Aller simple jusqu’au bout du monde

L'écriture de ce texte est bonne. J'ai bien aimé les personnages avec une Corinne blasé qui ne voit pas à quel point son amie est au nirvana... bien aimé aussi Rosa la tortue... j'ai trouvé la fin un peu abrupte mais sur un court format ce n'est pas facile...

Je pense à lulu :)

Aller simple jusqu'au bout du monde
(sous titre, Ventilatheures)

J'ai beaucoup, beaucoup aimé ce texte que je trouve plus complexe qu'il n'en a l'air.
Le coup du ventilateur de 11 heures, on se dit gné? c'est quoi, ça ?

Mais voilà, c'est pour faire plaisir à la tortue.

Toute une réflexion sur ce qu'est, ou que serait, le paradis pour chacun d'entre nous.

Un texte qui peut-être mériterait un développement, je le verrais bien atterir en conte philosophique.
Ou alors, c'est juste loufoque parce que le zoutexte s'y prête et qu'on s'éclate ?

jesépakicé

Edit : je vois que Lari pense à Lulu. Oui, ça se pourrait bien.

Jinx

Une nouvelle très bien écrite qui se lit facilement et qui opère une sorte de basculement de l'enquête à l'introspection de l'enquêteur.

Je pense comme Larivière que le Jinx n'est pas pour rien dans la série de suicides. Mais je ne suis pas sûre d'avoir bien saisi le rôle du sablier...
Heureusement l'enquêteur reste en éveil.

Merci.

Sur le fil

(une auteure qui a un fil à couper le beurre dans sa cuisine ? :))

L'opposition entre l'usine à crevette et le cirque est une bonne idée, c'est si diamétralement opposé que cela pose l'histoire.
Des petites choses qui mériteraient d'être éclaircies (pourquoi viet-il travailler en usine le jour alors qu'il passe sa nuit au cirque, plus les entraînements le jour, je suppose ? ça fait un peu too much, et un métier itinérant ne favorise pas le travail à l'usine.)
Sinon, je souhaite que les crevettes soient plus libres ailleurs, mais ça c'est une autre histoire.
Une reconversion réussie (un peu rapidement, je ne me vois pas faire tout ça en si peu de temps -même est un très long temps d'ailleurs- mais je pense que cette nouvelle est une bonne base pour un récit plus étoffé.
Et comme je sais qui c'est puisque c'est le dernier texte du Zou, alors bravo à toi, tu peux lâcher les crevettes et écrire plus de nouvelles, y a du potentiel !

Je pense à Eskisse

Doux-acide

On dirais un texte d'une auto-stoppeuse qui as utiliser son argent à la douane pour se rendre chez son père à Paris.

Elle s'est arrêter dans une station service pour se restaurée et elle embarquer avec quelqu'un qu'elle ne connais pas pour aller retrouver son père.

Très bonne écrire et continue à écrire d'autres textes et on va essayer de faire des commentaires.

Et je remercie tous ceux et celle qui ont commentée mon texte.

Le stagiaire

On sent que l'auteur s'est amusé. J'ai bien aimé suivre la petite enquête menée pour découvrir la ou la coupable du cannabis cultivé dans l'armoire. Tout ça est plaisamment cocasse.

Bravo!

Sur le fil

Je lis ce texte en écoutant "a soapbox opera" de Supertramp; je ne sais pas si ça va m'aider. Je ne suis pas fan des textes écrits à la seconde personne du singulier mais là ça passe parce que l'histoire est jolie.

Jinx

Une nouvelle que j'ai parcourue avec là aussi beaucoup d'étonnement quant à la qualité d'écriture pour un temps donné.

Je vois bien Donaldo comme auteur.

C'est une nouvelle qui m'a beaucoup plus pour son écriture, oui, mais aussi pour tous ces détails fournis qui alimentent le récit et donnent de la force au texte.

J'ai bien aimé dès le début, la première phrase... jusqu'à la chute qui ouvre plus qu'elle ne ferme le récit.

Un beau portrait, réaliste et bien construit.

Merci pour la lecture !

Aller simple jusqu’au bout du monde

Etrange, cette histoire de ventilateurs, de tortue, de magnet et de romarin. Je ne sais pas si j'ai compris quoi que ce soit mais j'aime bien l'écriture.

Doux-acide

Il y a un ton dans cette nouvelle ; la narration à la première personne du singulier atteint l’objectif de rendre le récit incarné. C’est à la limite du punk-rock au niveau narratif, une rage contenue qui se termine avec un geste absurde et désespéré. Et la fin, quelle fin, tellement dans le tableau.