@Kerosene : un délicieux delirium bien épais.

@ Tankipass : bien remplie pour une journée gachée

@ Stony :
- En 1902 la française Stony a sauté 1m40, pouvez vous dire mieux ?...
- Non, désolé, je ne m’intéresse pas au sport.
- Faites un effort, dites « mieux », … …

@Arielle : Vampirelarielle… ^,,^ … difficile à imaginer, mais sait-on jamais… ;)

@Palimpseste : Une édition de perdue, 10 de retrouvé !

@Costic : Quid du pompon ?

@Rosebud : Un joli tour de « luge» sur une planète à la neige de poussière.

Bravo à toutes et tous.

Pepito

Vous savez tous le monde que les contraintes marches ici sur Oniris

Mais y a un jeu que tous les mondes pourrais jouer.
et ce jeu s'appelle:

3 mots = une phrase et nous pourrions tous y jouer parce ce que

vous n'écrivez plus sur les tableaux de Laurel parce ce que c 'est à d'écrire un bout dans cette histoire.

Ne pas… oublier… de pro… programmer… le rév…


- On se magne le cul, go go go ! Placebo ! File dans le rang !

La tête en compote, des relents de vodka dans la bouche, je traine ma carcasse à l'endroit indiqué par la brute, un énorme fusil à l'épaule. Où est passé mon pyjama ?
Le héros s'avança parmi les soldats. Il dégageait une aura tranquille et, instinctivement, les autres se mirent en cercle autour de lui. Il parla d'une voix claire et exposa son plan d'attaque du bastion vénusien.

Pourquoi on m'a mis dans cette soucoupe volante ? Je pige que dalle à tous ces voyants lumineux et j'ai toujours crashé mes avions à flight simulator ! Help me !
Le vétéran prit les commandes à la dernière seconde et rétablit l'appareil de justesse. Il n'avait pas rêvé… la force bleue venait de briller dans les yeux du jeune placebo… un jour, il saurait maîtriser son pouvoir.

Ok, on a avenusi correctement, je sais pas comment, et je commence à piger… si j'atteins mon objectif, je réussirai à sortir de ce rêve débile. Plus que trois-quatre monstres à buter et j'y suis.
Une ravissante créature apparut à l'autre bout du couloir. Elle comprit immédiatement qui était le héros et lui fit signe d'entrer se cacher dans sa chambre pendant que la patrouille de gardes passait. Le monde dépendait de lui, mais ils réussirent à trouver le temps de s'allonger dans le lit et à…

J'ai l'impression d'avoir loupé quelque chose d'agréable. Pourquoi je me retrouve en calbut ? J'ai un boss vénusien à dézinguer, moi ! Où est passé mon fusil laser ?
La fin approchait pour le vieux placebo. Après avoir été capturé et avoir passé des années en prison, la mort venait enfin le chercher. Elle tenait entre ses longs doigts fins un kiwi qu'elle fit sauter en l'air. Il retomba sur le sol dans une flaque de sang. Ainsi meurent les héros.


La lumière de l'aube se pare d'une lueur orangée en passant à travers les rideaux et vient soulever mes paupières. À mes côtés, Marie se réveille également.

- Tu vas bien, lui demandai-je en embrassant ses cheveux.
- Mhh… Oh mon dieu, t'as une gueule pas possible ! T'as fait quoi cette nuit ? T'es sorti ? Tu me trompes, c'est ça ?

Mémos pour plus tard. Petit 1 : ne pas lui parler avant qu'elle ait bu son café. Petit 2 : boucler cette fichue nouvelle pour que le héros arrête de hanter mes rêves.

Tankipass : des bons éléments dans l'horreur, à certains moments on pédale un peu dans les ronces par contre :) et puis c'est pas grave si la matinée est gachée, il reste toujours la nuit pour se coucher tard ^^

MonsieurF : très bonne analogie, beaucoup aimé.

Rosebud : j'ai trouvé le début un peu lourd et puis finalement cette vie lunaire est charmante, entre le suprême et la compagne, on pourrait croire à un couple vieillot avec à côté la folie que nous insufflent les rêves :)

Pepito : jolie observation du logo du site :) j'ai eu du mal à visualiser et à comprendre ce qui arrivait au narrateur avant la fin par contre.

Palimpseste : bien mené avec l'humour présent partout et jusqu'à a la dernière ligne, bravo :)

Arielle « pour plagier un auteur connu » arf, ne reconnais ni le titre ni le texte… Toujours cette atmosphère, ce rythme trouble et ces mots que j'aime… la strophe « Un lys / à la grâce équivoque /
se meurt au chevet du déduit » m'a surpris, autant pour le « équivoque » que « déduit » :)

Costic : «Le vent sucré et emmêle mes cheveux » j'ai hésité sur plusieurs sens (le vent sucre et emmêle mes cheveux, j'aimais bien), mais il y a juste le « et » en trop, en fait ? Je trouve que certains aspects du rêve (on veut un truc mais c'est tout autre chose qui se passe, irruption d'événements) sont très bien rendus, par contre je n'accroche pas trop à la fin.

Stony : j'ai lu les explications à MonsieuF d'abord. Le texte en lui-même, bien aimé :)

Allez c'est dimanche et les contraintes sont de retour !
Aujourd'hui nous pouvons remercier la gentille Costic qui nous demande :

les zébres s'aiment-ils d'amour tendre ?


il s'agira de situer le lieu avec précision, puis dériver à sa guise, mais avec au moins une phrase à insérer !!

AU CHOIX

- Le lion entrait avec la vache dans la constellation du vampire

- Vous voyez bien que nous sommes dans une gare

- La blancheur de ses poignets jaillit hors de l'éclat de ses bracelets

- Le rossignol n'a pas été reçu à l'agrégation


Comme d'habitude : 2500 caractères, poèmes acceptés (ça me parait plus dur mais nos amis poètes ont de la ressource), pas de doublon.

Amusez-vous bien !

@ Placebo : j'aime bien le ton à la fois décalé et simple. Et j'aime beaucoup la chute =)

Je sais que je suis en retard mais voici quand même quelques lignes sur ce thème du rêve (pas dans le même ton que Placebo mais il faut de tout pour faire un monde onirique).


Une petite secousse. A peine perceptible. Je m'étais toujours demandé ce que ça me ferait, si c'était douloureux... et finalement je l'avais à peine sentie.
Ce monde familier devient tournoyant. Non, je sais que c'est moi qui tournoie. Quelle sensation délicieuse. Un vertige aérien, une liberté enivrante.
Je suis heureuse que cela arrive maintenant. C'est le moment idéal. Je le sais, je suis absolument magnifique à cet instant. De toute façon, je ne voulais pas enfanter... devenir énorme, enflée et luisante. Très peu pour moi !
Je m'abandonne avec toute la grâce dont je suis capable. Chaque seconde est entière et magnifique.

Si seulement...
Oui, je le vois. Il est là. Ne regarde pas mes soeurs, je t'en prie. Voilà... Je me fais légère, je suis la courbe du vent, la douceur du printemps. Pour toi.
Je suis unique. Il n'y a plus que moi, je le lis dans ton regard. A cet instant précis, je suis la perfection. Je suis ton univers entier.
Peu importe la fin. Il n'y a rien au-delà.

<i>Je m'éveille lentement. Un doux sourire aux lèvres. Une pointe d'amertume aussi. La fleur de ceriser a plus vécu en quelques secondes de rêves que moi en de nombreuses années de vie.</i>


En bonus, un haïku d'Issa :

<i>
Sous les fleurs de cerisiers
Personne n’est
Un parfait étranger</i>

les zébres ont trouves ca en afrique

Le texte pourrais avec le paysage de l'Afrique.

Blacksad: Je suis fan absolue de tout ce qui concerne cerises et cerisiers alors rêve assez idyllique pour moi...
Placebo: remarquable énergie et humour toujours au rendez-vous.
pour ma phrase "Le vent sucré et emmêle mes cheveux "c'est juste une grosse boulette...Pas mal ton idée de cheveux sucrés...à toute chose erreur est bonne...
Pepito: à croire que les pompons ne m'attirent pas, à creuser sur l'interprétation des rêves
bon courage pour la suite...

Merci costic :)
D'où vient l'idée des zèbres ? ;)

C'est un zecret...