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Re : Contraintes contrastes
Onirien Confirmé
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14/10/2012 18:29
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Je ne parviens pas à écouter Céline . Sur quoi faut-il appuyer? J'arrive sur dailymachin mais c'est tout blanc après....

Contribution du : 18/11/2012 12:35
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Re : Contraintes contrastes
Expert Onirien
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Si je comprends bien c'est le début et la fin?

Contribution du : 18/11/2012 15:43
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Car le mot, qu'on le sache, est un être vivant.
V Hugo
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Re : Contraintes contrastes
Visiteur 
Non c'est la phrase de début, mais la fin de l'histoire.

Contribution du : 18/11/2012 15:58
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Re : Contraintes contrastes
Chevalier d'Oniris
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Bon alors je poste vite fait pour la contrainte de la semaine dernière (cette fois, j'ai une bonne excuse, mon PC pourtant tout nuef m'a lâché et je suis obligé de me connecter au boulot). En implorant le pardon du maître des lieux.
Je suis resté un peu dans la même veine que lui d'ailleurs.



J'ai le dos bien calé dans la mousse. C'est agréable, je suis entièrement détendu. Je suis bien.
Une brindille entre les dents, mon esprit est loin. Je ferme les yeux. Et je me souviens.

Je pense à ce jour où je te regardais, Anna. J'étais assis contre cet arbre moussu, les fesses dans les fougères, une graminée au coin des lèvres. Je te regardais te déshabiller lentement. Les rayons du soleil filtraient à travers le feuillage et faisaient danser la lumière sur ton corps.
Comme cet instant de vie où j'attendais que tu me rejoignes était doux. Je me souviens de chaque seconde...

- Dis, t'as vu les nouveaux matelas anti-escarres ? Ils ont vraiment l'air super bien.
- Tu parles que j'ai vu. Je l'ai essayé avec la nouvelle du service orthopédique. Tu te cales le dos dans la mousse et tu t'envoles direct au paradis mon vieux !
- Tiens à ce propos, t'as vu Monsieur René quand on l'a installé dedans ? Il a fermé les yeux avec un sourire béat et ils ne les a pas rouverts depuis.
- Ouais. Ca doit être une sorte de pied pour lui. Par contre, il a l'air con avec le thermomètre dans la bouche. Ca le fait baver. Faut que je dise à l'infirmière de virer ça.
- En tout cas, il a l'air heureux. A croire que la vie est douce en attendant.
- En attendant ?
- Ben oui, il n'a plus qu'à attendre, Monsieur René. Tétraplégique. Et vu son âge...

Contribution du : 19/11/2012 16:13
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Ecrire, c'est raconter des histoires. Le reste c'est de la littérature.
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Re : Contraintes contrastes
Expert Onirien
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21/07/2012 17:47
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je dédie évidemment mon oeuvrette à Ray Ventura et à Ludi, tombé à pic avec ses inconvenances:

Décidément, c’était mieux ainsi.

La mort de la jument grise périe dans l’incendie des écuries, conséquent à celui du château tout entier, dû au suicide du marquis ruiné, c’était mieux ainsi, vraiment.

Mais qu'auriez-vous souhaité à la fin ?

Que la jument gagnât au Grand Prix d’Amérique et que l’on découvrît son dopage systématique pratiqué depuis plusieurs années ?

Que le château, les écuries, les dépendances dussent être cédés aux multiples créanciers de M. le marquis qui avait accumulé tant de dettes de jeux, croulé sous tant de turpitudes dans les ballets roses où on le surnommait « Passe-lacet » ?

Que l’on en vînt à connaître les mœurs dissolues de la noble héritière de Mme la marquise avec le palefrenier ? (qui ont péri tous deux aussi dans l’incendie)

La ruine plutôt que le déshonneur !
C’était mieux ainsi et tout allait très bien, Madame la marquise !

Contribution du : 25/11/2012 17:16
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Re : Contraintes contrastes
Chevalier d'Oniris
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De rnier au cross
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Hello ! Il est tard, mais j'ai essayé. C'est pas terrible... Bon, la prochaine fois je travaillerai plus ! Merci en tous cas, je viens de découvrir ce thread (moi débile ouga ouga).
Alors, le texte :

C'était mieux ainsi.

La chute.
L'agitation, le brouhaha, les gamins qui pleurent. J'aurais donné beaucoup pour assister à ça, mais je n'ai eu que les « attention ! », je n'ai eu que ces mains tendues qui ont peur de vous rattraper, l'imperceptible instant où le regard change, bref rien.
C'avait été drôle, de traverser le quai, de voir le regard fuyant des autres à travers mes larmes, drôle ou ironique, parce que les gens, ils sont choqués quand vous tombez sur les rails, sous le train, mais ils s'en foutent bien quand vous leur pleurez devant.

J'ai dû ralentir le trafic pendant deux bonnes heures. Moi qui ait toujours voulu me faire discret...
Je lui avais expliqué, en long, en large, qu'elle se trompait, puis, harassé par la conversation, je l'ai écoutée, et c'est là que j'ai commencé à pleurer, je me suis replié sur moi-même, et dans mon âme j'ai ouvert ce compartiment qui contient son odeur, le bruit de son rire, l'écho qu'il fait contre les murs.
Je l'aimais tellement que mourir comme ça me convenait. J'ai pu m'abandonner à la contemplation. J'ai pu vivre dans son souvenir. La lumière, tout ça...

Franchement qui se serait douté que je finirais étalé, découpé sur les rails à 14h30 ? Pas même moi. Pas même moi une minute avant.

Je suppose que, lassé par la conversation, agacé par sa voix nasillarde, par ses arguments délirants, la bonne solution n'était pas de ne rien dire et de m'en aller, comme je l'ai fait. Certes. Je l'ai vu dans son regard, qu'elle regrettait, je l'ai vu dans l'hésitation, dans la fin de son geste, entraînée par l'élan de sa poussée, l'hésitation, la tentative de me rattraper, mais, sincèrement, vous l'auriez cru, vous, que dans un accès de rage, elle me pousserait sous le train ?

Contribution du : 27/11/2012 14:43
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Re : Contraintes contrastes
Expert Onirien
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Très beau texte Artexflow et tu peut continuer avec les autres contraintes...

Contribution du : 27/11/2012 15:50
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Re : Contraintes contrastes
Chevalier d'Oniris
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Il n'y en aura plus de nouvelles ?

Contribution du : 27/11/2012 16:22
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"Dans le silence et la solitude, on n'entend plus que l'essentiel" Camille Belguise
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Re : Contraintes contrastes
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Oui bien sur q'il va y en avoir d'autres contraintes.

Contribution du : 27/11/2012 16:40
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Re : Contraintes contrastes
Chevalier d'Oniris
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Eh beh c'est mort ici! C'est que j'aimais bien ces "contraintes contrastes"... c'était même devenu ma seule raison d'aller sur oniris... du coup y a plus rien? Mort? Kaput? finish? Plus plus plus rien? J'espère que c'est pas juste pour donner tord à ce pauvre martin... ^^ (Remarquez comme j'explicite ma blague en la faisant suivre d'un double circonflexe, blague qui, une fois explicitée et sur-explicitée perd totalement de son incongruité et donc de son aspect comique, et qui, ayant perdu toute drôlerie, finie par ne plus être une blague du tout... Pour relancer ma blague je vais tenter quelque chose, en effet notre cher (très cher? Ne soyez pas pingre...) ami George a chanter, vous allez rire (Allez quoi riez!), une chanson s'appelant (j'en pouffe) "pauvre Martin". ("Non!?" Me direz vous "Si si!" Vous répondrais-je exalté.) Et il est logique (Vous admettrez que la logique est importante, sans la logique pourquoi ne pas égorger des nonnes en hurlant comme un damné que le salut viendra par l'extermination des juifs, et là on comprend pourquoi la logique est importante...) que je fasse suivre cette video en lien, eh bien la voici: (Désolé en fait je ne peux pas faire suivre cette video sans fermer ma parenthèse, sinon la video est dans la parenthèse ça n'a plus aucun sens et on sait ou ça mène... Pauvres nonnes... Bref, ou en étais-je? "Ah! cet égarement qui me tient, qui me suit, de tourment en chagrin, comme un cap à ma vie..." Je crois pas que ce soit le moment de faire de la mauvaise poésie... Pourquoi j'fais ça moi? Bref. Quoidonhou? Oui! Deux parenthèses le lien et c'est la quille (Un des rares mots français qui nous vient de ces fougueux vikings! On s'en fout non? Si... Carrément même... C'est dingue ce que je peux tergiverser...) Allez lançons nous!)) Voila qui est fait, et ce qui est fait n'est plus à faire, à moins qu'on veuille repasser derrière mais là, franchement, je n'en vois pas l'intérêt, pour un lavage de carreaux à la limite, pour quelqu'un de très méticuleux je dis pas, mais là...Bref, allez, plus aucune parenthèse ne m'entrave, j'envoie pauvre Martin, c'est parti mon kiki attache tes skis, et hop, bim:

http://www.youtube.com/watch?v=yynd8iAsdDk

Oui en fait j'ai mis grand jacques c'est mieux et en plus tout le monde s'en fout... (Dis-je tandis qu'une nonne gargouillait de la trachée et que j'hurlais des slogans qui depuis 65 ans sont trop ringards pour que je vous en fasses part sans rougir... Mais tout en Allemand avec un léger accent Autrichien, ce qui peut s'applaudir, ne serait-ce que pour la performance...).

Contribution du : 21/12/2012 08:23
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C'est la beauté du monde qui a fait naître la conscience des hommes...
et son absurdité qui l'a brisée.
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