Bonsoir,

« Pour moi l'art ne peut pas, comme le sexe des anges, rester un mystère sans but ni raison.. »

Tout l’intérêt à quelque chose vient de sa part de mystère du moins c’est mon opinion
Une fois démystifiée cette chose perd grandement de son intérêt peu même décevoir.
Le rôle de l’auteur est je pense de laisser courir ce mystère en justement trouvant la formule indécodable d’un texte pour la majorité ou alors donner une version à multiples interprétations possibles pour satisfaire cette majorité…Je pense qu’on est très loin de cette performance.

Bien sûr beaucoup s’essaieront au décryptage perso je m’y colle souvent. Ai-je juste, ai-je faux ? c’est le cadet de mes soucis l’essentiel étant que je me suis octroyé une solution plausible tout en restant sur ma « faim » car l’auteur ne dira rien

Pour ce qui est des questions techniques, il est aisé en classique du moins de se repérer grâce aux règles établies. Pour le reste des genres, rythme, musicalité sont de mise OK ! à cela ajouter le sens…oui mais voilà le sens peut nous échapper il faut l’admettre, le prendre comme tel.
C’est comme en peinture…quel est le mystère de la Joconde ? Qu’a t’on trouvé sur la « Cène » ? et tant d’autres
Et en musique…qu’est ce qui vous émeut…ce ne sont que des notes…pourquoi cette émotion sans pouvoir se repérer avec une image, un souvenir etc.
Beaucoup de questions en suspens…le mystère demeure
Belle soirée

@Télémaque, je répondais à l'intervention modérée de Luluberlu...

Citation :

Que je ne partage pas, ce qui n'est pas la fin du monde, éclectisme et diversité etc...
Je ne tente pas d'imposer la mienne, je cherche à comprendre, je reste sur ma faim, essai raté en ce qui me concerne.
ça n'ôtera pas le pain de la bouche de l'auteur, ça ne le rendra pas célèbre, ou pire/meilleur auteur.

Ce texte a réussi au moins cela : provoquer une discussion avec des répercussions démesurées...
C'est ça, l'art, surement, un déchainement de passions irraisonnées et des gens qui se laissent emporter par des choses qui finalement n'ont aucune espèce d'importance.

florent, bonne continuation dans l'écriture.
faut pas nous écouter.
tout est bon dans l'art.

10 pages de forum pour un texte "merdique", ça fait flipper quand même...

Comme quoi suis pas mécontent de me barrer moi.

je crois qu'il y a d'autres choses à faire...

(écrire par exemple)

J'aimerais qu'on me rappelle qui a commencé avec le deuxième message de ce sujet.

Plus d'une centaine de messages en forum de disputes, insultes et compagnie, deux auteurs qui veulent se barrer (mais bon, c'est aussi des habitués du barrage) et je n'ose imaginer combien de mp échangés par derrière,

pour un bête texte de 12 lignes...


Excusez-moi, mais quand il y a quelque chose de vraiment important, vous faites quoi dans ce cas ? Un suicide collectif ?

LEO
"Là, vous parlez comme un chercheur, un linguiste, un poète qui essaierait de construire une œuvre de l'esprit autour des mots et de leur signifiant. Même si cela semble assez mal exprimé et demande des éclaircissements, c'est un thème et un discours qu'on peut comprendre et qu'on ne demande qu'à comprendre, pour interpréter votre démarche et, pourquoi pas, y adhérer !

Pouvez-vous développer cette idée, qui nous donnerait des éléments qui nous permettraient de comprendre votre écriture"

Je ne pense pas vous avoir répondu, mais un mot tombe à l'eau, il fait son cheminement, un autre mot le suit, il fait son cheminement, c'est l'effet de l'impact d'un mot. ]A,B,C, ... alphabet[
Si le mot est consistant, gros, liquide, l'impact en sera d'égal à la nature de ce mot, la surface n'étant dépeint que par le rythme, comme le classique*[A',B',C'...]. En partant de là, peut-être que je me trompe, mais comme j'affirme rarement rien (oui protectionnisme mondialiste), tout sa pour dire, que si le rythme est bon, bien calligraphié, les mots faisant les vagues, où si celles-ci ne sont pas du même ordre, où de la même pesée, d'où l'importance du métrique et tout le bordel (^^, [A,B,C...])mais où chaque vague d'un mot donne à l'autre vague la même note même si comme les fleurs du mal, il est démontrable que le mot peut être fait de ce que bon nous semble ]A',B',C'... alphabet'[
Là en l'occurrence, dans le poème écrit, je choisie les mots pour ce qu'ils sont, sans pesée seule que ce que le mot est en lui égoïste.
D'où sans doute le fait que sa soit un texte à sens unique. Même si je ne prétends pas utiliser chaque mot dit dans toute sa magnificence, mais qu'il peut faire écho à des idées, tout comme toute vos explications, et finalement voir le texte, sous toute les coutures qu'ils puissent nous imaginer.
La rosace n'est-elle pas vu comme une forme simplifié de la connaissance? (réponse en MP au risque d'un débat HS, merci)d'où le fait qu'elle peut ce tromper, pas forcément rarement, puisque par vanité nous pourrions être en quelque sorte pédant, sans doute la conscience faisant preuve de réversibilité.
voilà j'espère vous avoir répondu, d'autant que je me fait une image, j'espère qu'elle ne vas pas trop me desservir même si je m'en tape! à moindre mesure. Merci encore.

*Là d'ailleurs la poésie est souveraine, et ce trouve émergé comme dénudé de socle, comme ne l'est pas une sculpture, où un tableau par exemple, où seul l'esprit est livré subsiste.

Souvenez vous du Coucher de soleil sur l'Adriatique !

Oui oh, faut pas non plus pousser en terme de "barrage" je l'ai fait une fois et en expliquant, comme là, j'ai expliqué. Derrière l'écran il y a des personnalités et la mienne de personnalité a du mal à entendre de la part de quelqu'un qui pourrait être son élève au vu de l'écart d'âge, qu'elle "chouine". Moi j'ai pas été irrespectueuse envers celui qui me l'a dit, j'ai pas relevé (je le fais maintenant mais c'est comme ceux qui gardent des billes pour après :) ). Et ma personnalité qui a ses défauts mais bon, un peu de qualités aussi, supporte mal la menace. Et si je ne peux pas dire ce que je pense sans qu'on m'afflige d'un mauvais point (ils sont comment les bons points, les pas G, on a une image au bout de dix ? Et avec dix points G, j'ai une image X ?) Donc pour ma part mon caractère trempé et moi, ce qui n'est pas obligatoirement un avantage, quand on n'est pas d'accord on le dit et quand c'est pas possible de dire sans le point G en ligne de mire on s'en va. Mais c'est pas grave et je ne relance pas le débat autour de... hein ? "Un texte merdique" ? Beh oui... Je ne suis pas fâchée, ceci dit, juste affirmée et c'est pas pareil, là-dessus je ne changerai jamais. Et quand c'est pas à prendre, forcément, c'est à laisser.

:)

Edit : Mon point G et moi nous somme très sensible au coucher de soleil sur l'Adriatique, ça détend un peu...

Pour ce qui me concerne, ce n'est pas "à cause" du "poème" en question que je tire ma révérence.
C'est entre autre chose à cause des modérations péremptoires de Philippe qui ne permet pas un auteur lambda de répondre à un sacro saint modo.
Alors on peut juste fermer sa gueule ici, donc je démissionne.

@ Ilya : "chouiner" n'est pas une insulte. Le jour où l'âge biologique sera synonyme de sagesse et de maturité, ça se saura. Je ne te connais pas assez pour émettre un jugement à ton égard, mais pour le coup, dans ce cas précis, oui, je maintiens, ton comportement s'est avéré immature. Mais c'est pas grave, hein, on n'en meurt pas.

@Notrac : Le jour où tu cesseras tes provocations, et que tu cesseras d'exaspérer les "sacro saints modos", tu seras peut être modéré moins péremptoirement. Mais c'est vrai que la remise en question, c'est plus dur que de crier au scandale.

(et merci de ne pas traiter les textes d'un auteur de merdique... il y a des façons plus polies de dire que tu n'as pas aimé... parce que quand quelqu'un dit ça d'un de tes textes, tu es le premier à te plaindre aux "sacro saints modos")

Maintenant le sujet est clos, prochain post hors sujet ou agressif et le sujet est verouillé pour de bon. Vous êtes prévenus, et ce sera super sympa pour Florent.

Ninjavert