Voici la contrainte de: Le soleil frappe fort



Le soleil frappe fort dans les vitrails du palais où habitais nos amis qui eux s'était étendu sur plusieurs chaises longue près de la piscine avec le barbecue près de la table à pique nique où cuisait un rôti à la Francaise, un canard, des nouilles, et des petits pains aux saucisson pour le Berger allemand que nos amis avait adopter acheter par l'une des blondes du château pendant son excursion en train pour allez faire des photographies de plusieurs animaux en Afrique.

Mais la photographe avait mis des petits pains aux saucisson pour le Berger allemand que nos amis avait adopter et son nom était Rex pour aider notre détective à faire des enquêtes pour la police.

Et pendant ce temps-là la vétérinaire dans son atelier soignais un cheval qui avait eu des balles tirer par un dinge qui s'était échappée d'un asile.

Voilà tu peux rentrez à Heartland le cheval où tes amis t'attendent.

Et son téléphone de la vétérinaire sonna.

Allo oui je peux venir manger.

Et qu'est-ce qu'on mange et où es mon chum et est-ce que je peux amener le cheval pour lui donner un petit pain aux saucisson.

Pour ton cheval si il ne fait pas de tas tu peux l'emmener.

Pour ton chum il joue à des jeux comme: Trois mots = une phrase

Très bien je m'en viens.

Et puis qu'est-ce qu'on mange les amis.

Des nouilles et un rotî à la Francaise.

Mince, encore des nouilles !

@ Monsieur F : pardonné pour la double négation mais pas pour l'oubli d'un morceau de la contrainte ! =)
Texte sympa et bien adapté en tout cas !

Comme je suis le Boss, je me donne une seconde chance !

- Je n’y tiens pas trop…
- Comment ça tu y tiens pas trop ?
- Et bien c’est un peu rapide pour moi, puis je me sens un peu jeune aussi.
- Mais bébé, tu sais que je t’aime, c’est pour nous qu’on va faire ça, pour se souvenir l’un de l’autre à tout jamais !
- Oui mais…j’ai peur d’avoir mal ! Je ne l’ai jamais fait !
- Non je te jure je serais super doux, super prudent…
- J’sais pas…
- Allez, tu verras ça va être super !
- Oui peut-être… »
J’y tenais beaucoup moi à coucher avec elle, mince quoi ! Des vacances à la mer, avec mon meilleur pote, et lui il serre meuf sur meuf et moi faut que je baratine comme un malade ! Chier…J'ai 16 ans je suis puceau et j'en ai marre...J’y tenais beaucoup oui à coucher avec cette petite bourge qui parle comme un dico ! Et puis elle a des supers nichons, je sais elle m’a laissé les peloter.
Et elle, mais pourquoi elle refuse ? Je suis beau mec quand même…Et promis je serais doux…Marre de baratiner…J’v'ais finir en chien j’le sens…
« Je n’y tiens pas trop… »

Eh ben voilà!
Ce que j'adore c'est le "j'vais finir en chien j'le sens". Qu'est ce qu'on est bête puceau et mal reçu!

"Je n'y tiens pas trop..." avait ânonné l'Amiral Côme de Lanouille d'une voix éteinte à la question de savoir s'il voulait encore tâter du fouet.

"Pour la dernière fois, dis-moi où se trouvent les lingots!" tonna en réponse le terrible Capitaine Silvercock en agitant la lanière sous le nez de son prisonnier. "Voilà deux heures que nous retournons le vaisseau dans tous sens sans trouver d'autre chose que de la vaisselle sans intérêt et des sacs de cannes à sucres! C'est assez! où est le coffre et ses richesses ?"... et le colosse de reprendre à cingler les épaules de l'officier.

Jaugeant plus de mille tonneaux, La Fringuante était considérée comme l'un des fleurons de la Marine. Cette élégante goélette racée était taillée pour courir la mer et se déjouer des pièges de la piraterie. Malheureusement, les flibustiers ont de l'imagination et purent tirer profit d'une fête donnée sur le navire pour s'en approcher et, subrepticement, en prendre possession.

Jeté à fond de cale avec les restes de son équipage, les prisonniers demandèrent à de Lanouille de continuer à assumer le commandement. Côme se démit gauchement envers son second. Il balbutia ensuite à ce dernier "je n'y tenais pas trop", pour justifier ce pitoyable renoncement.

Cruellement joueurs, les pirates proposèrent d'échanger la vie de la maitresse de Côme, une jeune métisse retrouvée cachée dans un placard du Château d'Arrière, contre celle de la moitié des marins capturés. L'amiral se dégonfla et la laissa se faire empaler sans réagir. Les matelots rescapés remercièrent leur chef pour ce sacrifice. Celui-ci n'émit qu'un méprisant "de toutes les façons, je n'y tenais pas trop", destiné à oublier ses tergiversations, qui seules avaient épargné les hommes.

Ceux-ci furent massacrés quand même, au fur et à mesure que les pirates cherchaient vainement un butin de valeur.

Quand il fut acquis que le vaisseau ne transportait aucun trésor mais juste une cargaison commerciale, le commandant fut mené au terrible supplice de la planche. Les pirates mouillèrent de la viande pour attirer les requins, nombreux sous ces latitudes.

Silvercock, le foulard noir de circonstance au vent, se moqua avec ses acolytes du condamné durant les longues minutes d'un exercice d'équilibriste rendu périlleux à cause de la houle.

"Alors, Commandant, on se promène bravement ? Dis-moi comment tu te sens sur ta planche!" hurla le tortionnaire en jetant sur la planche un seau d'huile. Paniqué, Côme de Lanouille glissa puis tomba à l'eau en criant sa réponse habituelle: "Je n'y tiens pas troooooooop !!!!!"

(y'a-t-il un modo au grand coeur qui pourrait supprimer du texte ci-dessous le deuxième "de toutes les façons" -début du 6ieme alinéa- et remplacer par "Quoi qu'il en soit, (...)" MERCI MODO-AU-GRAND-COEUR ! ce message est à détruire ensuite )

[Message du modérateur : la prochaine fois, vous pouvez demander par MP. Sachez toutefois que les modérateurs se réservent le droit de ne pas intervenir en forum, en dehors du cadre de la modération proprement dite. Mais bon, là, c'était demandé si gentiment ! ]

Palimpseste, c'est vous qu'on devrait mettre aux fers! Pour avoir mal lu la contrainte, vous avez laissé empaler cette jolie et jeune métisse, alors que VOUS Y TENIEZ BEAUCOUP! (2 fois) Sans cette méprise, on sauvait l'esclave, on récupérait le butin et on balançait Côme de Lanouille à la baille sans remord.

ah zut ! Effectivement je me rends compte de ma méprise

Je suppose que si je recommence, je vais passer pour un flooder impénitent... Donc, les coeurs sensibles peuvent changer des morceaux d'histoire, et MonsieurF me dira s'il m'autorise à corriger ma bévue...

allez Palimpseste, grand seigneur je vous évite la supplice de la planche de la contrainte ratée, et je vous dis : "Bon sang mais sauvez donc cette demoiselle !!!" Foncez !!!

Bravo Palimpseste ! On aura vraiment eu tous les syles et toutes les époques avec cette contrainte !