@thierry,

par rapport aux deux que tu cites, hersen est quand même un peu larguée, il faut le reconnaître. mais avec de la patience et du vent...

Oui, c'est vrai, il fait un peu chaud et sec dans cette nouvelle

mais je m'autorise néanmoins à offrir une limonade à mes visiteurs

Merci de ton passage dans le désert...

@Cat,

Ainsi donc, tu as aimé te perdre dans mon désert...

Eh bien tu as eu raison, car à ceux qui ne cherchent pas à tout comprendre, la poésie est ouverte :))

merci de ton passage, Cat, et de ton empreinte...

(des fleurs du désert, de celles qui ne fleurissent qu'une fois la nuit des temps...)

@Senglar,

Rrô.ôhhh, tu l'as fait !

Maintenant, j'ai la tête dans le sable, c'est malin !

Quand les coms vont devenir plus beaux que les textes, qu'est-ce qu'on va devenir, nous, auteurs ? Tu y as pensé, à ça ?

Ben non, même pas, j'en suis sûre, tu fais ça sans y penser, c'est naturel, chez toi !

Un grand merci Senglar;

Tu connais l'histoire qui commence comme ça :

"Un éléphant et une gazelle dans le désert devisaient gaiement quand..."

et pis après, j'me rappelle plus :(

Citation :


C'est gentil tout plein ! Merci, hersen.
J'ai eu l'occasion d'admirer un coin du désert en fleurs, c'était autant brutal que sublime.
C'était... euh... m'en rappelle plus très bien, je crois une fois la nuit des temps, tu as raison !

Merci encore pour tes grains de sable, surtout que j'ai trouvé celui qui me correspond si bien.



Cat

Bonjour tiramisu,

je peux comprendre qu'une nouvelle "trop" poétique puisse déstabiliser.
Globalement, ton interprétation est bonne sauf que la fin, explicative, t'a laissée sur le sable.
Il y a bien la notion de mort, dans son acceptation, pour la narratrice qui, au moment de mourir, apprendra le secret du vivant, c'est à dire le sens du passage sur terre de l'humain.
Nous supposons donc que la mort humaine n'est pas une fin en soi, que ce serait comme un cycle qui se termine et qui laissera place à un autre. (avec l'idée sous-jacente que peut-être nous sommes infiniment recyclables ?)

La beauté et la cruauté du monde : c'est en quelque sorte une réalité terrestre. Que verra la narratrice dans un autre cycle ? Il faut mourir pour le savoir... :)

merci d'être passée me lire !

Citation :

Ah oui ! là c'est raté, je n'ai pas compris ça, je ne suis pas restée simplement sur le sable, mais carrément enlisée dans un sable mouvant.
Je regrette de ne pas avoir saisi cela car j'aime l'idée. Je vais aller lire le début de ce fil. Et relire la fin de ton texte.
A une prochaine.

Pas de panique, Tira, flemmarder sur le sable, c'est bien aussi :) ...et c'est de saison

Une gaufrette Que j'te dis !

Euh... ça existe les gaufrettes en Algarve ?


Lol

Ah ah, oui, Senglar, ça existe ! il y a même une grande gaufrette spéciale pour la plage qui est roulée comme un diplôme...et qu'on appelle ainsi. Mais je crois que c'est devenu désuet, c'est dommage.

Mes dents croquent sur le sable...


:))) ))) )