Désolé Marite, ce débat ne m'intéresse pas. J'ai dit tout ce que j'avais à dire.
Merci encore à vous de votre passage.

Trois quatrains pour un blasphème. Ensuite, Ponce Pilate le retour.
Le débat soulevé ne vous concerne pas. Pourtant, c'est vous qui avez ouvert ce sujet.
Doit-on émasculer tous les hommes politiques pour la raison que l'un d'entre-eux est un pédophile avéré ?

Vous impliquez le Pape, ce qui est une hérésie.

Il est vrai que dénoncer les horreurs est légitime, ce qui l'est moins c'est de le faire lorsque l'impunité est assurée. Mais le Pape n'étant le Prophète, on peut à loisir déblatérer sans risque.
On parle beaucoup de respect, sur ce site ...
Lisez vite ce comm. avant qu'il ne soit à nouveau effacé.
Les censeurs ne doivent pas être catholiques, dommage !

Mon grain de sel...dans le désordre...

J’avais compris le premier post de Marite comme soulevant la question de la libre-pensée comme pas si libre que ça, ni si libératrice que cela (suite au post de Pepito).
J’étais d’ailleurs assez d’accord avec cette réflexion (de Marite), car autant un certain courant de pensée, ou du moins une certaine attitude – consistant à dénigrer une certaine morale, ou peut-être seulement une morale hypocrite – est sans doute valable, et même honorable, autant il est un peu facile de se draper de ce drapeau quand on ne l’a pas hissé soi-même en haut du mat de la révolte (pour faire simple).

Je dis libre pensée, mais c’est plutôt de dérision qu’il s’agit, de tourner les choses en dérision, parfois la vie même… la vie en société en particulier, dans certaines sociétés, dans certains groupes, certaines cultures, etc.
Moi, ce qui me gêne ce sont les libertaires qui veulent m’imposer une liberté telle que finalement la leur empiète sur la mienne… et il y en a pas mal de ce genre-là.

Que Ludi ne veuille pas débattre de la question de la morale, et de la manière d’en faire, c’est son droit, il a écrit un poème et ouvert un sujet pour répondre a ses commentateurs, donner des pistes de réflexion à propos de sa manière d’écrire ce poème ou cette suite. C’est déjà pas mal.

Personnellement, de prime abord ce poème ne m’a pas plu, je n’ai d’ailleurs pas vraiment changé d’avis, mais je reconnais une intelligence dans la démarche. J’appelle cela du cynisme (peut-être à tort, mais je le situe ainsi).
Pour le cynisme non plus, je n’aime pas, comme pour le drapeau ci-dessus, qu’on l’arbore gratuitement, mais en ce qui concerne Ludi, je ne crois pas que ce soit un acte « gratuit », une usurpation d’identité… non, son poème est un acte réfléchi et finalement assez réussi, non pas pour la question de l’audimat, mais sur le fond, je dirai le fond de la forme (ou le choix de la forme), le pourquoi de la forme, enfin à mon sens, car il m’a donné à réfléchir, et du coup je me sens un peu moins borné (enfin un chouia) dans ma propre compréhension et appréhension d’une certaine forme de littérature qu’à priori je n’apprécie guère. Tout ça pour dire que je respecte ce cynisme-là, même si je prie qu’on m’en préserve 

Pour ce qui est du Pape… je comprends la remarque d’Eversad368, et en effet il ne faut pas mettre tout le monde dans le même panier, chaque groupe humain est composé d’individus ayant chacun sa propre responsabilité, je veux dire quant à ses actes, et aussi de son appartenance au groupe, et même du groupe…mais le Pape est assez grand pour se défendre tout seul, il me semble , surtout quand on sait qui l'assiste...ce qui ne veut pas dire que je pense la remarque d'Eversad368 illégitime, loin de là. C'est une façon de voir.

Moi-même j'ai défendu une prise de position du Pape (enfin un Pape) rapport à l'usage du préservatif qui avait horrifié tous les libres penseurs de la planète...sauf qu'ils n'avaient pas compris l'enjeu, et d’ailleurs pas vraiment écouté le Pape, ce qui ne les empêchaient pas de crier au sacrilège...

Par contre, j’ai de la compassion pour la novice, car le droit de cuissage me débecte que ce soit dans n’importe quelle institution : églises, armées, entreprises, clans,…
D’ailleurs le pouvoir me débecte à peu près partout quand il asservit quiconque.

Pour en revenir au poème, on l’apprécie ou pas, chacun sa sensibilité, rien à dire là-dessus je pense, mais il ne faut pas se tromper de cible.

La cible c’est nous…(pas mal trouvé la chute...non ?)

Merci Corbivan d'avoir compris l'essentiel de mon précédent "bavardage" : " la question de la libre-pensée comme pas si libre que ça, ni si libératrice que cela "

Bonjour à vous,
Je me permets de me présenter quand-même je suis Larry, nouveau passionné de littérature sur le forum.
Je trouve ce sujet très intéressant...