. Que faire ! Qu’allons nous devenir ? Des miler de questions surgissent de son esprit. Elle sent un désir de haine l’envahire. Elle craque ! Des larmes coulent de ses joues. Les médecins ne disent rien. La dépouille de son mari est conduit dans une autre salle.

- Maman je m’occupe des papiers.
- Oui, chérie, je reste là je ne bouge pas.

Jane reste seul dans le couloir. Tout est confus. La perte d’un être chère est un vrai supplice. Tout au tour d’elle devient sombre. Les patients de l’Hospital se transforment en zombie. Les murs se crépissent de noir. Les bancs en plastiques dans le couloir se métamorphosent en onyx taillé à coup de pioche. Le plafond se peint de lierres ténébreux. Ses membres ne la tiennent plus. Elle tombe !

Un médecin la relève, l’assoit sur une chaise de la salle d’attente. Elle renifle un peu de produit mentholé. Rien aucune réaction ! Son corps est vivant mais son esprit n’es plus.

Après des heures et des heures d’analyses et de traitements, les médecins sont formels.
- Votre mère n’est plus avec nous
- Quelle horreur comment es possible ?
- Le choc de la mort de votre père !
- Quand va t’elle redevenir comme avant ?
- Très peu de chance ! Son corps est vivant mais son cerveau ne répond plus. Son monde a changé, sa vision n’est plus. Elle respire, ses yeux son ouvert mais votre mère n’est plus parmi nous.

Dans ce chaos total Barbara ne pensait plus. Le désordre s’installe dans son âme, dans son corps… L’horreur est bien présente.
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N'hésitez pas à poster vos remarques.

Stéphane

Le chaos est de l'ordre désordonné
Le désordre est du chaos ordonné.

L'ordre est parfois du désordre chaotique
Le désordre est parfois de l'ordre non chaotique.

Antimatière - matière.

Obscurité - lumière.

Fission de l'atome - merveille de l'ADN.

Nanotechnologie - Grande muraille de Chine.

Ma petite émotion – univers multiples?

Féminin - masculin.

Oui - non.

Non - oui.

Chaos - non chaotique?

Système binaire - système binaire.

Le désordre c'est la réalité forcée d'entrer dans un système binaire.

L'ordre c'est ce que nous tentons de faire de la réalité qui nous dépasse.

Tu te réveilles, tu te lèves, tu passes sous la douche, tu déjeunes
tu te jettes dans les transports, tu travailles toute la journée, tu replonges dans les transports, tu dines frugalement, tu regardes un peu la télé, tu te couches, tu remontes ton réveil, tu disparais dans le sommeil, tu rêves que tu te lèves, que tu es sous la douche, que tu déjeunes, que tu prends les transports, que tu travailles

et à ce moment tu te réveilles. Il fait nuit. Tu te réveilles vraiment, d'un bond, et tu hurles. Tu hurles : "STOPPPPPPPP"

C'est dur le métier de garde-barrière.
ARF

Citation :

Ce n'est pas le Chaos, c'est le grain de sable.

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Yo!