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Re : Paris en bouteille
Maître Onirien
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(désolé pour le double post)
Vu qu'on passe la page, la question (de meleagre) portait sur le comptage du nombre de visites.

Voici un lien et l'annonce.

Sinon, un autre sujet qui intéresse souvent les gens, celui des plumes

Contribution du : 31/01/2012 22:56
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Mon blog, mis à jour toutes les semaines.
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Re : Paris en bouteille
Visiteur 
Je sais parfaitement bien que le nombre affiché de lectures n'est qu'indicatif. Il peut être altéré par plein de trucs, c'est évident.

Méléagre, il faudrait que je le cherche, mais je sais qu'il y a un fil déjà très ancien où Nico expliquait qu'une lecture n'était comptabilisée que si la page était affichée suffisamment longtemps et que cela dépendait de la taille du texte, je suppose proportionnellement au nombre de signes. Quand on clique sur l'icone qui permet d'obtenir la version PDF, ça compte pour une lecture, que le texte ait réellement été lu ou pas. Pareil si on clique sur l'icône qui permet d'imprimer, même si on ne va pas jusqu'à l'impression, puisque cette opération se fait sur le poste client, dont Oniris n'a aucune connaissance. Même en "lecture simple", un utilisateur pourrait très bien afficher la page et, pendant ce temps, boire un café, discuter avec ses collègues ou sa famille ou tout simplement s'être endormi sur le clavier tellement le texte est chiant. Je sais tout ça.

Seulement, j'ai déjà eu quelques textes publiés ici (14 ou 15, je ne sais plus) et je vois aussi ce qu'il se passe sur les autres. Toutes autres choses restant égales, "Paris en bouteille" et "Des couilles en or" sont des textes beaucoup lus, ce qui est plutôt étonnant (et même satisfaisant, d'une certaine façon) étant donné leur taille. Je vais au moins une fois par jour voir le nombre de lectures de mes textes. Je vois les compteurs défiler sans avoir de commentaire ou très rarement. Je sais que les commentaires se font plus rares depuis un bon moment. Moi-même, je commente moins, je l'avoue, parce que je lis moins. Mais lorsque je lis un texte jusqu'au bout, à de très rares exceptions, je commente.

Qu'on me comprenne bien : je ne pleure pas sur le nombre de lectures, ni même le nombre de commentaires, mais sur le nombre de lectures non commentées. Bien sûr que je n'exige de quiconque qu'il me lise, surtout si les textes sont très longs. Au contraire, je suis même très honoré lorsque je suis lu. J'en suis presque étonné, sincèrement. J'aurais presque envie de demander pardon au lecteur de lui avoir donné à lire un texte aussi long. Seulement, comme tu me l'as dit toi-même dans un bar parisien, Widj, ben le fait de savoir que je suis lu, c'est très sympa (et ne pas être lu est la pire des choses, on est bien d'accord), mais je suis frustré de ne pas savoir ce qu'il en ressort pour le lecteur. J’aurais cent mille lecteurs et aucun com que je me sentirais pareillement frustré, sauf bien sûr si ces lecteurs payaient pour me lire. Il se peut que j'aie une réputation de tatillon qui ne laisse pas ses commentateurs en paix, c'est possible, ce pourrait être une explication. Ce pourrait être décourageant pour un commentateur potentiel. Je fais mon autocritique, là.

Widj, tu parles de la référence que je faisais à Brabant. J’aime ce qu’il écrit et il semble qu’il aime ce que j’écris, ou plutôt faudrait-il parler de la manière que nous avons de le faire, mais je te jure qu’il n’y a aucune « entente » entre nous. Je crois que nous n’avons même jamais échangé en MP. Bref, je ne connais absolument pas Brabant, et je n’ignore pas qu’il est un lecteur/commentateur généreux. Un « bien » de Brabant, c’est déjà une note « pas terrible ». Et s’il devait écrire un texte que je n’aimerais pas, je le descendrais aussi joyeusement que les tiens.
Il se trouve que nous avons, me semble-t-il, une vision semblable, d’abord de la lecture et, partant, de l’écriture, même si nos « styles » ne sont que partiellement comparables. J’ai pu le constater dans ce que nous aimons ou n’aimons pas lire chez les autres, bien qu’il y ait des exceptions, mais plutôt sur le fond, rarement sur la forme. Entre nos conceptions de ce que nous appelons si pompeusement « littérature » et d’autres conceptions – la tienne, notamment (en partie, parce que ça n’est jamais aussi tranché que ça, bien sûr) – il y a parfois un gouffre. La forme ! Surtout et avant tout, mais pas à l’exclusion du reste. Je peux très difficilement trouver un plaisir de lecture dans une histoire super bien ficelée, mais d’une écriture que je trouverais « plate », alors que je peux prendre mon pied avec un texte qui raconte une journée de glandouille où rien ne se passe, mais rédigée avec soin, des surprises, originalités de langage. La langue, la langue avant tout ! C’est ce que je considère comme étant la « littérature », la valeur ajoutée qu’elle apporte à la simple narration d’une histoire. C’est un affrontement de conceptions presque irrémédiable. C’est quasiment un dogme. De ce point de vue, je me sens infiniment plus proche des poètes que de beaucoup de nouvellistes, même si je n’aime pas l’excès de poids porté sur la forme que j’y trouve parfois… comme quoi !

Alors, si Morfale passe par là, je ne voudrais surtout pas qu’elle croie que je n’apprécie pas son commentaire, que je ne suis pas reconnaissant pour le temps qu’elle a passé à lire et à commenter. Son com est parfaitement valable, très bien rédigé, respectueux de l’auteur et indique clairement ce qu’elle a aimé et ce qu’elle n’a pas aimé. Aucune reproche, seulement un merci. Seulement, dans la lecture que je fais de ce com, je retrouve l’affrontement de conceptions dont je parlais ci-dessus. Si je faisais les mêmes constatations qu’elle exprime dans son com, ça voudrait simplement dire que je l’aurais adoré. Mais elle n’a pas adoré. Il me semble que, pour elle, c’était à peu près une lecture « quelconque ». Pas mauvaise, mais quelconque. Ca me perturbe. C’est un peu comme si un athée me disait qu’il croit en Dieu. Je pourrais l’entendre, mais si je devais être vraiment honnête, je devrais dire que je ne le comprends pas.

Cet affrontement de conceptions est clairement visible dans les coms que je reçois. En espérant ne pas être présompteux en m’avançant ainsi, je crois pouvoir dire que Brabant est un "client", que Meleagre est un "client", par exemple.
Sans bien sûr pouvoir l’exclure totalement, je sais que Widjet, Selenim, Toc-Art, par exemple, ne seront jamais des « clients », sauf peut-être ponctuellement.

Quand je lis le commentaire de quelqu’un qui dit que c’est bien écrit, mais qu’il trouve que le texte est creux, ben j’avoue humblement que ça me fait de la peine, parce que de fond, il y en a. Je sais que c’est extrêmement caricatural, mais parfois il m’arrive de me dire « Mais quoi à la fin ? Il faudrait que j’écrive platement, sans la moindre recherche, sans la moindre invention pour qu’on s’aperçoive qu’il y a du fond ? » Je n’arrive pas à m’y résoudre. Je ne pourrais pas écrire quelque chose que je n’aimerais pas lire.

Partant de là, je ne peux faire qu’un constat : je sais qu’en faisant un peu d’effort, je peux donner du plaisir de lecture à mes « clients », mais que malgré tous mes effort, je ne donnerai jamais de réel plaisir à ceux qui n’en sont pas. Et donc, je me demande ce que je peux encore retirer d’Oniris.

Contribution du : 01/02/2012 00:22
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Re : Paris en bouteille
Maître Onirien
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De nouveaux clients, Inco, de nouveaux clients, Oniris est mouvant ! "Ô ! Combien de soldats ! Combien de capitaines !" A chaque texte, chaque lecteur, nous sommes neufs... dans une relation de réciprocité. Un texte est un élixir. Il est bien question de boutanche, non ?

Alors ? Quid de l'élixir et de la boutanche ?

Contribution du : 01/02/2012 00:48
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Re : Paris en bouteille
Maître W
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Incognito, il faut raison garder et prendre du recul :
Combien de commentaires as-tu reçu précisant que tes histoires étaient creuses ?

Très peu, je parie. Si sur un seul commentaire (Morfale ou autre), tu remets tout en question, hé bien, tu n’as pas fini d’être frustré. Tu le sais bien, tu trouveras toujours des personnes qui te feront part de LEUR vérité qui sera aux antipodes de la tienne. So what ?

Et puis, comme je le dis et répète depuis cent ans, si tu n’es pas d’accord avec la perception ou le contenu du commentaire, tu l’ignores ou tu fais savoir ton désaccord, point barre.
Et puis, si c’est une histoire de conception de la lecture et de l’écriture, il n’y a pas grand-chose à ajouter, car jamais vous ne pourrez vous entendre (vous comprendre peut-être). C’est un peu comme quelqu’un qui ne voit dans le Cinéma qu’un divertissement destiné à faire rêver (et donc se refuse à voir des choses genre drames sociaux qu’on peut voir au JT) alors qu’un autre (comme moi) y cherche et trouve dans ce 7ème Art bien d’autres motivations.

Je vais te donner un exemple, le mien car c’est le seul que je connais le mieux : Un Onirien dont je tairai le nom m’a fait savoir quelque chose comme quoi mes textes n’étaient pas « originaux » ; que je ne prenais jamais de risque et me cantonnais à rester dans une zone de confort. Un autre m’a reproché qu’en écrivant des comédies, je choisissais la facilité etc.… Bref, ce sont autant d’opinions, de points de vue que je récuse comme en revanche j’accepte et valide le fait que j’abuse encore trop d’adverbes, que parfois mes personnages/situations ne sont toujours crédibles, mes descriptions pas toujours utiles, que je ne maitrise pas la ponctuation et certains temps du passé et que de temps en temps sur certains opus, la technique prend (trop) le pas sur l’émotionnel et l’authenticité.

Sur brabant, je vous taquine tous les deux. N’y voit aucune méchanceté, juste un peu d’ironie. C’est juste – et c’est une opinion toute personnelle – que j’ai et j’aurai toujours un peu de mal avec les superlatifs lorsqu’ils sont nombreux. Encore une fois, c’est affaire de perception : je ne trouve pas suspect, mais juste assez incroyable qu’on puisse évaluer positivement + de 80% des textes lus.

W

Contribution du : 01/02/2012 08:50
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Re : Paris en bouteille
Maître Onirien
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Et encore, Widj', qu'est-ce que ça serait si j'avais la possibilité d'évaluer mes propres textes !


:D

Contribution du : 01/02/2012 10:09
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Re : Paris en bouteille
Maître W
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Et un nouveau commentaire, un !

Mais je connais le loustic, il ne va pas pouvoir s'empêcher de penser voire de dire : "Ouais, mais j'ai l'impression d'avoir mendier mes commentaires et que mon intervention a fortement influencé les personnes à venir me lire et commenter".

Jamais content, le monsieur, je vous dis !

W

Contribution du : 01/02/2012 11:24
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Re : Paris en bouteille
Visiteur 
@Meleagre : il est très facile de comparer le nom de l'auteur et l'identifiant du lecteur de façon à ne pas le comptabiliser si c'est l'auteur du texte. De même l'adresse IP (pour les lecteurs "anonymes") peut être contrôlée de façon à ne pas comptabiliser 2 fois la même, mais je ne suis pas certain que d'un jour à l'autre ce soit vrai, l'adresse IP pouvant changer. De plus, le fait de contrôler le temps passé en fonction de la longueur du texte ne garanti rien. Il suffit que le lecteur imprime le texte pour le lire, et, dans ce cas, le compteur ne sera pas incrémenté. Globalement, il est impossible d'obtenir un compte exact. Le compteur de "lectures" ne donne donc qu'une tendance, rien de plus.

Contribution du : 01/02/2012 11:30
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Re : Paris en bouteille
Visiteur 
@Widget : ce n'est parce qu'on prend le pseudo d'Incognito" que l'on aspire pas à être reconnu !

Contribution du : 01/02/2012 11:37
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Re : Paris en bouteille
Maître W
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certes manchaballe...surtout en connaissant le bougre !

WidJet (avec un J,donc)

Contribution du : 01/02/2012 12:01
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Re : Paris en bouteille
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OK, merci à vous pour toutes ces précisions. En effet, je pense que j'avais lu ce fil pendant ma 1e vie onirienne, mais je l'avais totalement zappé depuis. Oui, difficile d'avoir un nombre exact, mais ça donne une certaine tendance. Sur mes textes, mon poème le plus lu (Tableau parisien) est aussi le plus commenté, et le mieux évalué : il a dû bénéficier d'un effet buzz.

Citation :

widjet a écrit :
Encore une fois, c’est affaire de perception : je ne trouve pas suspect, mais juste assez incroyable qu’on puisse évaluer positivement + de 80% des textes lus.


80% des textes évalués, widj', pas des textes lus. Peut-être que le sieur Braban a du mal à commenter les textes qu'il n'aime pas, et préfère ce cantonner à ceux qu'il apprécie ; peut-être qu'il est fondamentalement positif et optimiste, et incapable de dire du mal des choses et des gens
Mais c'est vrai que distribuer une dizaine d' "exceptionnels" leur fait perdre leur côté exceptionnel, mais c'est une autre histoire (ou alors je suis jaloux parce qu'il ne m'a pas mis plus qu'un "Très bien" ? )

Belle répartie, manchabelle !
Et puis Inco, rester sur Oniris peut te (on se tutoie, ou pas ?) permettre de les relire pour passer le temps dans ta chambre d'hôpital, ou de faire lire tes œuvres à ta femme, tes enfants et ton patron, pour essayer de les reconquérir (j'invente rien, hein, c'est ce que dit Inco sur les forums )

Contribution du : 01/02/2012 15:09
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