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1 Utilisateur(s) anonymes
Re : Exercice d'écriture N°1 |
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Bonjour,
Je suis extrêmement novice dans la matière de l'écriture, j essai de me concentrer sur cette exercice, mais j'ai une petite question. Que signifie "2 pages Word minimum" ? cordialement, Stéphane
Contribution du : 27/02/2009 16:31
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Re : Exercice d'écriture N°1 |
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Cela signifie : au minimum deux pages de texte.
(Deux pages Word est une métonymie (nan ?) : cela veut dire deux pages tapées dans le logiciel Micro$oft Word. Mais tu peux saisir tes deux pages sur n'importe quel éditeur de texte, ça ne changera rien.)
Contribution du : 27/02/2009 16:44
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Re : Exercice d'écriture N°1 |
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Merci Ululo pour votre réponse
Contribution du : 27/02/2009 17:11
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Re : Exercice d'écriture N°1 |
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De rien...
Contribution du : 27/02/2009 17:44
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Re : Exercice d'écriture N°1 |
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Pourrait-il y avoir un exercice N°2 ?
Je sèche sur celui-là. Et j'ai besoin de remonter au créneau, j'ai besoin de retrouver l'inspiration, quelqu'un pourrait-il lui mettre son pied au cul pour qu'elle ME revienne ? Et si quelqu'un m'a piqué la MIENNE, pitié qu'il ou elle me la RENDE ! une lampe halogène, un échiquier, une tv cassée, un tournevis, et un journal daté d'une semaine... Ca ne m'inspire pas ! Amenpeine
Contribution du : 27/02/2009 17:46
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Re : Exercice d'écriture N°1 |
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Organiris Animodérateur
Inscrit:
22/05/2007 22:42 De mon hamac
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Mais c'est-y-pas que je l'avais oublié, c't'atelier moi ?
Je ne peux qu'encourager l'initiative, je lirai plus tard, j'ai à faire mais bravo à ceux qui participent ! L'exercice numéro 2 est ici Nous avions sur estimé le facteur temps à l'époque mais si il y a quelques courageux, pourquoi ne pas faire redémarrer le barda ? Edit : Il y a aussi celui ci, illimité dans le temps : Le Diable a perdu un œil
Contribution du : 27/02/2009 17:56
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Re : Exercice d'écriture N°1 |
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Voici ma modeste contribution.
Je suis ouvert à toutes critique, bonne lecture. Parmi les jeux télévisés du 24eme siècle, un seul surpasse tous les autres, l’« Ancienne mode » a l’heure ou tout est électronique et miniaturisé, cette émission pourrai sortir les gérants de la chaîne des plus profonds ennuis financiers. Les programmateurs télévisuels n’arrivent plus à persuader les téléspectateurs de leur bon fondé. Après d’énorme tentative est des millions de mondiaux dépensé. La foule ne regarde plus la télé, presque devenu obsolète, à la guise du tout environnementale et écologique. Un jeune prodige pourtant trouva une idée « l’ancienne mode », émission de télé réalité enfermant deux protagonistes dans une pièce pendant une semaine et un jour. Aucune caméra dans la pièce, le but est simple, essayer d’entraîner ces deux acteurs vers leur plus grand démons. Une liste d’objet est disponible est les téléspectateurs doivent parier sur l’état des objets et des participants. Alexandra, jeune étudiante en science naturel, n’arrive plus à tenir, la douleur est trop intense,. Depuis quelques heures sa cheville lui fait atrocement souffrir. La malheureuse à glissé sur un tourne visse qui traînais par terre. Alexandre quand à lui, prisonnier dans un établissement de la région de Normandie purge sa peine pour vente de produits illicites, en participant à l’émission il sera libre dans quelques mois. Mais il n’arrive plus à supporter, les gémissements de la blessé, son caractère de princesse, ces idée préconçus sur les prisonniers et sur le monde qui l’entour. Pourtant cette blessure est en partie de sa faut et il le c’est ! Ce tourne vis n’est pas tombé par hasard, ses gros problèmes, le rangement, le ménage et l’autorité. De plus en plus ambiance est palpable, la pièce commença à être recouverte de poussière, ils n’ont pour seule source lumineuse qu’une lampe halogène. Rien dans la pièce pour ce divertir, mise à part un échiquier tout neuf, mais aucun d’entre eux connais les règles et les concepteurs de ce jeux stupide n’a pas penser à caser dans cette pièce un moindre manuel. Alexandra en à marre, elle ne veut pas craquer, si elle termine l’émission ou si Alexandre craque. Elle pourra finir ses études tout frai payés. En essayant de ne plus penser à la douleur elle lit pour environ la quarantièmement fois le journal du jour de leur rentré. Dans un premier temps nos deux vedettes ne savais même pas qu’es que c était cette chose sur la télévision. Le journal une chose terrifiante, sans écran sans curseur de souris, et qui tache les mains ! Il commence à ce faire tard. Même pas un lit pour dormir, chacun dors de son coté de la pièce Alexandre près de la porte d’entrée, tandis qu’alexandra se blotti près de la télévision. Ca cheville la fais souffrir de plus en plus, elle tient bon. Ce n’est pas cette petite blessure qui la fera craquer. C’est la dernière nuit dans quelques heures, les portes s’ouvriront et enfin le gagnant sera désigné. Ce petit idiot viens d’éteindre l’allogène, même pas une parole, même pas une excuse, rien. La souffrance commence à l’enrager, elle se remémore tous les coups de travers qu’Alexandre, son chère Alexandre à bien pût lui faire depuis le début. La nourriture oublié sur le coté de la porte d’entré en disant au revoir à son public qui ne connais même pas. Elle a faim, son esprit commence à craquer. Elle voit au fond de la pièce ce petit chien épuisé par la fatigue. Qu’elle chien sursaut t’elle. C’est la fatigue qui lui joue des tours. Après quelques longues minutes elle s’assoupi. Le lendemain matin Alexandre se réveilla le premier la faim au ventre. Toujours rien n’a mangé pour ce dernier jour une petite culpabilité commence a monter en lui. Heureusement que l’espèce humaine à bien évolué depuis ces centaines d’année le corps résiste mieux aux manques de nourritures et d’eaux. Depuis les dernières guerres et différentes crise économiques, l’anatomie humaine à changé, seulement un repas par jours était recommandé et l’homme pouvais vire quinze jours sans s’hydraté. Les temps étaient rudes et tous les moyens étaient bons pour survivre et essayer de prospérer. Alexandra se réveilla doucement, dans l’obscurité de la pièce. Alexandre se tenait debout à quelques mètres d’elle. - Bien dormis ? - Tiens tu me parle aujourd’hui ? - C’était par politesse. - Garde tes politesses pour tes fans ! cria t’elle Il n’eu aucune envi de répondre a cette attaque. Il savait au fond de lui que la sortir était proche. Le temps lui s’emblait long, aucun objet à fixer, hormis cette télévision écran plat obsolète, elle devait être de l’époque de sont arrière grand mère. Maintenant les écrans à projections holographique étaient omniprésents, toutes sortes d’informations circulaient sur ces écrans virtuels. Notre princesse, fixa longtemps, ce délinquant. Que vas t’il m’inventer ? Quel sale coup me prépare-il ? La malnutrition comment à ce faire sentir, elle permet la notion du temps, ca tête commence à tourner, les murs se déformes, Alexandre commence à prendre un visage de démon. Il est là, il me veut du mal, ce tueur psychopathe. - Tu vas bien demanda Alexandre ? - Aucune réponse - Hé la princesse, aux cheveux salle ? je te parle ? Tout se mélangeais dans la tête de la princesse, son cerveau ne comprenait plus rien. Ce lieu, commença à ce changé en enfer. Voici le gardien de ses lieux. Je dois sortir cria Alexandra ! D’un coup elle se leva, pris le tourne vis, poussa son le pauvre candidat, tout les deux à terre, un combat fis rage. Avec une force surhumaine et l’envi de survivre face à ce tyran, elle pris le dessus. Alexandre à terre, La démoniste dessus lui, le tourne vis dans ca main le bras en l’air, prêt à lui enfoncer dans le cœur. Soudain la porte s’ouvrit. Mais trop tard l’homme n’était plus là. Cendrillon fût déchue. Depuis ce jour, ce média resta exclusivement un média de communications et d’informations. Il a repris ca place parmi le monde et plus aucun producteurs ne diffusa d’émission ou de documentaire sur l’une des natures caché de l’être humain ayant trop peur de revivre cette même situation.
Contribution du : 27/02/2009 20:39
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Re : Exercice d'écriture N°1 |
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Démonstration de l'Echec inéluctable de la Télé-réalité : pourquoi pas ?
Tu as de l'avenir dans l'écriture, Stéphane, car on sent que tu aimes écrire, et c'est le plus important ! Je crois, les autres me contrediront peut-être, qu'il te manque aujourd'hui trois choses : - de l'orthographe ; - de la classe. (Je ne suis pas très fort en maths, mais je crois bien que ça fait trois.) J'ai appris à écrire sur Oniris. Tu le peux aussi. D'abord, l'orthographe. Elle est essentielle. Pour l'acquérir, une seule solution : lire. N'importe quoi, du temps que c'est écrit en français. Ensuite, la classe. Elle passe par deux choses : le style, et l'onirisme (t'es bien tombé, comme site, pour ça, les oniromachins, c'est notre truc, ici). Le style, y'a pas à t'en faire. Ca viendra par l'écriture de tes textes et en prenant confiance en toi. L'onirisme passe par une recherche volontaire d'extra-journalistique ; je m'explique : prends Le Monde, rajoute des fôtes, c'est ce que toi tu écris ; tu veux arriver à, je sais pas moi, mettons que tu veuilles arriver à Widjet (auteur de nouvelles de ce site ; crois-moi, l'égaler serait déjà un bon début). Il y a principalement deux choses qui diffèrent : l'humour, la poésie. Deux choses qui sont dans Widjet, qui ne sont pas dans Le Monde. Bon, euh, je crois que je commence à dire un peu n'importe quoi, alors bonne soirée Stéphane, et bonne chance ! Ululo
Contribution du : 27/02/2009 22:01
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Re : Exercice d'écriture N°1 |
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Merci Ululo pour le temps passé à la lecture de cette nouvelle.
Je vais essayer de prendre confiance en moi et de soigner mon français. A la prochaine pour de nouvelles, Nouvelles
Contribution du : 02/03/2009 09:41
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Re: Exercice d'écriture N°1 |
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Bonjour à tous,
Voici mon premier exercice: Pierre était étalé sur le sol. Il se réveilla. Il se releva tout doucement, un peu étourdit, sentit un bon mal de tête arrivait. Il regarda tout autour de lui. Mais que fait-il là ? Qu’est-ce qu’il s’est passé ? _ Et merde, qu’est-ce je fou là bon sang ! En effet Pierre ne se rappelait strictement de rien. Sa tête tourna vers la droite puis vers la gauche. Il se trouvait dans une pièce sombre. Tout en observant autour de lui, il se rendit compte qu’il se trouvait dans un petit salon. Il vit au loin, posé sur une télévision, un journal plié en quatre. Il s’approcha de son but précis, prit le journal : _ Quoi !? Ne me dit pas que ça fait une semaine que je suis ici ? Se parlant à lui-même, affolé et agacé. Soudain, il entendit un gémissement. Surpris, il se retourna très violemment, marcha jusqu’au bruit et vit un autre homme, couché sur le coté, une blessure au niveau de sa jambe : _ Aïe j’ai mal ! J’ai vachement mal ! _ Qui êtes-vous ? Mais qu’avez-vous ? dit Pierre voyant la situation de plus en plus incompréhensible. L’homme inconnu ricana et observa Pierre. Il essaya de se relever malgré sa douloureuse entaille. Pierre, lui essaya de trouver une issue de secours mais les portes et fenêtres étaient toutes verrouillées de l’extérieure. _ Oh tu recommences, on a déjà tout essayé dit le deuxième homme d’un air indifférent. _ Quoi, tu me connais ? Tu sais pourquoi on est là ? Mais qu’est-ce qu’il se passe enfin !? _ Je m‘appelle Antoine. Et il ricana de plus belle. _ Te fou pas de ma gueule, si tu sais ce qu’il se passe, dit le moi ! _ Et bien t’es pas loupé ! Bon aller, au boulot, passe moi ce tournevis là-bas. Avec l’embout rond en fer du tournevis, il tapota sur toutes les cloisons, pour essayer d’entendre différents sons, différentes épaisseurs. Peut-être pour pouvoir trouver une issue ? Pierre eut envie d’allumer la télévision, il se dit, qu’en voyant autre chose, des nouvelles aux informations, il en saurait plus. _ Elle ne fonctionne pas, t’as déjà essayé. Pierre n’en peut plus, son amnésie le rend malade, fou. Il prit la première chose qu’il lui tombé sous la main et le balança sur Antoine. _ Eh putain, tu fais chié, tu viens de balancer notre seul loisir, t’as intérêt à retrouver toutes ses pièces. _ Je m’en fou de ce jeu d’échec, je veux savoir la vérité ! Pierre de plus en plus furieux. Toujours dans l’indifférence de Pierre, Antoine continua sa recherche. Soudain il entendit un son plus creux. D’un air réjouit, il demanda : _ Passe moi l’halogène ! _ Quoi ? _ Tu te débrouilles à me retrouver cette lampe, c’est toi qui l’as eu en main dernièrement. Alors tu me la retrouves, d’accord ! Dit-il furieusement. Marre de voir l’attitude de l’autre homme, refusant de coopérer et devenant un vrai obstacle vu son entêtement. Il fallait qu’il retrouve la mémoire tout seul. C’était conseillé car moins traumatisant pour lui. C’était ce qu’il avait appris. Même si c’était difficile pour lui. Il aimerait aider Pierre mais se dit qu’il n’avait pas le choix, c’était pour le bien de son coéquipier. Pierre tendit la lampe à Antoine. Antoine regarda par une minuscule fissure. Il espérait trouver une échappatoire. Pierre s’écroula par terre, prit ses deux mains entre sa tête et se mit à pleurer. Des millions de questions défilèrent. Est-il là de son plein gré ? Antoine est-il un ami ou un ennemi ? Pourquoi est-il dans cette pièce enfermée ? Est-il emprisonné ? Plus il se posa de questions et plus il sentit le désespoir l’envahir. Puis il se rappela que Antoine était blessé. _ C’est quoi cette blessure ? C’est toi qui te l’as fait ? On te l’a fait ? Mais qui ? Antoine arrêta son activité, se retournèrent vers Pierre, le regarda avec pitié puis se soumit à parler. _ Je me suis faites cette blessure pendant un combat. _ Un combat ?! S’exclama Pierre. Il savait qu’il aller avoir des réponses, une angoisse prenante le rend pâle et immobile, ces jambes tremblées. Il avait peur de ce qu’il allait entendre. _ Tu étais avec moi aussi mais toi, tu as toujours été beaucoup plus fort que moi en matière d’arts martiaux. Toi tu n’as rien eu comme d’habitude d’ailleurs. Sauf ces jours-ci, tu en te rappelles de rien, c’est la première fois que ça t’arrive. Il y eu un silence. D’un soupir, Antoine reprit : _ On travaille pour le FBI. On est en mission. Aller au boulot !
Contribution du : 09/05/2009 10:27
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