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1 Utilisateur(s) anonymes
Re : Sonnet collectif (saison 2) |
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Maître Onirien
Inscrit:
09/03/2013 09:32 Groupe :
Évaluateurs Auteurs Membres Oniris Primé concours Groupe de Lecture Post(s):
24669
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Ok tant pis.
Sinon noix et noise c'était volontaire mais bon. casser des noix c'était pour casser la voix... Bref Si j'aurais su j'aurais pas v'nu (pas pour moi ce forum, aime po trop l'autorité moa ) Je préfère donc me retirer gentiment, sans rancune aucune. Bon jeu à tous!
Contribution du : 09/07/2014 16:21
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Re : Sonnet collectif (saison 2) |
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Visiteur
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J'ai bien compris
s'il n'y avait pas eu le vers 6, c'était tout bon, mais là ça occupe un vers pour dire grosso modo la même chose
Contribution du : 09/07/2014 16:24
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Re : Sonnet collectif (saison 2) |
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Visiteur
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Salut à tous ! Une modeste contribution si ça peut vous convenir...
Sans même se douter qu’un mec atrabilaire
Contribution du : 09/07/2014 16:28
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Re : Sonnet collectif (saison 2) |
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Visiteur
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Allure de casseur, poings serrés dans les poches,
Je fixais mon taudis sans y voir de futur. Alors qu'au cabaret swinguaient les doubles croches, Je rêvais de camping sur la Côte d'Azur. Deux gars sur le parvis, l'aspect patibulaire, Cherchant noise et des poux dans la tête à bibi Sans même se douter qu’un mec atrabilaire
Contribution du : 09/07/2014 16:30
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Re : Sonnet collectif (saison 2) |
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Expert Onirien
Inscrit:
23/06/2011 17:15 Groupe :
Évaluateurs Auteurs Membres Oniris Groupe de Lecture Post(s):
6611
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Pas pour moi non plus !
Dès lors qu'un vers est correct et respecte la prosodie et la suite logique du propos, je ne vois pas en quoi il n'est pas valable (sauf à vouloir imposer aux auteurs sa vision personnelle du sonnet). Il y a maintes façons d'approcher un sujet, aucune n'est supérieure à l'autre. Certains auteurs sont directs, d'autres s'attardent sur certains aspects précis traités dans le poème. Tout est recevable à condition (en effet) que la concision soit là.
Contribution du : 09/07/2014 16:30
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Re : Sonnet collectif (saison 2) |
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Visiteur
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Tonton, je peux ? Je passe mon tour pour le premier quatrain du prochain sonnet, promis ! OK ?
PS : je lirai ta poésie que Stony a extrait du grenier dès ce soir. Je suis au travail pour l'instant. -------- Allure de casseur, poings serrés dans les poches, Je fixais mon taudis sans y voir de futur. Alors qu'au cabaret swinguaient les doubles croches, Je rêvais de camping sur la Côte d'Azur. Deux gars sur le parvis, l'aspect patibulaire, Cherchant noise et des poux dans la tête à bibi Sans même se douter qu’un mec atrabilaire Bien planqué derrière eux, se prenait pour Bambi.
Contribution du : 09/07/2014 16:56
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Re : Sonnet collectif (saison 2) |
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Visiteur
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J'imagine que c'est Bambi en mode Thriller
façon lycanthrope Allure de casseur, poings serrés dans les poches, Je fixais mon taudis sans y voir de futur. Alors qu'au cabaret swinguaient les doubles croches, Je rêvais de camping sur la Côte d'Azur. Deux gars sur le parvis, l'aspect patibulaire, Cherchant noise et des poux dans la tête à bibi Sans même se douter qu’un mec atrabilaire Bien planqué derrière eux, se prenait pour Bambi.
Contribution du : 09/07/2014 17:07
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Re : Sonnet collectif (saison 2) |
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Visiteur
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Citation :
Je sens que les 2 prochains tercets vont être frissonnants !
Contribution du : 09/07/2014 17:10
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Re : Sonnet collectif (saison 2) |
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Visiteur
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Pour moi c'est tout bon
les quatrains sont concis et cohérents avec des trouvailles On est à la charnière du poème quelque chose doit se passer quoi ? nous verrons en fonction des suggestions
Contribution du : 09/07/2014 17:13
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Re : Sonnet collectif (saison 2) |
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Maître Onirien
Inscrit:
31/01/2014 22:04 De quelque part entre ciel et terre
Groupe :
Évaluateurs Auteurs Groupe de Lecture Membres Oniris Post(s):
11694
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Allure de casseur, poings serrés dans les poches,
Je fixais mon taudis sans y voir de futur. Alors qu'au cabaret swinguaient les doubles croches, Je rêvais de camping sur la Côte d'Azur. Deux gars sur le parvis, l'aspect patibulaire, Cherchant noise et des poux dans la tête à bibi Sans même se douter qu’un mec atrabilaire Bien planqué derrière eux, se prenait pour Bambi, Se la jouaient Bogart, comme à Casablanca.
Contribution du : 09/07/2014 17:19
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"Les mots peuvent être "impuissants" et pourtant ils sont tout ce que nous avons pour étayer nos ruines". Joyce Carol Oates |
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