Pour reconnaître les participants peut-être faudrait-il savoir qui a participé. Seuls 5 ou 6 se sont exprimés jusqu'ici ; enfin je ne demande pas la liste des participants qu'on peut réserver pour la fin... ou pas.

Je pose simplement une piste de réflexion :)

Je ne dévoilerai rien pour le moment...



Autant commenter en aveugle. C'est un des enjeux du défi...

Bien sûr, tous les lecteurs peuvent lire et commenter, qu'ils aient écrit ou non dans le cadre de ce défi.

Puis, il est vrai que c'est assez amusant de se demander qui a écrit quoi...

Un parfum pour chaque humeur


Difficile de faire un long commentaire, cette nouvelle envoie ses effluves comme un bouquet. Pourtant elle est bien graduée, elle est construite dans le temps avec ses différentes étapes et il y a une chute, à l'extrême fin, amusante.
Tout cela est bien agréable à lire, sans ennui et sans se démentir, l'héroïne est sympa.
J'aurais aimé savoir ce qui est arrivé à Serge, il fait un peu lutin là.

Contrat rempli ! Pari plus que réussi !

:))

Un parfum pour chaque humeur

Une jolie histoire, racontée avec sagesse au coin du feu en tricotant des chaussettes. Les contraintes sont respectées (le titre d’entrée de jeu annonce comment l’une d’elles va être mise en musique) alors que ce n’est pas si simple.

Des chiens et des Hommes

La brigade des chiens écrasés, excellente idée ! En plus, j’avais aimé cet inspecteur dans une autre nouvelle alors le voir là, quel délice. Et cette nouvelle est riche en détails, portée par une écriture débridée mais pas « too much ». L’enquête policière est presque un Mac Guffin dans le sens qu’elle sert de prétexte à servir le thème, respecter les contraintes et laisser aller le feu d’artifices. Et ça marche !

Wasabi : j'ai été agréablement surprise par le thème et le ton décalé de la nouvelle, qui est ponctuée tout le long d'un cynisme impressionnant. L'idée de la moutarde qui monte au nez est omniprésente, et le raifort qui devient wasabi est somme toute logique. Et le miroir entre le narrateur et Wasabi aussi.

J'ai apprécié ma lecture dans cet univers pas si froid qu'il s'oblige à l'être, j'ai trouvé la narration bien menée et le style agréable.

Je pense savoir l'auteur.

Boeuf bourguignon m'a surprise parce que j'ai rédigé une nouvelle pour ce défi dont le narrateur est un chien aveugle et sa maitresse porte à une lettre près le même prénom que la jolie rouquine de votre histoire

C'est donc compliqué pour moi à commenter, parce que j'ai longuement hésité à la poster car dans ses contraintes Vilmont précisait : personnage principal est une personne aveugle, et du coup je trouve votre texte d'une grande originalité du point de vue du traitement narratif, ça m'agace

Cela dit, je trouve que le chien a un langage particulièrement soutenu, pour un chien, s'entend. Je pense également que ce pauvre chien doit avoir le train arrière en compote avec cette volée de 39 marches à monter et descendre, qu'il va encore monter et descendre jusque son boeuf bourguignon de rouquine floue...

Mais l'ensemble est agréable à lire, les références nombreuses ponctuant le récit sont autant de petites respirations dans le récit. C'est fin. Ce qui est plutôt une bonne chose pour un récit alimentaire. :)

Je ne suis pas certaine de l'auteur, j'hésite entre deux.

Train de Nuit

L’écriture est fine et ciselée ; je ne suis cependant pas un grand fan de ce type de nouvelle, désolé de le dire comme ça. Cependant, il y a un certain charme suranné dans celle-ci, peut-être lié également à l’époque qu’il traite. Et la chute est bien vue, conclut bien le thème lancé par la contrainte.

Un parfum pour chaque humeur

Je trouve le titre original, et dans le contexte de l'histoire racontée, le côté original l'est d'autant plus.

Cependant, j'ai trouvé dommage que la nouvelle soit aussi longue à prendre en compte cette contrainte "Parfum de femme"...

Durant les deux premiers tiers du texte, on songe peut-être à quelque chose en rapport avec le flair du chien... mais au-delà de cette mauvaise piste, finalement, ce qui m'a plu c'est juste cette relation humaine qui s'inscrit sur la fin.

Bon, je ne suis pas fan des chiens, alors forcément, je ne suis pas objective.

Mais bravo pour ce récit que je n'aurais pas su écrire, tant le sujet était difficile !

"Des chiens et des hommes"


Un commissaire qui est lui-même toutou sans être cabot, j'aime.
quelques remarques :
- ''Le Parisien" : j'aurais mis ''à""
"le gentil p'tit Youki à Gotainer"
- j'ai repéré une répétition à la fin : "superbe lévrier... superbe caniche..."
Je crois que, s'il passe par là, Miguel, qui ne manque pas d'humour, appréciera le titre de "La Croix"... :) Qu'il aille voir !...
Pour l'avoir vérifié et vécu moi-même je certifie que l'anecdote du lièvre mis à faisander dans les waters (planche de bois, pas de chasse d'eau) est exacte.
L'auteur(e) me permettra de m'incliner sur la fin devant Altesse. S'il/Si elle en a assez de la voir se rouler dans le caca, il/elle peut me la laisser, je l'adopte. J'ai un jeune fils qui est lui-même coprophage.

Merci pour tout, y compris la nourriture !

:))