Tout est possible, stony, et je suis prêt à m'incliner devant votre version. Si elle le mérite, évidemment.

Et bien Stony ayant l'accord de Léo, et comme je suis de la plus haute impartialité, je ferais le juge-arbitre...

(comment ça je n'ai ni l'autorité, ni la compétence pour ? Damned je suis démasqué...)

Dites-moi monsieurF

avez-vous eu d'autres suggestions pour les contraintes.

Si oui me le dire sur ce fil où par messages privées.

Mince, Leo, vous rendez-vous compte de la pression que vous me mettez pour écrire ? Je crois que ce sera la pire contrainte à laquelle j'aurai eu à être soumise.
Mais voyons les choses autrement : je le considère comme un hommage et non comme un défi.

Cette fois, l'inspiration était au rendez-vous. Bon, il faudra être indulgent, car ce n'est pas facile de passer derrière les petites perles qui précèdent.

— R'tiens-moi, r'tiens-moi, j'te dis ! J'vais lui faire bouffer ses dents, avaler ses pieds, à l'aut' pignouf ! Non mais r'garde le, i'm'provoque ! Quand j'en aurai fini avec lui, j'te jure qu'il lui faudra d'l'aide rien qu'pour décrocher ses tableaux, que même l'ADN pourra pas aider à l'reconnaître. J'te m'vais lui coller une écrevisse dans l'vol au vent, ça va pas traîner ! J'te jure qu'avant ç'soir, i va fumer des souches l'emplumé ! Bouge pas d'là, j'vais changer l'eau des olives pis on lui fait sa fête au gros con !
— Dis-moi Riri, t'as encore bien picolé aujourd'hui, pas vrai ?
— Bah, un peu... Pourquoi ça ?
— J'sais pas, une idée comme ça. P'têt' bien parce que depuis tout à l'heure, c'est d'vant un miroir que tu t'excites.

Du court mais du bon, Kerosene, et une chute que je n'avais pas vu venir. Bravo !

Un très bon texte en effet, et la chute est vraiment bonne !

Citation :

Que vous dites, Kerosene. La votre trouvera sa place à côté des autres pour constituer un beau collier.
Arielle a raison : la chute ne s’annonçait pas.
(tiens, en passant : c'est bête qu'Arielle ne nous propose rien cette semaine, car j'ai constaté que je n'avais encore rien dit au sujet de ses perles et je comptais réparer cet oubli cette semaine. Ce sera donc pour la prochaine).

Juste une petite remarque, toute personnelle, au sujet des textes de Kerosene et de Pepito...
J'adore l'argot et suis donc ravie de le voir apparaitre dans leurs textes, que j'ai beaucoup appréciés, mais j'ai un peu de mal avec les élisions apostrophées. Sur quelques lignes, ça passe, mais ça devient rapidement écœurant, pour moi.

sonnet approximatif à Berta


Berta, ma douce, fume une souche
Hier encore, c’était dimanche
Elle vivait, dévorait son brouet
Consolait son café, puis le sirotait

Las, elle est partie, ma sans malice
ma branleuse de gendarme, ma complice
Elle a rendu l’âme, déposé les armes,
Je ne goûterai plus son ineffable charme

Sa bouche gourmande, qui boude aux dominos
ne me sourira plus, je ne la verrai plus
avec avidité, décrocher ses tableaux

Malgré son écrevisse dans le vol-au –vent
Je l’aimais tant, mais voilà le temps file,
II me faut à présent changer l’eau des olives

Très beau texte costic avec les contraintes que tu as mis.