veuve mas pas trop, loin s'en faut, fol amant, m'en aimerait tu autant, tentateur impudent, dans un ciel parfait, fait pas le timoré, m'aurais-tu désiré, ciré les chaussures, sur une lune étrangère ?

Aire de repos possible pour gens du voyage âgés a généré moult désapprobations. Si on considère d’errants les difficultés, tait-on cependant dans la culture urbaine leur présence en ces lieux, yeux fermés sur l’insalubre.

Avec sa face de caribou, bouffi par son immense égo, golem aux contours rétrécis, s’il pouvait devenir le chef, effacer nombre de rivaux, vaudrait mieux changer de patrie, trier les affaires à garder, des fois qu’il tenterait le coup, oulala comme ça sent pas bon, on n’est pas sorti de l’auberge.

Berges de Seine, scène de vie : devisons ensemble, semblent cancaner les cygnes, signe qu’il est trop tôt. Totalement faux, folie puérile, il est juste l’heure. Leurre d’une d’une éclipse, hips ! Hoquette-t-on partout, tousse-t-on buvant vent debout, boutefeux prompts au débat battant froid oiseaux de feu.

Feu la reine Elisabeth, bêtement morte dans son lit, lisant peut-être un livre, ivre de tant d'années à régner. Araignée monarchique, chiquement chapeautée, terriblement appréciée, siégeant gentiment, manteau coloré, réunissant l'Angleterre, terre désormais sans mère.

Merde alors, orange amère, mais revenir sur ses pas, c’est pas facile, il ne faut pas tomber, bêtement sur un os, au secours, courir vite, vittel menthe, enterrer un parent, renvoyez l’ascenseur, sœur de lait.

Heure de l’échappée, happé par la tornade n’as de prise pour ourler les silences en ce monde ondé dès les embruns un à un agrippés, peine perdue du fait des fées mauvaises aisément aimant ton malheur à l’heure de l’échappée.

J’attends mon traiteur japonais, n’ai pas le temps de cuisiner, inévitable litanie, ni dieu ni maitre je le dis, dix fois par jour si il le faut, ô mon bateau qui est à quai, qu’est-ce qu’il ne faut pas entendre, remettons le couvert ma mie, imitons le jeu du sushi, chiffonnons nous dans tous les sens, ensemençons la toile bleue.

Toi le bleu, je te cause ! Ose donc dire d’y revenir, ni en déni ni en conscience, en ce cas catastrophique y collerai mon pied au cul, qu’ultérieurement mentes-tu encore qu’hors de moi je serai, réponse à ton outrecuidance dans cette histoire.

Toi rebelle, belle comme une rose, oserais-tu, tuer le silence, en ce monde criard, armer les faibles, bleuir la grisaille, ailleurs qu’en rêve, et venir à mes côtés, ôter tes oripeaux, peau de chagrin, grinçante et ironique.