Page d'accueil   Lire les nouvelles   Lire les poésies   Lire les romans   La charte   Centre d'Aide   Forums 
  Inscription
     Connexion  
Connexion
Pseudo : 

Mot de passe : 

Conserver la connexion

Menu principal
Les Nouvelles
Les Poésies
Les Listes
Recherche



Parcourir ce sujet :   2 Utilisateur(s) anonymes



« 1 2 3 (4) 5 6 7 ... 12 »


Re : Littérature Francaise: Nombriliste et Rasoir!
Chevalier d'Oniris
Inscrit:
11/08/2010 12:12
De Le pays du brouillard levant
Groupe :
Évaluateurs
Auteurs
Membres Oniris
Primé concours
Groupe de Lecture
Post(s): 2109
Hors Ligne
Mazeltof.

Je suis content que tu aies trouvé quelques choses qui te donne autant (sincèrement). On devrait tous avoir un truc qui nous ramène aux sources, peu importe que ce soit de la littérature, un film, une ville ou que sais-je encore... (moi c'est les Beatles, donc tu vois)
Et si quelqu'un viens me dire que pour lui c'est les Pokémon ou l'antologie de Tokio Hotel, je crierai bien fort:

Mazeltof.

Tout ça pour dire que la littérature que tu dénonces (je comprends ce que tu veux dire, même si ton terme "littérature française" est un peu vaste pour tout mettre dans le même panier) est probablement très importante pour quelqu'un au même titre que Bernard Werber (que je respect sans aimé tout ce qu'il a fait) pour toi ou les Beatles pour moi.

Et qui sommes nous pour lui dire qu'il a tort. Après tout, on peut ne pas aimé Victor Hugo ou W.A. Mozart tout en admettant qu'ils ont eu une influence considérable sur le monde en général.

Maintenant, ce qu'il serait intéressant, c'est que tu nous donnes le titre d'un ou plusieurs livres que tu estimes décevant, afin que nous puissions mieux cerner ta pensée qui est, j'en suis sûr, tout à fait légitime.

Et n'oubliez pas: In the end, the love you take is equal to the love you make. (Remember John Lennon). Thanks to all, peace.

A bientôt.

Contribution du : 09/10/2010 21:00
_________________
"Ne paniquez pas"
Douglas Adams - H2G2
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : Littérature Francaise: Nombriliste et Rasoir!
Visiteur 
Bon et bien tant pis pour moi alors.
Je n'aime pas Werber donc je ne suis pas quelqu'un ouvert d'esprit.

Je lis entre autres parfois encore des vieilles merdes classiques qui semblent te raser. Je dois être définitivement un vieux con (déjà). C'est pas de ma faute Nils. Ne m'en veux pas surtout.
Tu as su ouvrir les yeux comme il fallait.
Désolé d'être intervenu.

Contribution du : 09/10/2010 21:15
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : Littérature Francaise: Nombriliste et Rasoir!
Apprenti Onirien
Inscrit:
25/09/2010 19:51
De la Galaxie d'Andromède
Groupe :
Évaluateurs
Membres Oniris
Post(s): 119
Hors Ligne
Benway le prend pas mal c'était pas méchant, je cherchais un argument. Les goûts et les couleurs, tu sais...

Jphil tu sais bien que j'adore tes vannes!



Citation :
Maintenant, ce qu'il serait intéressant, c'est que tu nous donnes le titre d'un ou plusieurs livres que tu estimes décevant, afin que nous puissions mieux cerner ta pensée qui est, j'en suis sûr, tout à fait légitime.


Bonne Idée! je vais faire un tour dans ma bibliothèque personnelle et vous dire ça...

Contribution du : 09/10/2010 21:58
_________________
Supporte et attends. >>
Essaie de changer ce que tu ne peux plus supporter.

Aide-toi et le ciel t'aidera. >>
Aide-toi car le ciel ne t'aidera pas.
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : Littérature Francaise: Nombriliste et Rasoir!
Visiteur 
Bonjour Nils,

Je suppose que ton forum est volontairement et exagérément polémique pour faire réagir. Partant de cette hypothèse, aucune raison de se fâcher et d'en venir aux mains.

J'aimerais réagir sur un point que personne n'a abordé, si je n'ai rien loupé.

Citation :

En effet, tout les romans, ou nouvelles qui sorte ne sont que des pâles autobiographie nombriliste où l'auteur raconte sa vie à travers un personnage qui vit que des malheurs.


Commençons par la la fin de la phrase ("qui vit que des malheurs"), c'est ce qui me prendra le moins de temps, je crois.
Sur le principe, finalement, je suis assez d'accord avec toi. Parce qu'en tant que scribouilleur, c'est ce qui me parait être à ma portée (le maheur, je veux dire). Ecrire sur le bonheur me parait être un exercice extrêmement ardu. J'ai l'impression que je ne pourrais dire que des truc très très chiants, tant sur le fond que sur la forme. D'ailleurs, il m'est arrivé de le faire, mais je n'oserais montrer ça à personne. Parce qu'en effet, moi même j'ai trouvé ça horriblemet chiant. C'est dire !
Si tu connais des textes/auteurs qui ont pondu des trucs valables là-dessus, n'hésite pas à me dire quoi/qui, d'autant que j'ai une culture à me fabriquer.

Pour la première partie ("pâles autobiographie nombriliste où l'auteur raconte sa vie"), je pourrais te répondre à la fois en tant que lecteur et auteur (Diable que ce dernier terme est présomptueux !... mais soit).
J'ai lu peu, mais la très grosse partie de ce que j'ai lu fait partie de cette catégorie. J'y trouve un plaisir que je trouve plus faiblement dans d'autres formes. J'ai l'impression que je ne suis pas le seul à avoir payé pour ce que lis, dans ce cas, mais que c'est d'abord l'auteur qui a payé avant d'écrire, que c'est pas du toc. Je peux plus facilement m'identifier, non seulement au personnage(s), mais surtout à l'AUTEUR, en tant qu'être humain qui partage, communique son expérience de la vie. Je ne sais pas s'il existe réellement d'autres manières de cerner, comprendre un être humain, mais en tous cas la projection en est au moins l'essentielle. Lorsque je lis certaines choses, je me dis : "Mais alors, je ne suis pas le seul a avoir vécu ça, pensé ça, ressenti ça !". Ca m'ôte d'emblée un grosse épine, une énorme épine du pied : la culpabilité. Je peux me sentir coupable pour des tas de trucs, des pensées, des actes, que la morale, la société réprouvent. Y a de ces trucs dont je ne parlerais à personne, même pas à mon meilleur pote. Du coup, je me sens déjà beaucoup plus concerné par le propos, et je peux aussi, non plus par projection , mais par intérêt, curiosité, être plus ouvert à d'autres parties du propos, que je n'ai pas forcément vécues, mais que je ne rejette plus du champ de mon intérêt parce qu'elles me seraient étrangères.

En tant qu'auteur (Argh !), je n'ai jamais écrit qu'à la première personne du singulier. Il y a énormément d'autobiographique dans ce que j'écris. Pas uniquement, mais même ce qui ne l'est pas, l'est encore. Je veux dire qu'il m'arrive d'écrire des choses qui ne me sont pas du tout arrivées, mais qu'il ne s'agit encore dans ce cas que de transposition, c'est-à-dire d'imaginer des histoires qui me viennent très naturellement, parce qu'il ne s'agit que de faits qui induisent les même émotions que celles que j'ai pu vivre. Pourquoi dans ce cas, transposer ? Parce que tout expérience vécue par un individu est extraodinaire pour lui-même. Si je lis un truc dont je peux me dire : "Oui, bon, d'accord, mais tout le monde a vécu ça, mon pote, mon oncle, mon voisin,...", c'est pas un truc qui me parle personnellement. Par contre, si je peux me dire "Ben merde alors!. je croyais que j'étais le seul au monde à avoir vécu ce truc, ou l'avoir vécu de cette façon, que j'étais le pour lequel ce petit machin banal a a eu une telle importance , mais ce type là, ce gugusse qui m'a pondu ces lignes, il a vécu la même chose que moi. Non, mais, c'est dingue !", l'affaire est gagnée, parce que l'auteur ne me parle plus de lui, mais de MOI. Vu comme ça, l'autobiographique (ou éventuellement sa transpotion) n'est plus l'expérience de l'auteur, mais celle du lecteur. Pas celle DES lecteurs, mais celle DU lecteur, pris individuellement. L'auteur ne parle plus aux lecteurs, mais à un lecteur. Si j'osais cette faute d'accord, je dirais "des lecteur", parce que chaque lecteur serait l'objet unique de l'écrit. Et, partant, le 'Je narratif" n'est plus un "Je égoïste", ou "Je nombriliste", mais, bien au contraire un "Je altruiste". Il ne s'agit pas de dire "Regardez ce que j'ai vécu !", mais "Voilà ce que j'ai vécu, si vous pouvez en faire quelque chose pour vous-même, faites-en ce que vous voulez, je vous le donne. Et c'est pas oarce que je vous le donne que ca ne m'appartient plus."

D'ailleurs, que de JE ci-dessus !... me voilà bien nombriliste !

Contribution du : 10/10/2010 01:48
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : Littérature Francaise: Nombriliste et Rasoir!
Visiteur 
D'ailleurs, j'y repense... Quand je disais qu'une grosse majorité des romans que j'ai lus était (ou dans le principe) autobiographique, la moitié au moins de leurs auteurs étaient anglo-saxons.

Contribution du : 10/10/2010 02:11
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : Littérature Francaise: Nombriliste et Rasoir!
Chevalier d'Oniris
Inscrit:
01/10/2008 00:05
Groupe :
Évaluateurs
Auteurs
Membres Oniris
Post(s): 2443
Hors Ligne
Je suis équivalent à un S français et je trouve que tu es un pure m... et je ne m'estime pas au-dessus du monde grâce à ce parcours.

Je crois que notre très cher troll instigateur du sujet pèche par d'énormes failles ; jugements incomplets à l'emporte pièce, manque de documentation, cruelle absence d'exemples probants (je n'estime pas que citer Werber en soit, mais j'y reviendrai peut-être ensuite), volonté grandiloquente de "casser" un système prétendument "vu" par notre instigateur qui est - et c'est tout personnel - à quand même des lieues d'une réalité effective.

Ce qui est le gros problème, ceux qui m'ont précédé pourront en convenir, des généralisations "à la n'importe quoi". J'applaudis ceux qui auront pu garder leur calme tant la mise en bouche était trollesque.

Je voudrais d'abord revenir au "cas" de Môssieur Bernard-Werber-qui-a-fait-Les-Fourmis.

Je m'insurge un peu, quand même, contre le fait que ce monsieur apprenne réellement quelque chose à ses lecteurs, ou bout du deuxième bouquins où il retape sans cesse les mêmes théories sur lesquelles il n'a aucun regard critique ; ce que j'aime dans les théories, normalement, c'est qu'elles ne font pas office de bourrage de crâne dirigé, imprégnées de la compréhension d'un auteur (et ce pourrait être à peu près n'importe lequel) que j'estime, a priori, peu ou pas fiable.

Alors voilà ; répétition de concepts déglutis benoitement, absence de regard critique (la loi et le pouvoir de l'auteur à dire "C'est comme ça !"), et non, franchement, ce qu'il dit ne change pas la face du monde. J'ai envie de dire qu'avec un minimum de culture on n'apprend pas grand chose, mais je dois avoir du mal à me transposer en dehors de mon catéchisme de "S" (suis-je maudit ?).

Citation :
l'univers de la Justine de Sade, la provoc pornographique en moins


Mais que reste-t-il alors !?

Milwokee ; S et ne pas aimer Bel Ami !? COMMENT SE PEUT-IL ? Hérétique ! Personnage de peu de goût ! Fin du délire.

Citation :
Pour ma part j'aime bien Maupassant, mais je ressens un petit côté "malsain" dans ses écrits qui me dérange. Par contre Balzac je trouve ça génial ... ET lisez du Isaac Assimov, c'est SUPER!


J'ai envie de dire que les trois bonshommes "ne font pas du tout la même chose". Et ne pas aimer le "petit côté malsain" chez Maupassant c'est comme Verlaine sans absinthe, Dali sans délires scatologiques, Proust sans madeleine, Céline sans points de suspension... (ouh, comme j'étale)

@NILS et uniquement :

Il y a bien une chose que je n'ai retrouvé nulle part dans tes messages ; l'ouverture à une quelconque remise en question. Werber c'est bien. Botero c'est de la merde (je n'ai pas d'opinion pour ce dernier, mais l'homme que j'ai rencontré m'avait l'air tout à fait sympathique et abordable). Les cultivés sont des branleurs et rasoirs. Ceux qui n'ont pas compris Werber sont des pouilleux ayant évacué le fond de ses livres.

Et s'il n'y en avait pas, de fond dans les livres de ton "maître", t'imposerait-on dogmatiquement ? Qu'il faut vraiment être un gosse pour le penser et le défendre, qu'en dirais-tu ? Pas très ouvert, je suppose ? Pour ça, je trouve la réaction de Benway légitime (et non, ta réponse n'est en rien un argument, là dessus je pourrais être catégorique).

Bref, pour le sujet en lui-même je dois bien avouer ne pas avoir à répondre ; je ne me détache pas du ton volontairement polémique et trollesque, généralisant (tous les romanciers actuels, toutes les blondes, tous les juifs, ...) au possible et dans l'erreur par voie de faits. Je trouve, et lisant tes réactions ensuite, que tu te fermes de facto à ce que quelqu'un d'autre puisse venir chambouler ton opinion si bien établie (ceci peut être dit avec un ton hautain, prétentieux, et immensément condescendant, imagine l'effet que ça fait... C'est bien... Continue.) en t'apportant sa réponse dans ce qu'est la problématique ici : un conflit de goûts, d'opinions, et peut-être même une volonté de nuire.

Donc : documente-toi. Un peu. Et arrête les généralités frustrantes et énervantes. Je crois que ça peut donner soit des envies de baffes, soit de ne pas ou plus répondre, tout simplement.

Je disais aussi ; j'ai vu Pierre Botero avant qu'il ne suce des asticots. Mais Werber aussi. L'un était un mec sympa et aimable avec qui j'ai pu casser la graine au comité de lecture où j'allais. L'autre était imbuvable, sa haine du système universitaire (et surtout philosophique) transpirait de partout. Cette fois là, je l'ai étiqueté de "con", intérieurement. J'étais encore jeune.

Contribution du : 10/10/2010 04:41
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : Littérature Francaise: Nombriliste et Rasoir!
Chevalier d'Oniris
Inscrit:
14/07/2010 20:09
De Alençon / Paris / Cachan
Groupe :
Évaluateurs
Auteurs
Membres Oniris
Post(s): 1111
Hors Ligne
(arf merde... euh, mon précédent message est une fausse manip, dsl !) Edit de Daph : Message effacé

Un truc me chiffonne... cette idée que la littérature c'est pour apprendre des trucs.

Certes, j'ai pas lu tout le forum mais ces mots "lire" et "apprendre" sont présents assez souvent je trouve. Trop même.

Euh... un roman n'est pas un manuel il me semble ? Si on pense apprendre sérieusement en lisant du Werber, on risque fort de prendre des vessies pour des lanternes. Et si un livre est un manuel, ce n'est pas de la littérature.

Culture et apprentissage, éducation et instruction, c'est pas la même chose. La littérature, d'autant plus lorsqu'elle est classique, nous cultive, parce qu'elle nous fait découvrir un langage, un style, une vision du monde, une partie du beau, et qu'elle actualise en nous nos potentialités universelles.

De même quand on apprend vous me direz. Mais l'objet n'est pas le même : connaissances d'une part, esthétique de l'autre.

Pour conclure, je préfère largement les ouvrages décriés par l'instigateur de ce forum à ceux qu'il encense. Après avoir lu Madame Bovary (bon vieux gros classique) ou (pire encore !) l'Iliade, l'Odyssée et le Nouveau Testament, j'en suis sorti bien plus "cultivé" qu'après avoir lu les Fourmis (même si j'avais beaucoup aimé les fourmis). C'est pas histoire de se la péter. C'est un fait.

Cher Nils (PostBlue : pseudonyme corrigé), lisez donc la Bible, le Coran, le Ramayana, et autres textes sacrés si vous voulez vous instruire sur les religions. En plus, vous aurez l'occasion d'éduquer sûrement votre goût, ces textes ayant passé les époques avec une force que les ouvrages d'un auteur comme Werber n'auront jamais.

Contribution du : 10/10/2010 09:44

Edité par daphlanote le 10/10/2010 11:26:24
Edité par PostBlue le 10/10/2010 12:42:33
_________________
Ton rire est un démiurge qui de mille éclats repeuple tout un ciel qu'on a privé d'étoile...

http://jesuisuneusineapunaise.over-blog.com
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : Littérature Francaise: Nombriliste et Rasoir!
Apprenti Onirien
Inscrit:
06/10/2010 22:14
Groupe :
Évaluateurs
Auteurs
Membres Oniris
Post(s): 201
Hors Ligne
Ah non, non, c'est pas moi, hein... C'est NILS. Sans E.

Moi je dis pareil que vous.

Contribution du : 10/10/2010 11:05
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : Littérature Francaise: Nombriliste et Rasoir!
Chevalier d'Oniris
Inscrit:
14/07/2010 20:09
De Alençon / Paris / Cachan
Groupe :
Évaluateurs
Auteurs
Membres Oniris
Post(s): 1111
Hors Ligne
oups pardon, autant pour moi ^^.

Contribution du : 10/10/2010 11:57
_________________
Ton rire est un démiurge qui de mille éclats repeuple tout un ciel qu'on a privé d'étoile...

http://jesuisuneusineapunaise.over-blog.com
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : Littérature Francaise: Nombriliste et Rasoir!
Maître Pat de Velours
Inscrit:
16/04/2007 17:44
De Quelque part entre ma tête et mes pieds
Groupe :
Primé concours
Responsables Oniropédia
Conseil consultatif
Évaluateurs
Auteurs
Membres Oniris
Post(s): 63288
Hors Ligne
Citation :

Nils a écrit :
(pour ma part, attention j'attaque pas, je pense que c'est surtout que tu n'es pas assez réceptif pour comprendre le fond de ce livre. Pour ma part je connais peu de monde qui ai aimé les Thanatonautes, et ceux qui ont aimés étaient des gens d'un esprit très, très ouvert.


Je suis comme Benway : j'ai rapidement refermé "les fourmis" et je le revendique, tout comme je revendique un esprit sans doute plus ouvert que cette interprétation sauvage.

Tant mieux si tu apprécies Werber, Nils. C'est important aujourd'hui que les jeunes aiment lire et c'est une des découvertes qui m'ont fait apprécier Oniris : qu'il y ait encore pas mal de gens, parmi les jeunes générations, qui aiment lire. Chacun peut trouver son bonheur tellement la lecture peut être diversifiée. Mais faire des classements à partir de ses goûts (et il ne s'agit que de ça, et certainement pas de culture) et en déduire des généralités sur les aspects personnels des gens, comme leur soi-disant ouverture ou réceptivité, ça va un peu trop loin. Et on pourrait interpréter ce genre d'avis péremptoire de manière peu charitable...

Attention à la manière de s'adresser aux gens et aux jugements à l'emporte-pièce. Sur Oniris, nous ne savons forcément qui est qui.

En tant que modératrice, j'ai frémis à ce qui a été répondu à Benway, même avec les précautions verbales utilisées. Tu as de la chance qu'il s'agisse de quelqu'un de pondéré (et ouvert quoi que tu en dises, comme le montre sa réponse : lui, au moins, ne juge pas tes goûts). Certains ici n'auraient pas eu sa courtoisie. Il n'en faut pas plus, parfois, pour enflammer les forums.

Contribution du : 10/10/2010 14:10
_________________
"Il faut deux ans pour apprendre à parler et toute une vie pour apprendre à se taire." Proverbe chinois
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer



 Haut   Précédent   Suivant
« 1 2 3 (4) 5 6 7 ... 12 »





Oniris Copyright © 2007-2023