Allez j'efface mon com, dansons tous la carmagnole.

Pouet, auteur auto-modéré

J'ajoute que je vais dorénavant ignorer superbement cet auteur (luciole) et que je souhaite grandement qu'il en fasse de même avec moi.

C'est noté Pouet, et je plussoie à ton souhait : quand on ne peut pas se blairer, le plus simple est souvent de s'ignorer. Dans les deux sens.

(Superbe étendard ! Lorsque ce fil joue le jeu, c'est du beau jeu !)

T’as vu comme les Bleus ont manqué de soutien
Parce que Ma Dalton n’a pas poussé pas au train ?
Allons, la prochaine fois je serai plus fair play
Et les voisins sauront pour qui je crierai

Demain, je crois d’ailleurs qu’ils vont déménager
Quand pour nos diables rouges très fort je hurlerai
Dans les moments cruciaux des passes décisives
Et quand les petits Suisses iront à la dérive

Mais la finale est loin, soyons plus réalistes
L’affaire n’est pas encore tout à fait dans le sac
Il suffit qu’une fois nos p’tits Belges soient patraques…

Et si jamais le sort nous est comme ça contraire
Je me consolerai devant un verre de bière
En écoutant chanter le Victor le footballiste

https://www.youtube.com/watch?v=wBtx-EQ0_3g

Le sujet semble déjà épuisé. Je suppose qu'après avoir perdu un tiers des siens, la francophonie européenne retient sous souffle pour les deux tiers descendant aujourd'hui dans l'arène.


Et si on tentait un autre sujet d'actualité ?
Dans la bonne humeur... toujours !



EXERCICE N°7

Imaginez un sujet de nouvelle au suspense haletant ! Un peuple vient de s'exprimer démocratiquement en faveur de la sortie d'une entité plus vaste. Les votants déçus se révoltent, déclarent leur volonté d'indépendance, menacent d'une implosion de leur nation. Des votants ayant gagné, mais également déçus, découvrant le populisme, se demandent si on ne s'est pas un peu moqué d'eux, battent leur coulpe, déclarent que c'était un essai juste pour rire, qu'on va refaire ça sérieusement pour de vrai. Près de trois millions de sujets signent une pétition pour saisir le parlement, lequel fait volte-face en refusant la sanction des urnes pipées, invoquant Trafalgar et la victoire face à une infériorité numérique. L'Histoire est en mouvement. Par où passera-t-elle ? Où s'arrêtera-t-telle ?
Voici quelques pistes, à suivre ou non, pour une nouvelle totalement imaginaire.

Mais... gros problème technique : votre nouvelle doit tenir en quatorze lignes, et pas n'importe comment !

Contrainte la plus importante : dans la bonne humeur !

Je m'appelle Philip's ; Philip's Joe. Je suis cow-boy aux états désunis. Les états désunis d'Europe, sont si différents les uns des autres, qu'on se demande encore aujourd'hui, qui a bien pu avoir l'idée saugrenue, de vouloir unifiée des pays, qui à la base, n'en demandaient pas tant.
Sous l'égide de la mondialisation, sûrement. Peur de se faire manger la laine sur le dos, par des nations, telle que les états-unis d'Amérique, la Chine, et les Emirats.

En désirant contrer ce fléau qui se profilait à l'horizon, du moins selon les instigateurs d'une Europe unie, ont finalement facilité l'essor économique des nations ennemies. Et nous, Européens, mais avant tout, étatisés chacun par son pays défini d'origine, se sont retrouvés propulsés dans un processus, qui, on s'en aperçoit en ce moment, et c'est grave, navigue non seulement sur des eaux tumultueuses, mais apparemment sans un véritable capitaine à bord.
Si le gouvernail représente la Grèce, et bien nous n'avons pas fini de dériver. Si les voiles sont l'Espagne, le Portugal, l'Irlande et l'Italie, nous n'allons pas pouvoir avancer bien vite. Alors par tempête comme en ce moment, le mal de mer commence par créer des nausées, même pour ceux qui ne souffraient pas du mal de mer.
Heureusement l'Allemagne est là. C'est grâce à elle d'ailleurs que je suis cow-boy. C'est elle qui dirige le navire, et a besoin de mecs comme moi, pour mettre un peu d'ordre parmi les indiens d'Europe de l'est. En effet, ces contrées restent les plus sauvages de la planète.
Le trafic d'alcool n'est pas le seul à gérer. Leurs pauvretés créent des dissensions au sein de la communauté. Profitant de la richesse des uns, aidés par la largesse des autres, ils se faufilent entre les deux, et s'octroient le pactole ainsi offert, en pourfendant les entrailles du système, nous laissant le goût du chou de Bruxelles bien amer.

Mais comme la France est un gentil pays, et gouverné par un Hollandais, on ne pouvait pas faire mieux pour prouver notre attachement à l'Europe.
Même que bientôt nous serons gratifiés d'une loi, qui aura la douce saveur Orientale.
Une loi digne, afin que les pauvres soient encore plus pauvres, et les riches... Bah les riches. Ils ont bien raison, et puis on s'en fout.
Moi j'ai cessé de rêver d'être riche, car ça n'était plus crédible.

Donc pour en revenir à cette loi immuable, créée dans un contexte de crise, il est temps de mettre les Français au pli, et moi, cow-boy de mon état, n'hésitera pas une seconde à jouer du pistolet, si jamais mes compatriotes faisaient trop de zèle, à désapprouver un médicament ( il est vrai que pour qu'il soit efficace il faut l'avoir dans le trou-de-balle ), bénéfique pour leurs santé.

La prochaine fois, je vous raconterais l'histoire détaillé d'un Hollandais, d'un Espagnol, et d'une chèvre.

Bonjour, Personne,

Merci de votre contribution. Je vous présente mes excuses car j'ai dû m'exprimer trop métaphoriquement. Une "nouvelle en quatorze lignes" est une autre manière de désigner un sonnet.

Que les francophiles me pardonnent et que les anglophiles trouvent encore plus de force pour pardonner mes erreurs de débutant !




Bloody Thursday


Could I make a prayer, using my poor langage,
Dreaming of this flag on the shoulders of Freddy
When he weared the colours of this old lost lady
I call "Britain The Great in her smoggy cottage".

As we walk through the years writing a brand new page,
It's a very long way to become a buddy.
This is done and don't hear, when the sky is cloudy,
Those who want to return far in the middle age !

Please, resist as you would if you where a lover
And we will sleep again under the same cover,
London, Belfast, Cardiff, Edinburgh with Europe.

Sir, You've broken my heart. Bring it back, bring it back !
We can't live a long time, away like misanthrope.
Trust us and may God save the union of your Jack !



Don't leave me !

We will rock you, Great Britain !
(on remarquera mon côté fair-play à trois heures de Hongrie-Belgique !)

God save the Queen !

Bonjour Stony. En effet, j'ai pas compris. Disons que ce sont trois ou quatre sonnets compactés.
Sinon bravo pour votre sonnet, mais il me faudrait la traduction, ne parlant que le suisse, le belge, et un peu le fran9ais.

Bon j'ai fait un sonnet à ma sauce... anglaise... beurk ?
Je plaisante.
Pour ma première strophe, il faut penser à la musique particulière, et la voix nassillarde de la TSF, au temps de la guerre mondiale, qui délivrait des messages codés improbables, pour nos vaillants résistants.


''Les Français parlent aux Français.
Les fiançailles n'auront pas lieu.
Je répète ; la mariée dit adieu,
Et rejoint St Paul pour yesterday.''

Ainsi l'île, tel un pudding,
Rompt l'amarre à l'Europe,
Délaissant l'invitation du King
de Bruxelles, cruel Cyclope.

Soyons heureux et fair-play,
Le rosbeef aura toujours du goût,
Bien qu'au foot il est trop de bagou.

L'Anglais et sa Queen of today,
Dérivent parmi les îles,
Mais qu'aurait pensé Churchill.