Très rigolo votre texte Arielle !

Misumena: je ne comprends pas la chute (suis-je stupide ?), ou alors la dame veut dire que le pognon remplace une bonne érection ?

Stony: vous n'avez pas compris je pense: il s'agit de faire un texte à contraintes: cette semaine Misumena a proposé 5 mots à caser obligatoirement dans la nouvelle.

Pepito : c'est écrit avec un tel naturel que j'ai d'abord cru à une réelle protestation contre les contraintes de l'exercice. Bravo !
MonsieurF : Je me suis demandée s'il y avait un rapport entre le pneu qui éclate et l'incendie ...
misumena :la dernière réflexion de la dame me laisse songeuse, son but était-il de faire échouer l'aventure ?
stony : la contrainte des cinq mots obligatoires t'aurait-elle échappé ?

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Oui, évidemment, je m'attendais à cette réaction et je ne sais pas si je dois le prendre comme un reproche ou un compliment. Je le saurai peut-être après vous avoir éclairés. En tous, ça m'a pris plus d'une heure, d'écrire ce texte.
J'espère que MonsieurF, créateur du fil, et Misumena, créatrice des contraintes de cette semaine, voudront bien me pardonner cette petite facétie d'avoir interprété très librement l'exercice. Mais si vous cherchez bien, vous trouverez les "mots" qu'il fallait utiliser. Ils sont au nombre de cinq et ils sont bien tous là.

Voici l'extrait du texte qui les contient :

Le bougre sévit dans ce troquet comme jamais. Mon mari noce et rosse à tout va. Des irresponsables l'encouragent. Le videur intervient. Une armoire normande, un athlète comme je n'en ai jamais croisé, hélas. Je crois que mon époux va enfin avoir la monnaie de sa pièce. Ca lui apprendra à surveiller la balance pour courir la gueuse. Bien sûr, ligne et témérité ne s'accordent guère. Le malabar cravate mon jules et l'emboutit, que ça en saigne de partout.


Je me suis donc permise de m'imposer des contraintes encore plus fortes que celles que vous préconisiez, mais incluant (librement) les vôtres.

Ouf ! En effet, le fait que les commentateurs ci-dessus n'aient rien vu tendrait à prouver votre réussite...

Bravo Stony ! C'est en effet très ingénieux à vous, et j'accepte d'autant plus votre "travail" parce que votre texte est sympa comme tout !

Bravo.

Excellent, Stony ! Je suis admirative...
J'ai aussi beaucoup aimé le texte d'Arielle, et le clin d'oeil au "ka-fard".
Pour la fin de mon texte, il fallait suivre. Tout est en fait une question "d'ego remonté", dont je me demande quelquefois s'il se situe au niveau organique ou bancaire. Les deux, dans ce cas : qu'importe l'ivresse, pourvu qu'on en ait payé le prix. Mais bon, c'était tiré par les cheveux.

Très beau texte stony mais avec les contraintes que tu as mis.

Merci à vous.
Merci à toi, Martin. Tu n'as pas envie d'essayer ? Un rhinocéros, ça te changerait peut-être un peu de Milou. C'est aussi un bestiau, après tout.

EDIT: j'en profite pour présenter mes excuses à Pepito et Arielle pour les avoir confondus.

- Stony, j’avoue que je suis plutôt mécontent, me léguer une annotation que je n’ai point écrite me marri. Arielle doit penser de même…
Certes je suis à la bourre et ne peux rien prouver, mais c’est l’inhabituelle hachure du texte qui m’a mis sur la voie. Pas normal… N’ayant de plus pas vu mon rhino, je suis remonté et ai rapidement trouvé la bête et sa suite ensuite… Bravo pour l’exploit.
N‘empêche que, par le quinono, votre dette augmente…

- MonsieurF, voilà un texte émouvant. Le format du texte est peut-être un peu court pour arriver au résultat mérité. Une belle histoire.

- Arielle, une plongée réussie dans un autre monde, dans une autre peau et peut-être même, dans un autre âge*. Avec, en plus, une belle leçon « d’identité ». Si j’osais, je pousserai le bouchon jusqu’à Kafkar(breton).
*Pepito t’es un sagouin.

- Misumena : Texte très sensuel malgré un homme très… intimidé. Les femmes sont vraiment sans pitié… ;-:) J’avoue que pour la fin j’ai eu aussi besoin d’explications.

- Question générale: Peut-on dire du mal des textes que l’on a lu. Même si ce n’est pas vrai, juste pour être désagréable. Sinon j’ai l’affligeante impression de boire le thé avec les dames patronnesses de mon pueblo. Caramba !

Pepito

Bijour Stony, nos textes se sont croisés.
Il n'y a, bien sur, pas besoins d'excuses entre nous Stony , mais pour Arielle, être confondue avec un mufle, houlalala !