Après une nuit blanche, j'étais sur les rotules et mon vélo.

En revenant de soirée à 2h du matin, il m'a surpris, ainsi que ses parents dans une position assez inconfortable...

Un automobiliste roule sur l'avenue et les piétons, je le siffle ainsi que ma bière; il se jette sur moi et un hamburger, en criant. Je m'éloigne de cet endroit et de mes projets.

Il attendait un ami et une idée, il reçut un uppercut et un bol de riz, du coup il prit ses jambes à son cou et un tournant, là il enleva sa chemise et une voisine.

Ayant un cor au pied et une idée noire, je pris ma bicyclette et un numéro afin d'arriver à l'heure et habillé, au meeting. Là je cherche ma place et la petite bête, mais je trouve un quidam et des ennuis.

Dans une vitrine trônait une poupée et la poussisère, celle-ci ternissait la marchandise et mes envies. Le vendeur baissait son rideau et le pourcentage, las ! je pris donc la porte et une dorsalgie. Je rentrais chez moi tomber sur mon canapé et dans les pommes....zzz !

Coucou !

Il sème des tracts et son percepteur, ensuite il vide son sac et sa vessie, ce qui lui permet d'arriver au bureau et à la fête, son patron lui donne un blâme et un verre de vin. Alors, il rentre son ventre et sa voiture, ce qui l'amène à réfléchir et à l'étage.

"Je pue de la gueule et la luxure"
(extrait adapté de LE succès intemporel du Grand Orchestre du Splendid)

Tiens, c'est marrant, ce truc-là !

La dernière fois que j'ai dragué un type et les fonds de cuves dans un bar en lui disant que j'appréciais la finesse de ses propos et de ses mains, il a pris la mouche et la fuite.

Pardonnez le cumul, mais c'est trop marrant.
Pour répondre à Caillouq :

Mes amants, je les écorche vif
Et je les fouette, leur coupe la chique et le pif
Je fais des trucs cochon avec des chaînes, dans le milieu de la nuit et du XVIe.