"Le voyageur imprudent" de Barjavel est assez poilant, je trouve. Après, l'humour...

@ Iktomi :

C’est le terme « exagéré » que vous aviez utilisé dans votre com qui me turlupinait.
Je range volontiers les prénoms des protagonistes dans la catégorie « exagération ». C’était un clin d’œil à Pepito qui en est friand. Si vous ôtez ces prénoms, je n’ai pas tant l’impression qu’il y ait exagération. Certes, le ton du Boss est léger, voire humoristique, mais ce ton se trouve précisément en contraste avec le caractère tragique de la situation des « travailleurs forcés » et, selon moi, le renforce.
Ce n’est pas que je sois vexé de ce terme « exagération », mais je me demande juste, hormis les prénoms, ce qui est objectivement exagéré. Peut-être l’expression familière des personnages, forcément datée ?

@ Pouet :

Merci du conseil de lecture. Ah, si je pouvais retrouver le temps de lire ! Même sur Oniris. J’ai une brouette de coms en retard.
Le côté positif, c'est que je n'ai pas non plus vraiment le temps d'écrire sur Oniris et ça, je crois que personne ne s'en plaindra :)

Pouet a mentionné Barjavel, c'est très juste : j'ai lu Ravage il y a peu et certains passages sont assez hilarants alors que le sujet est d'une gravité extrême.

Il y a du Barjavel en vous, Stony !

@ Iktomi :

Senglar me parlait de Bradbury, vous me parlez de Barjavel et je ne connais les deux que de nom.
Comme je regrette d'être inculte !
Remarquez, ça me change de Céline... quoi que... voir réponse à Palrider :)

(faut que je vous dise qu'après mes premiers textes sur Oniris, certains me reprochaient de "faire du Céline". Faire du Bradbury ou du Barjavel, ma foi, ça me change, et on ne pourra pas me soupçonner de copier)

@ Palrider :

Merci pour le com... pas bien long... mais suffisamment pour que j'y retrouve quelque chose qui me fait penser à Céline.
Je me goure ?


PS : je ne peux décemment plus faire autrement que passer chez un libraire pour y acquérir deux ou trois Barjavel.

Oui Stony c’est tout à fait ça

Mince, je me suis fait chouraver un com.
Un Passionnément, en plus, c'est ballot.

Ravage et Le voyageur imprudent forment une sorte de diptyque.

Je n'ai lu que le premier qui est un récit partiellement post-apocalyptique décrivant le monde de 2052 subitement privé d'électricité.

Assez prophétique par certains côtés, complètement à côté de la plaque par d'autres, le roman a été écrit et publié en pleine Occupation (1942/43).

Considéré comme un des textes fondateurs de la SF française.

Bonsoir CerberusXt,

Je suis peu présent par manque de temps. Bonne surprise pour moi de découvrir (un peu tardivement) un nouveau commentaire.
Merci à vous d'avoir goûté mes raisins.