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1 Utilisateur(s) anonymes
Re : Paris en bouteille |
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Maître Pattie l'Orthophage
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Ben en fait, je ne proposais pas de le faire (je n'ai pas les clics). Je proposais que vous le demandiez aux modérateurs (qui, eux, ont les clics).
Contribution du : 07/01/2012 13:44
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C'est quoi cette mode de bâcler ses loisirs à toute vitesse ? Turtle Power ! |
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Re : Paris en bouteille |
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Visiteur
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Mes très chers amis, vous me comblez.
A l'heure où "Intouchable" approche les vingt millions de spectateurs, mon petit "Paris" approche les dix millions... de caractères lus (103 x 82.449 = 8.492.247). Certes, je serais curieux de connaître davantage que 3,88% (4 / 103) des impressions laissées par ces lectures, mais ne faisons pas la fine bouche. Ce texte est une seconde version d'un texte paru sur Oniris en mai 2010. A l'époque, il avait très bien fonctionné auprès de ses lecteurs (oserais-je unanimement ? Et même vivement, tant qu'on y est ?). J'ai souhaité m'imposer l'exercice qui consiste à retravailler un texte. J'aurais pu prendre un texte ayant moins bien fonctionné, mais j'ai souhaité prendre un texte qui avait très bien fonctionné, pour deux raisons : 1. Il est beaucoup plus simple de rendre meilleur un texte moyen ou mauvais. Comme je suis persuadé que la différence entre un bon texte et un texte excellent tient en définitive à peu de choses, j'ai préféré faire comme ça, étant entendu dès le départ que je ne chamboulerais pas le texte en terme de volume. Un mot, une virgule, parfois, peut changer énormément. 2. Du point de vue de l'écriture en tant que telle, j'estime la mienne suffisamment correcte pour être capable de limiter le risque d'écrire un mauvais texte. De là à en écrire un bon, c'est évidemment autre chose, d'autant que le style peut plaire ou pas du tout. Mais enfin, là n'était pas véritablement mon souci. En revanche, je m'estime faible en ce qui concerne l'imagination, le scénario, la construction. C'est notamment sous cet angle que j'ai voulu envisager le travail. J'ai donc essayé de poser un regard sur l'ancienne version, non en tant qu'auteur, mais en tant qu'"analyste", tant que faire se peut, profitant du délai assez long qui était passé et du plus grand recul sur ma propre production. J'ai constaté que de structure, il y en avait une, et même une solide ! Seulement, lors de l'écriture de cette première version, certaines choses étaient volontaires et d'autres pas, ou plus du domaine de l'inconscient, dirons-nous. Ayant dégagé la structure existante, j'ai tout simplement essayé de la renforcer, en supprimant ce qui pouvait la contrarier ou ajouter ce qui pouvait la consolider. Voici cette structure : PREMIERE PARTIE Elle se déroule au cours d'une journée. Elle débute par un éveil au bout de la nuit et finit par un endormissement, car c'est une voie sans issue. La narration est rédigée au présent, incluant des réminiscences rédigées au passé, traduisant l'état d'âme du héros dont le présent, fantomatique, n'est plus fait que de souvenirs : ceux d'une femme, évoqués rapidement, discrètement; et ceux d'avant, d'avant la femme, ceux de Paris et du beau-père de son enfance. Il n'est plus personne. Il est seul au milieu de la foule. Il cherche qui il était pour savoir ce qu'il peut devenir. C'est une errance. Elle se termine par la préfiguration de l'abandon du passé, en renonçant à la recherche du beau-père, car cette recherche n'était que celle de lui-même. Il en reste une matière, propice, peut-être, à nourrir l'avenir. D'ailleurs, l'avant-dernière phrase de cette partie est rédigée au futur. DEUXIEME PARTIE Elle se déroule au cours d'une nuit. Elle débute par un éveil et finit par un endormissement, comme la première partie, car il s'agit encore d'une voie sans issue directe. Mais la narration est rédigée au passé, car il s'agit cette fois d'une transition. Elle se déroule principalement dans le Passage Choiseul. Ce passage est un endroit réel, dont la présence n'est pas innocente, mais il est aussi, métaphoriquement, passage de la nuit au jour. Il y a encore réminiscence du passé, mais il est beaucoup moins présent et s'estompe pour laisser progressivement place au présent. Le héros n'est plus seul. Il émerge de sa solitude, s'ouvre aux autres et à leur histoire. Il n'est plus exclusivement observateur, objet narrateur, mais devient acteur de son histoire. Il y a rencontre d'une femme, effaçant la précédente. Mais cette femme n'est pas qu'une femme. Toute cette partie est une allégorie : celle de la découverte de la lecture, de la littérature, par un écrivain auquel il est fait allusion indirectement à chaque coin de phrase : Louis Ferdinand Céline. Le héros a rencontré la littérature, mais il a aussi rencontré son premier lecteur. L'écriture n'est plus thérapie, mais devient but par elle-même. La nuit est sombre, mais elle est aussi la période des rêves, des rêves retrouvés, et peut-être de l'espoir au petit matin. TROISIEME PARTIE Elle débute par un éveil, comme les deux premières. C'est la fin du voyage à Paris, c'est la fin du voyage dans le passé. Mais ce Voyage au bout de la nuit ne se termine pas par une fin, contrairement à celui de Céline. Il se prolonge au petit matin, s'ouvre sur une journée, sur l'adieu définitif au passé (adieu au beau-père), sur le dépassement de la phase de transition (abandon sans adieu de Louise), sur l'avenir, concrétisation, peut-être, des rêves de la nuit. Il n'y a plus d'endormissement. Ce n'est pas la mort. C'est une renaissance. Le passé n'est pas éludé, mais est matière à bâtir un avenir. Pour renforcer cette structure, je n'ai en définitive pas fait grand chose, puisqu'elle était déjà là, quasiment entière. J'ai ajouté deux phrases au tout début du texte pour que la première partie débute par un éveil. La première version du texte comportait deux parties uniquement. La seconde partie incluait un endormissement, suivi d'un éveil. J'ai ajouté une coupure entre cet endormissement et cet éveil, créant ainsi trois parties symétriques. En mai 2010, personne ne m'avait réellement reproché que la recherche du beau-père se diluait en n'aboutissant à rien, mais cela contrariait néanmoins certains lecteurs. J'ai donc ajouté des parties de textes pour essayer de faire comprendre quelle était la motivation de cette recherche, et donc aussi la conclusion relativement logique de son abandon, puisque la recherche de son beau-père par le narrateur n'est finalement qu'une recherche de lui-même; en tous cas, de ce qu'il peut encore identifier comme étant lui-même ou, plus exactement encore, de ce qu'il était avant de connaître Clara, puisque tout ce qu'il a été ensuite était intimement lié à elle, et disparu complètement en même temps qu'elle. Raison, donc, de l'introduction de ce personnage de Clara qui n'était pas présent dans la première version, même s'il n'est n'est que rapidement évoqué. Ceci me parait être un remaniement du fond relativement important, même s'il ne se traduit pas dans les faits par un chamboulement extraordinaire du texte. Ai-je réussi ce que je voulais faire ? Difficile à dire avec peu de commentaires. Pour Brabant, il semble que oui. Pour Socque, il semble que non. En 2010, un commentateur m'avait fait remarquer que la rencontre "par les yeux", dans le bistrot, entre le narrateur et Louise était peu crédible "géométriquement", étant donnée la distance que supposait ce lecteur entre les deux personnages. Je crois que ceci venait essentiellement d'une question de vocabulaire. A l'époque, j'avais écrit "à l'autre bout du bar". Le problème, c'est que ce terme "bar" peut s'appliquer à l'établissement tout entier ou alors seulement au meuble sur lequel sont délivrées les boissons, pour ceux qui sont assis sur des tabourets (le "comptoir" ou le "zinc"). Je ne sais pas chez vous, mais chez moi, ce meuble peut aussi être appelé un "bar". J'ai donc utilisé le terme "zinc" qui ne laisse pas place à l'ambiguïté. J'en ai profité pour remanier un peu ce passage autrement que par la simple substitution de vocabulaire. Personne ne m'avait fait remarquer (ce qui m'avait d'ailleurs étonné) que la consommation de tabac dans un établissement parisien, à une époque où cela n'était déjà plus permis, constituait un problème de cohérence. Moi, en tous cas, je l'avais remarqué. Depuis, je voyais ça comme le nez au milieu de la figure. Je n'ai pas supprimé la consommation du tabac, mais je l'ai justifiée d'une manière qui me semble honnête, cohérente et donc réaliste. Du coup, j'en ai profité pour faire quelques digressions sur la consommation de tabac, et puis surtout (voir point suivant)... J'en ai profité pour consolider une sous-thématique du texte : la confrontation entre deux pays (France et Belgique), voire même de deux langages, même s'il s'agit de la langue française dans les deux cas. La localisation de l'histoire crée naturellement un ancrage français très fort. J'ai souhaité rétablir un peu l'équilibre en renforçant l'ancrage belge. Des parties de texte ont été ajoutées pour y parvenir. En 2010, les rares reproches qui m'avaient fait perdre des plumes concernaient la proximité avec le style de Céline, reproches qui flirtaient parfois avec l'accusation de plagiat. Je n'ai pas souhaité modifier le style, mais j'ai en revanche supprimé tous les trois-points (dans le cas précis, je préfère les appeler trois-points plutôt que points de suspension), trop "typés Céline"... et il y en avait beaucoup... Ha Ha ! Il n'en reste qu'un ou deux, je crois, mais qui n'ont plus rien à voir avec Céline. J'ai remis assez profondément en cause aussi l'utilisation (ou non utilisation) que je fais de la virgule. J'ai modifié, re-modifié, re-re-modifié, pour revenir parfois à la version initiale. En relisant cette seconde version, je ne suis toujours pas satisfait de tous mes choix dans ce domaine. Voilà ce que je trouve à dire pour l'instant. A part quelques modification ou suppressions, le travail a consisté essentiellement en des ajouts. En 2010, le texte faisait à peu près 73.000 caractères. Actuellement, il en fait à peu près 82.000. Il y a donc eu à peu près 12% de texte ajouté. Qui sait... peut-être un jour... à force... un roman ? Surtout si je suis le conseil de Brabant d'ajouter une partie pour tout ce qui concerne ce qui précède le voyage en train.
Contribution du : 19/01/2012 18:24
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Re : Paris en bouteille |
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Visiteur
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Morfale,
Merci pour votre commentaire de ce texte, avant qu'il ne disparaisse complètement de l'affiche et de votre mémoire. Il ne fallait pas vous sentir si malheureuse en m'annonçant que les seules choses que vous retiendrez de ce texte sont : - plein d'expression poignantes - plein de tournures délicieuses - une description de Paris prodigieuse car il y a là déjà bien assez pour me ravir. Citation :
Mon ambition n'était pas d'écrire un texte hermétique et, sincèrement, je ne pense pas qu'il le soit. Ce n'est pas pour autant qu'il n'y a pas de clef pour ouvrir certains tiroirs, mais il me semble que le meuble peut être apprécié sans en connaître tous les secrets. Si vous souhaitiez néanmoins emprunter quelques clefs sans vous farcir une seconde lecture, vous pourriez vous pencher sur les posts #2 et #42 sur ce même fil (les autres ne sont que pollution de peu d'intérêt). Bon, vous trouvez le texte bien écrit, si je peux me permettre de comprendre votre commentaire comme cela, mais vous n'en retiendrez pas grand chose. Soit ! Après tout, c'est ce qui m'arrive avec la très grosse majorité des textes que je lis. J'aimerais quand même vous posez une question. Avez-vous néanmoins ressenti quelque chose, pendant votre lecture ? Des émotions, bonnes ou mauvaises, la présence des personnages, ... ? Bon... bon... cette seconde version de mon Paris en boutanche s'oriente quand même tout doucettement vers le flop. Heureusement que j'ai le défi d'écriture à deux pour me refaire.
Contribution du : 31/01/2012 16:25
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Re : Paris en bouteille |
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Maître W
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19/01/2008 01:44 Groupe :
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Flop...dans le sens nombre de commentaires, n'est ce pas ? (d'un autre côté vu, le nombre de caractères, ce n'est pas si mauvais)Parce qu'en terme d'éval, c'est un succès.
De toute façon, tu n'es qu'une pleureuse toi ! W
Contribution du : 31/01/2012 16:28
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Re : Paris en bouteille |
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Visiteur
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Je savais que t'allais passer par là pour faire la voiture balai ramasseuse de regrets. Par contre, je pensais pas que ce serait trois minutes après. Alors... décortiquons tes écrits. Citation :
Que dalle ! Tout ce qui a moins de trois plumes est un flop. Voilà ce que je dis ! Citation :
Non, pas dans le sens nombre de commentaires. Je connais bien l'évolution d'Oniris et je ne m'attendais pas à cinquante coms aujourd'hui sur dur 82k. Déception sur le ratio lectures/commentaires, bien que j'aie peut-être une explication à ça. Et je sais parfaitement que tu ne peux que me suivre sur cet argument, parce que moi (comme toi, à ce que tu m'as dit), à part de rares exceptions, lorsque je lis, ben, je commente. Surtout si je viens de me farcir du 82k ! Si je suis parvenu au bout, c'est soit : - que je l'ai adoré et je vais l'encenser - que j'ai vraiment eu beaucoup de courage et alors je vais pas me priver d'insulter l'auteur de tous les noms d'oiseaux possibles (c'est une image, bien sûr). Bref, si j'arrive vraiment au bout de 82k, c'est pas pour "craquer à trois mètre du bol de sangria", comme disait Bigard. Mais j'ai une petite explication, disais-je... Trois de mes textes sont publiés en ce moment : un court et deux très longs. Et bien, les deux plus longs, bien que plus récents, sont plus lus. C'est quand même étonnant ! Mais il se trouve que ces deux textes ont pour titre une expression toute faite. Je suppose qu'il y a beaucoup de recherches sur ces expressions, dans Google, dont certaines aboutissent à mes textes. Ce seraient donc des lectures "de l'extérieur". C'est d'ailleurs comme ça que je me suis inscrit sur Oniris, tout à fait par hasard. J'avais tapé l'expression "Se piquer la ruche", dans Google et j'étais tombé sur la nouvelle "La pêche aux anguilles" de Calouet. Comme j'avais beaucoup apprécié le texte, je m'étais inscrit pour le commenter. C'est peut-être une idée à filer à Philippe (en plus des liens Facebook) : il faudrait que tous les auteurs s'engagent à prendre comme titres de leurs textes des expressions toutes faites. Et si l'expression contient le mot "sexe", c'est du 100.000 lectures garanti. Bref. Je suis aussi consterné par un truc, qui semble être de plus en plus présent, sur ce texte-ci, sur d'autres, ici ou ailleurs, et pas que sur les miens : on regrette souvent que ce soit trop bien écrit (désolé pour le manque de modestie), qu'on soit "distrait" par la qualité et que, du coup, on ne retient pas ce que raconte le texte. Mes textes sont "creux", parait-il. Ben moi, je suis bien désolé, mais si je veux vraiment avoir du sang et des boyaux, je regarde un JT; si je veux des potins, des histoires riches, avec même un peu de fesse (avec un contenu à haut ratio de fiction), ben j'écoute ma concierge pendant deux heures, ou mon coiffeur; si je veux des choses précises, étayées, avec en plus de belles images pour envahir mon esprit, ben je regarde un reportage de la BBC. Mais quand j'ai envie de relire dix fois une phrase tellement je la trouve bien écrite, que j'ai envie de me marrer en me tenant les côtes tellement c'est poilant, ..., que j'ai envie de lire quelque chose qui ne soit pas raconté, mais extraordinairement bien peint, quel que soit le sujet, ben, je laisse tomber ma téloche, ma concierge et mon coiffeur et j'ouvre un bouquin (que je fous au feu neuf fois sur dix après le premier chapitre, forcément). 'Tain, mais est-ce qu'on reproche à Monet, à Courbet d'avoir peint quatre-vingt millions de fois les falaises d'Étretat et à Degas trois milliards de danseuses ? Elles sont creuses, aussi, les falaises d'Étretat ? (ah mince ! Si , elles le sont, en fait; bon, mauvais exemple). Et les danseuses, bon sang de bois ! Elles sont creuses, les danseuses à Degas ? Et son absinthe ? C'est du creux aussi, l'absinthe à Degas ? C'est pourtant qu'une rombière assise à une table devant un verre. Et ne me dis pas que je suis pas Monet, Courbet ou Degas, t'es déjà assez désagréable comme ça, hein ! Surtout Degas ! Je suis assez chatouilleux du côté de Degas. Flop aussi, et peut-être surtout, par le fait que le retravail d'un texte, ben, manifestement, ça n'intéresse personne, pas même toi ! Pleureuse, moi ? Pas du tout. je fais de la pub pour le texte à tous les coins de forums, et j'en ferai peut-être encore. Et si je devais vraiment dire ce que je pense, c'est pas pleurer que je ferais, c'est insulter tout le monde (sauf Brabant, bien sûr).
Contribution du : 31/01/2012 18:18
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Re : Paris en bouteille |
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Maître W
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19/01/2008 01:44 Groupe :
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A propos du ratio lectures/commentaires, j’ai fait l’expérience pour moi.
En moyenne le nombre de commentaires que je reçois sur mes textes correspond à 10% du nombre de lecture (ça va de 8% à 15% disons). On peut considérer cela comme un ratio faible. Pour ma part, je n’en suis pas ou plus certain parce qu’il faut prendre certains paramètres en compte comme le fait que souvent (je suis quasiment certain de cela), les personnes qui vont cliquer sur ton texte vienne lire… le dernier commentaire posté et non pas l’œuvre ! (parce que vois tu certains commentaires/commentateurs – du genre « tiens, je suis curieux de voir la critique de ce célèbre commentateur » ou encore « tiens je veux vraiment comprendre et lire la critique qui explique pour la note est si faible/haute ») suscite autant d’intérêt pour les lecteurs que le récit lui-même) Autrement dit et comme tu t’en doutes, mais peut être pas dans de tels proportions, le nombre de lectures réelles est loin de flirter avec le volume affiché. Quant à ton explication, je suis moins convaincu. Enfin, la raison du « c’est tellement bien écrit que j’ai perdu le fil de l’histoire », bah, désolé, j’y crois moyen, et je vais être un peu radical (comme d'hab), mais c’est une explication de fumiste, de quelqu’un qui n'a sans doute pas voulu trop s'embêter à développer un minimum ou dont la concentration n'a peut-être pas été optimale (ce n'est pas une critique, mais faut se le fader ton texte - même si je n'ai lu que la première mouture, mais t'as pas changé de style entre les deux - , il est réellement épuisant à lire, là non plus pas un reproche, mais ce genre de récit et de style nécessite une endurance - pas tant sur le nombre de caractères - et une attention rigoureuse pour apprivoiser le rythme, les formulations, les expressions etc...). D'ailleurs, à défaut de se rappeler de l’histoire qui lui a échappé tellement il était ébloui par ton style, la personne en question a-t-elle pris le temps de justifier pourquoi ton écriture lui a tant plu ? Si on fait référence a Morfale (que je salue), je pense qu'on peut dire que oui, pour un premier commentaire (ou un des premiers) cette personne s'est efforcée de citer des exemples et d'expliquer un peu son engouement. W. PS : Ne tire pas des conclusions trop hâtives sur l’intérêt que je porte au re-travail d’un texte ou non sous prétexte que je ne t’ai pas encore relu ? Je pourrai te faire les mêmes reproches, espèce de sale bougon ! PS2 : arrête d'impliquer brabant dans tous tes commentaires. Il n'a pas besoin de ça pour distribuer ses Exceptionnels ! Gniark Gniark Gniark !
Contribution du : 31/01/2012 21:30
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Re : Paris en bouteille |
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Maître Onirien
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Citation :
Widjet a dit : Ça m'arrive aussi (et toi aussi, visiblement, vu que tu cites le commentaire de Morfale :D) Mais je crois que ce n'est pas compté comme des lectures, il faut passer un certain temps sur la page pour que ce soit le cas (et les clics de l'auteur ne sont pas comptés) Sinon, pour le "c'est trop bien écrit", je ne pense pas qu'on puisse en faire un reproche qui te fâchera vraiment :p on sait que t'es attaché au style, inco.
Contribution du : 31/01/2012 21:41
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Re : Paris en bouteille |
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Maître W
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19/01/2008 01:44 Groupe :
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26618
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Citation :
Bien sur que je le fais. Si tu lis un comm, peut-être que c'est trop court pour comptabiliser, mais généralement, tu en profites pour parcourir les autres et là le compteur tourne. Mais je n'ai pas lister les autres motifs (ceux qui stoppent leur lecture en cours de route, ceux qui copient collent le texte pour l'imprimer...) Tout ça pour dire que si tu vois 100 lectures sur ton texte, tu peux diviser facilement par 2.5 (au minimum) pour avoir le nombre réel de lecture complète. W
Contribution du : 31/01/2012 21:48
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Re : Paris en bouteille |
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Expert Onirien
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3805
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Citation :
Ah bon, c'est vrai, ça ? D'où vous sortez cette info ? Pour ma part, j'expliquais le nombre élevé de lectures sur un texte par le fait que l'auteur y va souvent (je dois aller une dizaine de fois en quelques jours sur chacun de mes nouveaux textes, pour voir les comms, relire tel ou tel passage, répondre aux comms, etc.) et parce que des commentateurs peuvent venir plusieurs fois sur un texte avant de laisser un comm (ça m'arrive de m'y reprendre à 3-4 fois). Mais s'il y a une autre info, je suis preneur. En tout cas, oui, une lecture (telle qu'elle est comptée par Oniris) ne veut pas dire que ledit lecteur s'est "farci" le texte jusqu'à la fin (pour reprendre l'expression d'Inco), et qu'il n'a flanché qu'au moment de mettre une évaluation / un comm'. Il y a un forum où ce paramètre est expliqué ? Inco, j'ai promis il y a quelque temps que je lirai et commenterai "Paris en bouteille" quand j'aurais le temps ; ce temps-là est bientôt arrivé (ce weekend ?).
Contribution du : 31/01/2012 21:51
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Re : Paris en bouteille |
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Maître Onirien
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22/02/2010 10:47 De Luxembourg
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Dans un post de nico, fut un temps où je lisais quelques dizaines de sujets de forums d'oniris par jour :p
Je vais essayer de retrouver ça.
Contribution du : 31/01/2012 22:32
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