Désolé Estelle pour mes commentaires mais je n'ai pas réussi à m'exprimer ou à faire comprendre mon idée du texte à Gavroche.

Ce serait bien de revenir dans le sujet, qui n'est pas le départ de Gavroche, mais le texte de Wancyrs.

Dodolili, pas de soucis, moi ce qui me choque en lecture c'est le manque d'ouverture d'esprit et les préjugés sur plus de 1000 personnes qu'à Gavroche alors que visiblement, les préjugés la dérangent.

Moi aujourd'hui je suis, grâce à Gavroche, conne, raciste et je sais plus quoi? Sexiste?
Pour quelqu'un qui soi-disant a un souci avec les préjugés, je suis juste ravie de voir son ouverture d'esprit.

Oui finalement, j'ai lu l'autre forum, qui nous traite tous de sexistes et de racistes... c'est bien. Un point Godwin pour Gavroche.

Je m'insurgeais contre les préjugés hurlés en révolte, des fois je pense effectivement qu'il vaut mieux que la révolte soit muette ... (désolée mais c'est exactement une discussion sur le texte, Gavroche je connais pas je me fous de son départ, nettement moins de l'insulte et du manque d'ouverture d'esprit qui accompagne ce départ...)

(Estelle, s'il te plaît... le sujet... )

[Modéré pour Hors-sujet]

(Quoi ! j'ai le droit de me marrer quand même des attaques que j'ai subi ces jours-ci non ? )

Modération

Citation :

Non.


Le sujet de ce fil est un texte, les polémiques individuelles sont closes. Si ça dévie encore, le sujet sera fermé également.

Alors euh, s'il faut revenir au sujet...

Wan, je suppose que tu as eu le temps malgré tout ça de lire mon commentaire... hum... t'as pas envie qu'on en parle un peu j'ai des interrogations en suspens...^^

moi je suis open à la discussion :)

Citation :

Peux-tu les reformuler tes questions ma z'ailés ? ou bien me renvoyer à l'endroit où tu les as formulés ? parce qu'il y a trop d'eaux qui ont coulées sous le pont de mon texte ; des houleuses, des douces, des chaudes et des froides si bien que je suis émoustillé et comme je suis un chat, ne supportant pas la flotte, je te demande dans laquelle il faut que je plonge

Je suis ouvert moi aussi au dialogue, but kill me softly please !

Wan

I'll kill you softly with a song (1 time)

Hum



Déjà je voudrais que tu éclaircisse pour moi le truc du viol, qui n'en est pas un etc.

Voilà, moi de mon point de vue je ne comprends l'usage du mot Viol que et seulement si, au moment où elle s'offre pour que son mari ne perde pas la face, ton héroïne oscille entre deux cultures et se représente son sacrifice comme un viol consenti.
Soit.

Est-ce que tu l'as posé comme ça?
Ou est-ce qu'il y a autre chose derrière?

Est-ce que c'est un choix, le développement narratif détaché et pourquoi?

Le style, tu peux m'expliquer ton choix?

Bref, on va commencer par ça? c'est bien non?


Soflty? me?

Pour commencer, "viol" n'est qu'un mot pour qualifier l'acte, aux yeux des personnes en retrait de l'action. Pour l'héroïne, ce n'est qu'une option de réponse à sa provocation, l'autre option étant l'acceptation du jeu par le frère du mari, couronné par un acte sexuel plus doux.

Je ne comprends pas pourquoi c'est si difficile à saisir.

Le récit se déroule dans une contrée où les coutumes, les traditions trônent sur toute forme de raison ; les us sont la véritable "Raison" et vivre autrement c'est se mettre au ban de la société. Dans cette contrée aussi, le "honore ton père et ta mère" est si respecté que les volontés des parents sont "paroles d'évangile", et malédiction et malchance poursuit celui qui n'obéit pas. dans cette contrée, se marier est un honneur, et divorcer c'est appeler l'ostracisme sur soi.

C'est dans ce décor que vit mon héroïne, a été éduquée là et ces usages là sont le pilier de ses croyances. En ville, elle tombe amoureuse d'un homme stérile. L'homme ne veut pas reconnaitre sa stérilité, IL NE PEUX PAS, ce serait perdre la face dans une société quasi-phallocrate. La femme demande conseil à sa mère (car dans cette société là, il est établi que les aînés voient plus loin dans la réflexion). Celle-ci la conseille de provoquer le frère de son conjoint, et de donner à celui-ci l'enfant qu'il convoite tant.

Pourquoi les gens crient-ils au scandale ? Pour la violence de l'acte ?(si celui-ci avait été doux, serait-il accepté ?) ou bien pour dénoncer le plan "tordu" de mon héroïne ?(combien de femmes, même en terres "civilisés", ont eue des amants juste pour ramener des enfants à la maison et faire une quelconque pression sur un conjoint réticent ?)


Pour ce qui est du style d'écriture, je l'ai voulu neutre afin d'éviter le pathos et les sympathies pour les personnages, donner ainsi la latitude au lecteur de les juger, ainsi que leurs actes.

Pour finir, Estelle, je te donne un petit exercice : Dans la tête d'un kamikaze, avant et pendant l'action ; narrez

I heard he sang a good song,
I heard he had a style,
And so I came to see him
and listen for a while.
And there he was this young boy,
stranger to my eyes, ...