La question de l'éditeur: êtes vous fou ?
La question de l'ecrivain; suis-je fou ?
La réponse de l'écrivain: qu'importe la folie, si vous entendez par la que j'ai suis du genre a m'abstenir des limites que la raison impose.

L'imagination supplante la raison, l'imagination n'a de limite que celle que l'on s'impose.
dès lors.

Suis-je fou, vais-je trop loin dans l'imagination, n’emprunterai-je pas la un chemin de l'esprit que la raison interdit.
Dois-je m'astreindre a ce qui est raisonnable, ou bien dépasser un peu, quitte a allez trop loin.

La question de l'éditeur est retorse.

Qu'importe la folie, de quelque manière qu'on puisse la définir, la sentir, la palper et l'expliquer.

Tant que celle ci fait vendre.
L'editeur ne s'oppose a aucune folie, elle est le terreau ou le fruit de l'imagination sans limite.
Tant que celle ci ne nuit pas a l'im

La question de l'éditeur: êtes vous fou ?
La question de l'ecrivain; suis-je fou ?
La réponse de l'écrivain: Je ne sais pas et d'ailleur: qu'importe la folie !
Que je soit en l'état incapable de répondre a la question même, n'est en soit pas un problème tant que l'imagination me permet d'écrire ce que vous allez vendre et que celle ci ne nuit pas a ma santé mentale de sorte que ma capacité particulière soit préservé et que mon talent a vos yeux soit demeure intact je le repète qu'importe la folie !
M'y imprégnerai-je entièrement qu'importe la folie !

Quand quelqu'un commence sa phrase par "pour être honnête", je me méfie.

Vu sur un paquet de coucougnettes vertes de Pau (Maison Francis Miot)

Composition : Amande chocolatée 36.8% (...) Peut contenir des traces de fruits à coques(...) Produit sujet à perte de poids.

Flèches et arcs boutés hors du ciel, à défaut de Guillaume ont trouvé ma pomme

Le phrase d'en bas est fausse.
La phrase d'en haut est vraie.

Il est de bon ton de taire ce qui fait mal, ne serait-ce que par estime pour la souffrance et respect pour la musique légère...

Une toute fraîche:

""...Il râle tous les jours que le Bon Dieu fait que les journalistes sont des ânes, qu'ls écrivent comme des cochons, et qu' ils parlent sur des sujets qu' ils ne connaissent pas....aujourd'hui, à table, même rengaine, sauf qu' il ajoute;" Il est vrai que si on n' écrivait que sur ce qu' on  connaît, les forêts ne seraient pas menacées!""

A 86 ans il me fait encore rire tous les jours

« DOUKIPUDONKTAN, se demanda Gabriel excédé. »

les premiers mots de Zazie dans le métro
QUENEAU

Quand mes filles avaient 10 et 11 ans j'ai écrit cette phrase sur le tableau noir de leur chambre...et j'ai attendu!

Je n'ai pas été déçue!!!!!!

Epigraphe de Groucho Marx qui ne figure pas sur sa tombe!
Dommage!

"""Je vous l'avais bien dit que j'étais malade"""