Une conclusion qui peut se lire ainsi

Et pourquoi pas "le rêve" puis "le challenge" ? Ou même "le rêve" et "le challenge" ?

J'apprécie votre visite dans cet espace consacré initialement à "La fille de l'air".

Merci WILCO et, je n'en doute pas, à bientôt sur vos lignes que je sens prometteuses.

Bonjour Cristale, bonjour Poétesse chère à mon cœur,

Je viens de relire ton poème, et une fois de plus, que pourrais-je rajouter de constructif aux vingt-sept commentaires à ce jour qui ne soit déjà dit ?... Mais je tenais à te faire part ici, puisque fil ouvert il y a, du plaisir raffiné pris à ma lecture.

Comme d'habitude, sur un thème qui aurait pu être beaucoup trop galvaudé, ou... pas assez, tu as rajouté ta touche personnelle, si pleine de finesse dans la fantaisie, à un charmant portrait bucolique, rencontre idyllique au creux du mystère d'une jolie fleur lascive s'offrant au monarque, impénitent butineur devant l'éternel.

La mise en mot de ton imaginaire est vraiment sans limite, et d'un extrême savoir-faire. Bravo !!!

C'est sûr, dorénavant je vais porter un regard plus attentif sur les orchis de mon jardin... ^^



Cat


PS : pff... j'ai oublié de te dire : Merci !

Bonjour chère princesse Cat,

Quel plaisir de te retrouver sur mon fil ! Tu sais ici tout le monde est bienvenu et qu'importe s'il y a commentaire ou non sous mon texte, l'essentiel est dans ces échanges où chacun apporte un peu de soi.

Tu m'offres ici un agréable commentaire et crois bien que tes mots me procurent un grand plaisir.

Oui, regarde tes orchis attentivement, mais surtout, méfie-toi des monarques qui tournent autour

Merci à toi pour ta présence et ta douceur ma chère Cat

Cristale

À Nemo
ton commentaire sur "La fille de l’air"

Je ne sais que penser de ces vers indécents
Qui content le récit précis et méthodique
Du lamentable exploit d'une fleur impudique
Exhibant son pistil aux regards des passants.

La métaphore est belle et les mots sont puissants,
Et l'on ne peut nier la qualité technique,
Mais face à ton sonnet, je me ronge les sangs :
On ne se refait pas, je suis un romantique !

Oh ! non, je n'aime pas quand tu t'exprimes ainsi,
Un poème, à mon sens, pour être réussi,
Doit, autant qu'il le peut, peindre la vie en rose.

Ta place, dans mon cœur, est sur un piédestal
Et si je te compare au règne végétal,
Au sabot de Vénus, je préfère la rose.




Cher Nemo merci pour ta franchise et quelque aveu chaleureux.


Me voici fort contrite en lisant tes regrets
De découvrir mes vers un peu trop érotiques
Où cette pauvre fleur expose ses mimiques
A qui veut bien la voir sous ses jolis apprêts.

La syntaxe pourtant prend des airs guillerets,
Tu veux bien reconnaître aussi les jeux ludiques
Que j’attribue aux mots malgré tout poétiques,
Minces sont tes raisons pour me mettre aux arrêts.

Je sais, tu n’aimes pas quand ma plume s’évade
Sur des sentiers lascifs, préférant quelque aubade
Fleurie au clair de lune, alors prends moi la main,

Ensemble nous irons sous le bel oléandre
Près de la roseraie où tu venais m’attendre,
Un bouquet sur le coeur...un merveilleux parfum.



Cristale




"Aimer c’est savoir dire je t’aime sans se parler"
Victor Hugo



Edit : ces textes ne seront pas proposés à la publication, ils restent dans le cadre de l'échange poétique.

"La fille de l'air" redescend sur Terre pour remercier Hermès. pour son agréable commentaire et sa haute notation.

Je regrette que votre terza-rima et votre sonnet aient été supprimés pour non respect de la charte.

Peut-être aurait-il fallu stipuler : "Edit : ces textes ne seront pas proposés à la publication, ils restent dans le cadre de l'échange poétique." ou/et qu'ils soient le commentaire lui-même ainsi que l'a fait notre confrère Nemo.

Encore merci Marc de votre présence sur mes pages,
au plaisir de vous lire.
Cristale