C'est un enfant d'un naturel heureux car il rit souvent de bon coeur et il arrive même qu'il rie dans son sommeil. 😁😊😃😄😅😀

@à Louison post 420- La consigne donnée par "Davide" n'était-elle pas d'employer le verbe rire à la 3e personne du présent de l'indicatif (rit) puis du présent du subjonctif (rie) ?

@dream :

Effectivement je n'ai pas suivi la consigne ! Scusez moi ! La grand-mère n'a plus toute sa tête...

Le garnement rit de sa punition, mais il se peut qu'il rie jaune.

Je vous offre ce bouquet pour me faire pardonner.

Merci dream d'avoir aidé Louison ! Dans la classe, il est parfois utile de s'entraider !!!


A moi : "Il arrive que je rie lorsqu’il rit."


Remarque : Je surkiffe le "présent", ça m'fait marrer grave de ouf !!! Pas vous ?

Voici pour vous les chocolats, dream, Louison et Annick :

Le jeu du week-end :

Le dernier vers

Chacun sait l’importance du dernier vers d’un poème…

Saurez-vous écrire le vers — alexandrin ou non — qui clora ce court poème du XIXe siècle ? Juste, évitez d'aller chercher l'original pour vous aider, ce serait dommage…

"Par les soirs bleus d'été, j'irai dans les sentiers,
Picoté par les blés, fouler l'herbe menue :
Rêveur, j'en sentirai la fraîcheur à mes pieds.
Je laisserai le vent baigner ma tête nue.

Je ne parlerai pas, je ne penserai rien :
Mais l'amour infini me montera dans l'âme,
Et j'irai loin, bien loin, comme un bohémien,
…………………………………………"

Je crois que je l'ai...

"Par les soirs bleus d'été, j'irai dans les sentiers,
Picoté par les blés, fouler l'herbe menue :
Rêveur, j'en sentirai la fraîcheur à mes pieds.
Je laisserai le vent baigner ma tête nue.

Je ne parlerai pas, je ne penserai rien :
Mais l'amour infini me montera dans l'âme,
Et j'irai loin, bien loin, comme un bohémien,
Flanqué comme toujours de mon hippopotame.

Hein ? c'est ça ?

"Par les soirs bleus d'été, j'irai dans les sentiers,
Picoté par les blés, fouler l'herbe menue :
Rêveur, j'en sentirai la fraîcheur à mes pieds.
Je laisserai le vent baigner ma tête nue.

Je ne parlerai pas, je ne penserai rien :
Mais l'amour infini me montera dans l'âme,
Et j'irai loin, bien loin, comme un bohémien,
Chantonnant, sifflotant, me riant de l'infâme.

"Par les soirs bleus d'été, j'irai dans les sentiers,
Picoté par les blés, fouler l'herbe menue :
Rêveur, j'en sentirai la fraîcheur à mes pieds.
Je laisserai le vent baigner ma tête nue.

Je ne parlerai pas, je ne penserai rien :
Mais l'amour infini me montera dans l'âme,
Et j'irai loin, bien loin, comme un bohémien,
Pour oublier le temps, où nos corps étaient flamme.

Merci ! Louison, pour ce délicat présent.

De nada ! Davide. Oui, je pense aussi qu'il faille s'aider le plus souvent possible... C'est de plus en plus rare, dans ce monde de... brutes. Un grand merci pour les chocolats !