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2 Utilisateur(s) anonymes
Re : Exercice d'écriture N°1 |
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C'est pas qu'on veuille pas "s'y coller", mais je manque d'imagination. Je vais y réfléchir ceci dit :)
C'est toujours intéressant.
Contribution du : 22/07/2010 00:00
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Re : Exercice d'écriture N°1 |
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Pour ne pas décourager les participants, on pourrait s'en tenir à un texte court (2000/3000 signes),avec des contraintes pas trop abracadabrantes. Qu'en penses-tu ?
Contribution du : 22/07/2010 08:43
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Re : Exercice d'écriture N°1 |
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Lorsque j’arrivai devant la ferme, la première chose qui attira mon attention fut la vive clarté qui émanait de l’intérieur du bâtiment principal. Il ne faisait pas encore noir, pourtant toutes les lampes étaient allumées. La chose ne me parût pas étonnante (après tout, de nos jours, chacun fait ce qu’il veut sans que personne n’y trouve rien à redire) mais je ressentis immédiatement une vive antipathie pour ses occupants qui gaspillaient leur argent de la sorte. Je n’ai jamais supporté les nouveaux riches.
J’étais néanmoins trop loin dans mon entreprise –ou devrais-je dire trop près de la porte- pour faire demi-tour. En outre, le commerce n’est pas affaire d’affinité et j’avais un négoce à faire tourner. Je frappai à la porte et entendis une voix, somme toute charmante, m’inviter à entrer. Pressé de présenter mon assortiment d’outils et d’en venter les mérites, je ne prêtai guère attention à la voix. Eussè-je été un peu plus attentif, j’aurai immédiatement pris la mesure de la situation, tourné les talons et disparu sans demander mon reste. Mais ma conscience professionnelle ayant prit le dessus, je n’entendis rien d’autre que «entrez, c’est ouvert ! ». Je tirai la clenche vers le bas tout en avançant de l’allure décidée qu’il convient d’adopter en de pareilles circonstances. Le pas élancé, je me trouvai pratiquement encastré dans la porte demeurée close. J’avoue avoir été un sonné et ne repris mes esprits qu’en entendant la voix m’affirmer «Entrez, Monsieur, je vous en prie. Par «ouvert» j’entendais en réalité «vous qui êtes du bon côté de la porte, donnez-vous la peine d’entrer ». Je ne pris pas la peine de vérifier la présence de la clé, la douleur aigüe que je ressentais à la pointe de la hanche gauche me donnant immédiatement la réponse à l’énigme. Je tournai la clé et la porte s’ouvrit. J’affirme que j’avais, dès le début de notre échange, deviné que mon interlocutrice appartenait à la gente féminine. Mais ma distraction et détermination à lui vendre quelque outil -même le plus petit des tournevis du lot- m’avaient évité de l’imaginer. Or, quiconque est un jour confronté à une vision de ce genre ferait mieux de passer les jours précédents à se l’imaginer. Pour amortir le choc. La femme (car il s’agissait bien d’une femme) qui m’attendait à l’intérieur était assise sur chaise et ne se leva pas pour me saluer. Elle en eût été incapable du reste, la chaise étant roulante et ses pieds –anormalement épais – reposant devant elle, presque à l’horizontal. Comme je l’avais immédiatement perçu, la pièce était vivement éclairée quoique que de la plus curieuse manière qui soit : un grand lustre de cristal descendait du plafond et délimitait un assez grand cercle de lumière autour de la chaise roulante. Sur chacun des quatre murs, deux appliques identiques étaient également allumées, chacune divisant la lumière en deux rayons dirigés vers le sol et vers le plafond. A ces sources lumineuses s’ajoutaient une lampe à pied de facture manifestement assez ancienne, posée sur l’unique petite table de la pièce, tandis qu’une vilaine lampe halogène chassait le dernier soupçon d’obscurité dans le recoin de la porte. Bien qu’aucun néon ne vienne compléter le tableau, cet éclairage excessif ne dissimulait rien du teint blafard de mon hôte, ni de ses disgrâces physiques. Si j’avais- au premier regard- remarqué ses jambes plâtrées, un second examen me permis de noter qu’il lui manquait un œil et que sa chevelure grisonnante, d’une texture étonnamment fine, ne cachait que très imparfaitement l’orbite béante. Je vis encore que ses épaules semblaient peiner à soutenir sa petite tête d’oiseau et que son corps, d’une maigreur maladive, se perdait dans une robe de chambre en laine épaisse. Je regrettai soudain, et pour la première fois de ma vie de VRP, de ne pas être délégué médical. Cette caste particulière de VRP, pourtant particulièrement méprisée au sein de la profession, m’apparaissait pour la première fois dans toute sa noblesse : apporter un peu d’espoir à ceux qui n’en n’ont plus. Alors que j’abîmais dans mes pensées, mon hôtesse me pria de m’assoir et le timbre de sa voix me fit oublier un instant l’embarrassante situation dans laquelle je me trouvais. (Car enfin, si une seule chose était évidente à cet instant précis, c’est que cette femme, quelle que soit son histoire, n’avait aucun besoin d’une boîte d’outils nouvelle génération en titane). J’entendis, soudain, la particularité de cette voix et réalisai pour la première fois combien elle correspondait peu à sa propriétaire. Elle me faisait –je pense- l’effet des sirènes de Messine ; Ronde, souple, nette, posée sans être doucereuse mais claire et limpide en dépit de l’âge de sa sirène de propriétaire. Elle attirait et faisait oublier l’aspect de sa propriétaire. Cette image semble un cliché, mais entendons nous bien, elle m’attirait non pas sexuellement mais intellectuellement. J’avais la curieuse conviction que je pourrais rester discuter avec cette femme qui m’apparaissait maintenant avenante et non plus effrayante. Rassuré, je m’assis sur ce qui m’apparu être un tabouret de fortune, près de la petite table qui s’avéra être une table de jeu. J’entends, à l’origine, car étant l’unique table elle faisait probablement office de table à manger aussi bien que d’écritoire. A la réflexion, elle devait aussi faire office de table de jeu, un échiquier étant posé sur le dessus. Quelque peu désarçonné par la cadre que je découvrais, je posai à la dame la seule question qui me vient à l’esprit : - «Vous aimez jouer aux échecs ? » avant de poursuivre, sottement, «que c’est intéressant. Je n’ai jamais réussi à en comprendre les règles ». Avant même de finir ma phrase, la mimique de la sirène me confirma l’inanité de ma phrase. Je poursuivi donc mon exploration visuelle en silence. Distraitement, je passai la main sur les bords de mon siège et m’aperçu, amusé, que ce que j’avais pris pour un tabouret était une télévision datant probablement des années 60’. Large et épaisse avec un fourreau en contreplaqué, elle n’était même pas branchée. Cette fois je n’eu même pas le temps de poser ma question, mon hôte me devança : - «Elle ne fonctionne plus voyez-vous. Je la gardais faute de pouvoir la déplacer, m’en servant parfois de table d’appoint pour déposer mon verre. Mais vous lui avez trouvé une nouvelle utilité et je pense la conserver. Comme vous le voyez, je manque un peu de siège pour mes invités» ; Elle m’adressât un sourire en parlant. Un sourire indescriptible mais résolument affreux. Sa voix pourtant, continuait de me faire de l’effet et je m’enhardis à lui demander si elle était seule et si elle souhaitait que j’appelle quelqu’un. - Appeler quelqu’un ? me dit-elle. Mais que voulez-vous dire ?». Elle semblait sincèrement étonnée. - Et bien, je ne sais pas, à vrai dire. Vous êtes ici, enfermée et manifestement blessée ». Je m’interrompis. Je pensai, brièvement, à sortir mon portable et à appeler la police ou la une ambulance. Je n’osai pas. Soudain, toute la situation m’apparaissait menaçante car enfin, si quelqu’un avait enfermé cette pauvre infirme dans ce cloaque, ladite personne risquait de ne pas apprécier mon intrusion. - Qui vous a fait cela ? Qui vous maintien enfermée ici ? Vous avez besoin d’aide » - C’est un rocher, Monsieur, qui m’a ôté mon œil lorsque j’étais jeune. Quant à mes jambes, j’ai eu un accident il y a quelques mois et, à mon âge, on ne rétabli pas si vite ». Ben voyons. Et je vis dans un taudis parce que je n’aime pas le confort et la porte s’est fermée seule ce matin. A clé. Je n’en cru pas un mot, mais mon estomac m’informa sans ménagement que l’angoisse qui montait n’allait pas tarder à se transformer en terreur. -«Je… Bien. Ne craignez rien Madame. Je vais y aller puisque tout va bien » ; Je me sentis lâche mais tentai de me remonter le moral en me jurant d’appeler la police aussitôt que je serais en sécurité. Elle ne fût pas dupe. -Vous partez déjà ? N’aviez-vous rien à me dire ou à me vendre ? ». Son unique œil me fixait d’un air narquois. -Non, je… ». Je m’enfonçai. - Il ne va pas tarder, vous savez ; - Qui ? - Mon mari voyons, qui d’autre ? Jeune homme, que se passe-t-il ? Voulez-vous un verre d’eau ? » Son ton restait ironique. Je compris enfin la situation : elle était l’appât. Si je restai une seconde de plus, l’homme arriverai et me ferait… Il me dirait…rien ne venait. J’avais peur. -Madame écoutez, rien ne vous oblige à faire cela vous savez ? Je peux vous aider à partir, à quitter ce monstre qui vous tient enfermé» Ma voix trembla en prononçant la dernière phrase. Je crois que des gouttes de sueurs coulaient le long de mes tempes car elle se mit à me regarder avec plus d’attention. Avec des efforts manifestes, la vielle dame recula son fauteuil de quelques tours de roues et le glissa dans ma direction. Cette manœuvre révéla une caisse en bois, jusqu’alors dissimulée sous ses plâtres. - Enfermée ? Mais, jeune homme, m’avez-vous seulement regardé ? Je suis coincée dans ce fauteuil depuis plus d’un an et coincée dans ce corps depuis plus de trente ans. Vous imaginez que mon mari me garde ici par méchanceté ? » ; Je ne répondis rien. -Non voyez-vous, mon mari me garde par humanité ou par amour je ne sais pas. Toujours est-il que ce brave homme s’occupe de moi et que, lorsqu’il ne travaille pas, il passe tout son temps avec moi ». Elle semblait tranquille. Apaisée, peut-être, de rétablir la vérité auprès de son visiteur. Alors que j’allais plaisanter sur la situation, un détail me revint à l’esprit. -Et la porte ? Pourquoi la porte était-elle fermée à clé de l’extérieur ? », lui dis-je, en me levant. Elle soupira, agacée. -D’accord, je vois que je ne vous convaincrai pas. Sortez Monsieur. Je me réjouissais de votre visite –c’est si rare- mais je n’ai pas l’intention de passer la journée à me justifier ». -A vous justifier ? » Je ne comprenais plus rien. Mais je n’entais pas approfondir et, étant déjà debout je m’approchai de la porte. - Vous ne voulez pas un canard ? » me dit-elle. -Pardon ? » -Un canard. Vous ne voulez pas m’acheter un canard? Ils sont là » elle désigna la caisse en bois. Vous n’avez qu’à vous servir, ils sont déjà plumés mon mari les a tués hier ». -Non, non je vous remercie du cadeau », - Ce n’est pas un cadeau voyons. Mon mari les chasse, je les vends. Chacun son métier. Enfin, si vous n’en voulez pas, sortez. Et fermez la porte à clé en partant, elle ferme mal et avec ce vent… » Voilà Monsieur. Vous comprenez, j’ai toujours aimé mon job. Bouger, aller chercher le client, mais là je me dis que j’ai fait le tour du métier. C’est la raison de mon inscription à l’ANPE. Vous croyez que vous pouvez m’aider ?
Contribution du : 26/09/2010 13:26
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Re : Exercice d'écriture N°1 |
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bonjours,
le texte n'est pas fini mais après deux pages, l'angoisse, du hors sujet ou je ne sais quoi me fais poster le début. J'espère que cela vous plaira dans l'idée d'en écrire la suite ... bonne lecture ! Vacance a l'ombre. Trois heures, vingt-sept minutes, dix-huit seconde. Levé deux heures et demi plus tôt qu'a l'habitude, départ vers le centre Herbert Kraus Mitten. Un bâtiment austère, de couleur grisâtre donnant presque la chair de poule. Je ne sais pas si ce sont les barreaux au fenêtre ou les douves mais un retour dans le temps ce produit devant mes yeux. Il est trop tard pour faire demi tour et ma décision murement et longuement réfléchie est prise. Mon choix quand au centre fut simple, il était le plus coté sur internet et les chefs me l'on montré, une certaine forme de respect est acquise de ces pères en revenant d'un tel endroit. Mes amis, moins objectifs, étaient limite dithyrambique a mon égard depuis que je leur avais dis ou je passerais mes vacances cette année. A l'arrière d'une voiture, dans le coffre fermer, le voyage c'était bien passé ! étendre mes jambes ne fait pas de mal non plus. Un homme me passe une cagoule sur la tête et m’assène un grand coup a la base de la nuque ... Rude ! Il fait nuit, ma tête raisonne encore du choc contre ce qui semble être un bout de métal plat. Circulaire et tranchant comme un rasoir. A taton, j’effleure la chose pour en déterminé la taille et éviter ainsi a l'avenir, le concert intracrânien donné en mon honneur. Mes yeux se sont habituer a la pénombre. Je distingue maintenant des reflets sur le métal gris, froid et vieux semble-t-il. On ma enlevé la cagoule ! Une fenêtre a gauche, c'est de la que viennent les reflets. Méfiant, toujours a taton, j'explore les environs du bout du pied sans avancer. L'idée de me cogner a nouveau sur je ne sais quoi paralyse ma curiosité. Entrave le courage qui pourtant ne me fait pas défaut. Une ou deux minutes passent et je sens enfin quelque chose ... Léger, fin et long. Je les a peine senti sous mon pied. Je me baisse pour plus de précision, attrape le fil et le suis en direction de la supposer fenêtre. Brancher dans le mur ... c'est un câble électrique ! Rassurer de la normalité de la chose, je respire. En me relevant, les mains sur le mur, glissant et lisse. Analysant chaque aspérité en remontant vers la fenêtre, je m’égare et l'oublie. Elle se rappelle a moi, laissant transparaitre au travers des volets la lumière salvatrice, illuminant les ténèbres de la pièce d'une multitude de reflets. Ma respiration se calme. Moins haletante et désordonnée, je reprend le contrôle. Le silence maintenant devient pesant, la pénombre passe encore, mais la s'en est trop ! La peur ne mène a rien. Un rapide coup d’œil alentour suffi cette foi a enhardir ce qui me reste de courage. ET d'un pas décidé, je fouille cette pièce en fonçant tête baisser. Un pas, deux et bing ! Le morceau de métal, toujours aussi saillant et offrant les plus belles mélodies. Un détail cependant retient mon attention. Mêlée au vacarme de cette cloche qui sonne le glas de mon épique croisade a la découverte du monde. Éclate un petit rire étouffé. Pas la peine de chercher ... si l'auteur de ce rire ne veux pas ce faire connaitre, bien obligé de le laisser ce cacher sous peine de blessure grave. Le premier coup avait déjà entreprit de renouveler mon sang. Le deuxième lui la fait jaillir, m'obligeant a appuyer fortement ma mains sur la plaie. Mais le moment n'est pas bien choisi pour se plaindre, un inconnu, qui rigole du malheur des autres, est la. Rodant autour, prêt a ... a quoi ? Agacé par mon coté pusillanime et déterminé a avoir toutes les clefs en main pour affronté cette épreuve. Je décide de faire le premier pas vers l’inconnu, un homme a priori. "Bonjours ! je suis martin !" Ma voie est tremblante, a du mal a sortir. Il est devenu évidant que j'en oubli le pourquoi je suis ici. Prévenu de la difficulté a s’acclimater et du fait que l'on serait deux. Rien n'aurait du me choquer ! Ni la pièce noir, Ni les objets poser en pleins milieux comme fait exprès pour que je me les prennent. Et encore moins la personne qui au demeurant reste bien cachée. La réponse ne se fait pas attendre et dans un son fort et rocailleux. J’essaie de deviner un "bienvenu chez toi l'ami". Pas de nom, de prénom et pas le courage de le lui demander ... Un "L'ami" suffira pour l'instant. Le ton employé par mon tout nouveau compagnon, est accueillant.Un leurre, c'est la première idée qui me viens. Être aimable en de pareil circonstance me paraît bien futile. Et de surcroit, ne ce connaissant pas, il nous serait difficile d'être ami. La personne est en face de moi, cinq ou six mettres nous sépare, il est assis a première vue. Le jour se lève et on commence a distinguer les formes. Je vois enfin l'objet si souvent heurter. Une lampe halogène ... Il aurait pu l'allumée ! Je me retiens de lui dire. Du haut de son mettre quatre-vingt-dix, maintenant debout et droit. Le regard fixé a moi, me détaillant comme un boxeur jaugerait son adversaire. Mal a l'aise ... Avec mon mettre soixante-quinze je ne fais pas le poids. Ça masse musculaire imposante n'enlève rien. Ne pas resté planté la ! Je dois comprendre ce qui m'arrive, et pas nécessairement en posant des questions a quelqu'un que je ne connais pas. La pièce est maintenant suffisamment clair. Dans un coin, un journal posé sur ce qui semble être une table de chevet improviser. Je m'approche lentement ... "on a le câble ici ?" Montrant du doigt la télévision table de nuit. Celle-ci me permettant une pointe d'humour, je ne me prive pas. Le stress croissant en moi ne fait que distraire mon esprit. Et avec le temps j'ai appris a n'en pas tenir compte. Je dois utiliser mes capacités au mieux, gérer le stress. Lui ne bouge pas, seul ces yeux sont toujours rivet sur moi. Je ne suis pas sur de la marche a suivre. Peut-être est-ce son journal et n'est-il pas préteur ? La sécurité l'impose, ma sécurité, je dois lui demandé ! "prend le !" s'exclame-t-il. Je m’exécute sans tergiversé et me plonge immédiatement dans la recherche d'indice. La date est révélatrice ... une semaine a passée ! Une des plus courte qu'il ma été donner de vivre ... J'étais entrer dans le centre, on m'avait drogué de toute évidence et enfin mis dans cette pièce ou je me réveiller une semaine après. Ce qui c'est passé dans la semaine n'a aucune importance. Moi, le militaire de carrière, dix ans de bon et loyaux services, ne ce fait pas avoir par le temps qui passe ! Quand bien même m’aurait-on drogué un ans complet, l’essentiel est ne pas avoir parlé ! Et a y réfléchir ... On ne garde que très rarement les otage qui ont parler. Le cerveau soulagé de n'avoir échoué, je me rend compte que l'étranger c'est assis. Calme et songeur, maturant les informations que je lui communique, jugeant de sa supériorité autant physique que moral, son attitude reste digne. A peine remis du choc, mon regard doit encore être vide, difficile a lire. Un avantage temporaire qui pourrait m'être utile. Ne représentant pas une menace immédiate, le travail de renseignement peu commencer. En savoir le maximum sans rien donné, un objectif pour lequel je me suis préparer.
Contribution du : 24/08/2011 21:31
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