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DaisyLewis
7/2/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Voilà un texte très difficile à commenter surtout que c’est ma première fois. Je me lance !
D’abord, l’écriture est belle, sensible et pudique. Je crois que certains adverbes dans les descriptions des animaux n’étaient pas utiles et le mot problématique m’a arrêtée un instant. Ensuite, l’histoire est fluide et les descriptions sont magnifiques. J’ai suivi le parcours des deux femmes sans difficulté. En lisant « grâce à Dieu » je me suis demandé qui pensait cela : l’auteur ou le personnage. J’aurais aimé en savoir plus sur ce que cette femme ressent pour elle et sa fille, ses peurs et ses espoirs. Mais la contrainte du nombre de signes n’aide pas. Par contre, je suis restée plus perplexe devant le personnage du mari. Je crois que c’est très occidental de penser qu’un homme peut complètement bouleverser son mode de penser traditionnel masculin en lisant des livres. Du coup, j’aurais aimé savoir où et comment il avait appris à lire. D’un côté, il comprend les femmes, mais de l’autre il ne met pas son savoir de l’irrigation pour créer une fontaine plus près de la maison. Ces mecs, tous les mêmes ! Je sais, j´exagère ! J’aime beaucoup ce genre de texte qui raconte dans une belle langue, la vie quotidienne des gens sans histoire et qui sait nous emmener ailleurs en nous offrant de belles images. Merci DL |
Anonyme
7/2/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Le superbe trait d'humour de la fin réveille le lecteur qui commençait à roupiller devant sa télé.
Ou comment faire d'un documentaire intéressant, certes, mais sans surprise, un sérieux candidat au podium. |
Menvussa
7/2/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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La descente vers la rivière avait été rapide. L'imparfait me gêne un peu.
Petit détail technique, l'homme semble avoir maîtrisé la technique de l'irrigation, sur ce qui semble être un haut plateau à en croire la description de gorges profondes où se déplacent les femmes pour aller chercher l'eau... comment fait-il ? Texte bien écrit, agréable à lire mais plus que cela, riche d'un message émouvant. La chute, petit clin d'œil à notre mode de vie dans lequel l'eau, s'il elle a une place prépondérante n'en est pas moins rabaissée à une simple commodité. Ceci étant, gaspiller l'eau, ce n'estpas la laisser couler, c'est la polluer. Et puis ton texte m'a donné l'occasion de découvrir le Loup d'Abyssinie. http://www.dailymotion.com/video/x22pkk_le-loup-dabyssinie_animals |
Filipo
7/2/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Le style est clair, fluide, les phrases sont bien construites, la lecture agréable, pour ce texte très travaillé et bien documenté. Le thème choisi l'est fort à propos, je trouve. J'apprécie aussi l'autodérision de l'auteure, sur sa chute...
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Flupke
7/2/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Bidis,
J'ai beaucoup aimé ce texte qui me fait parfois penser à votre poème "les vaincues". Je retrouve des émotions que j'ai éprouvées en voyageant dans certains pays du tiers monde. Des femmes courbées avançant sous leur lourde charge végétale (probablement pour nourrir le bétail) et des femmes faisant la queue devant un point d'eau avec leurs récipients. Un spectacle qui aide à se rendre compte de l'importance de l'eau dans notre vie et qui nous aide à prendre conscience de notre chance et notre bonheur. En fait, n'est-on pas un tout petit plus heureux quand on est conscient de son bonheur ? Un très bel hommage à toute ces femmes et à leur labeur quotidien. Bravo. Amicalement, Flupke |
Anonyme
7/2/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Sensible, bien écrit. J'aime aussi la pirouette finale.
Bon week-end. |
Malka
7/2/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Ce texte est bien écrit et riche. Il nous fait voyager pour découvrir le témoignage d'une réalité, celui d'un quotidien difficile(bravo pour la recherche qui accompagne la nouvelle et pour l'appropriation réussie des informations). Le message est fort et fait relativiser sur les petits soucis du quotidien: l'intervention de l'auteur à la fin du texte ,qui ne manque pas d'humour, est très appropriée.
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jensairien
7/2/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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je suis soufflé. j'aime bien ce genre de considérations sur le monde qui nous rappelle ce que nous sommes, ici, étouffant dans nos petits intérieurs. La fin donne évidemment tout son sel à l'histoire (qui est très bien racontée, avec beaucoup de sensibilité et de justesse me semble-t-il). Tu as fait vraiment très fort.
L'homme qui se tourne vers la caméra, la spectatrice qui somnole et le bain comme récompense pour la journée éprouvante d'une européenne que le thermomètre déprime. Bravo! |
aldenor
7/2/2009
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Un beau texte auquel je trouve cependant qu’il manque une étincelle… qui arrive bien, avec l’irruption de l’auteur, mais trop tard a mon gout. En survenant plus tôt, cette présence aurait pu se mêler au texte, lui donnant une dimension supplémentaire.
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xuanvincent
8/2/2009
a aimé ce texte
Bien
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J'ai apprécié, comme dans les textes précédents, l'écriture de cette nouvelle (très bien écrite) ainsi que le souffle - presque épique - qui parcourt le récit.
Il m'a simplement semblé que le texte aurait pu gagner à se centrer sur le personnage central de la femme (un peu trop de sujets m'ont paru être abordés dans ce texte court). Le thème de l'eau m'a paru bien traité. L'irruption de l'auteur à la fin du récit m'a amusée mais elle m'a fait justement fait sortir de l'histoire. Sans doute aurais-je préféré que la nouvelle s'arrête avant ce clin d'oeil de l'auteur à ses lecteurs. Merci à l'auteur pour ce beau texte ! |
victhis0
8/2/2009
a aimé ce texte
Bien
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Beau texte. On ne m'empêchera pas de penser qu'il y a un poil de colonialisme bien pensant (ah ces pauvres noirs à qui nous avons apporté la science, c'est quand même bien, non ?), même si je suis sûr que ça n'était pas l'intention de Bidis (juste une sale habitude occidentale de penser qu'on aide les peuples défavorisés, après les avoir pillés de leur culture, et de tout le reste).
Mais, ce commentaire un poil provocateur n'a rien à redire sur la forme, belle et précise. |
macalys
8/2/2009
a aimé ce texte
Bien
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Une très belle écriture qui suscite de magnifiques images. Le texte est construit par "plans" : on voit les hommes, les animaux et les paysages comme s'ils étaient filmés. Cette structure de la nouvelle sert parfaitement la chute, humoristique, comme un petit clin d'oeil au lecteur par un auteur qui ne se prend pas au sérieux.
Mais justement parce que la nouvelle décrit un reportage, le regard est détaché, on ne s'identifie pas aux personnages et certains détails trop "pointus" viennent perturber la lecture : le loup d'Abyssinie, la référence à Homère, par exemple. Ce ne sont pas les mots des "héros" de la nouvelle, ils n'illustrent pas leurs pensées. Et d'ailleurs, j'aurais préféré un regard plus personnel, plus interne sur la situation de ces personnes, qu'elles aient un nom, qu'elles ne soient pas juste l'incarnation de dix millions de [leurs] frères, quitte à faire un développement plus pointu à la fin du texte pour généraliser leur cas. Après tout, de nombreux reportages s'attachent aux pas d'une famille, décrivant leur quotidien, leurs petits malheurs personnels. Donc une belle nouvelle mais trop détachée à mon goût. |
Nongag
8/2/2009
a aimé ce texte
Bien
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Que dire de plus après les nombreux commentaires pertinents déjà émit par mes confrères onirisien. L'écriture est fort belle. La description est particulièrement riche de détails qui permettent de faire un portrait extrêmement précis.
Le point qui m'a agacé c'est qu'on a affaire ici à un "documentaire", une longue description sans aucune intrigue. La pirouette finale, bien que sympathique, n'améliore pas cet aspect du texte. |
Ephemere
8/2/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour, trois choses ont gêné ma lecture, ces adverbes inutiles et innombrables, ces disgressions sur les animaux (ce sont les pensées de qui ? De Bidis, pas de cette femme). Je n'aime pas la fin, ces dix millions, c'est nous ? En quoi cela peut-il l'intéresser ?
Les descriptions sont agréables mais je ne vois pas un ensemble, ni une histoire... du bon coeur certe, de la part de l'auteure. FMR |
marogne
8/2/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Un thème bien sympathique, la sécheresse, l'exploitation des femmes, la pollution de l'eau, mais traité de façon très détaché, trop? Je ne suis pas arrivé à m'attacher aux personnages, et même à l'histoire - les descriptions animales n'aident pas dans ce domaine et détournant l'attention, disgression qui n'apporte pas beaucoup au récit.
Quelques formules que j'ai trouvées un peu "poussées": *la jarre répandant l’eau vitale. *profondeurs abyssales (en ethiopie?) *gracieusement trottine. *marée verte métallisée d’or |
Anonyme
9/2/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'ai beaucoup apprécié le style et certaines images. C'est un documentaire très fourni et bien étayé pour une démonstration sans faille.
Toutefois une restriction sur le mari Il a la chance d'avoir appris à lire... Qui et comment et pourquoi justement ca lui a ouvert les yeux sur le sort des femmes? Un très beau moment de lecture merci |
dude
9/2/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Quitte à lire un documentaire, autant que ce soit celui-ci... et ça change des gnous qui se font bouffer par les crocodiles. ;)
Le texte se lit facilement et on plonge au plus près de ces personnages. Le ton sonne juste et le style colle à l'ambiance. On se demande parfois où l'auteur veut en venir, mais ça reste plaisant. Une chute amusante qui ne gâche rien (mais qui n'apporte pas grand chose de plus). |
costic
11/2/2009
a aimé ce texte
Bien
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J'ai trouvé le texte intéressant, mais j'aurai bien aimé partager davantage les sensations des deux femmes, rester avec elles tout au long du chemin...
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melonels
11/2/2009
a aimé ce texte
Un peu
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Je n'aime pas les documentaire de ce style donc pas leur récit. Désolé le sujet ne m'a pas accroché. A part ça c'est une belle écriture, l'exercice n'était pas facile mais il a été bien relevé.
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David
12/2/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour Bidis,
Je ne sais pas si le récit est celui d'une lecture, d'un reportage, il a été reconstruit bien sûr mais c'est le passage en italique de la fin qui indique que "Bidis" n'est pas encore l'auteur de l'histoire, c'est un projet. Donc il manque un style reconnaissable, catalogable, comme journaliste, écrivain "untel", ethnologue ou autre... Mais j'ai bien aimé cette lecture à rebours qu'implique la toute fin, c'est juste des idées comme ça pour les suggestions. |
guanaco
14/2/2009
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Cette nouvelle me laisse un sentiment mitigé.
Un texte précis, visuel et les descriptions sont détaillées; un thème intéressant et polémique, c'est bien, il en faut de temps en temps pour réveiller nos consciences blasées occidentales; et enfin la chute qui nous permet une petite respiration mais aussi qui nous met une bonne claque dans la g**** Pourtant je n'ai pas réussi à me passionner pour ce texte et pour le destin de ces 2 éthiopiennes. Je ne sais pas, je trouve le texte trop formater, trop neutre (certes on nous dit qu'il s'agit d'un docu télé), j'aurais aimé une histoire plus individuelle ou alors un fait précis qui nous aurait mis en face de la réalité:l'absence de l'eau. Est-ce que ce texte manque d'action, tout simplement? Peut-être, je ne sais pas. Merci pour cette nouvelle Guanaco |
Ariumette
22/2/2009
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D'abord félicitation d'avoir relevé le défi de ce concours !
Mon avis : Un vrai effort d'écriture et la remarque acide au final qui me plaît beacoup. Mais quelques phrases, à la structure trop lourde, qui accrochent comme par exemple :"Ce serait un désastre de tomber et que se casse la jarre répandant l’eau vitale." Pas de note cause concours |
liryc
7/9/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Quel plaisir de relire ce texte que je n'avais pas commenté lors de sa sortie. C'est poignant d'humanité, sans surcharge inutile et avec contruit avec beaucoup tact : un très beau travail dont la forme et le fond amènent à réfléchir, en plus. Bravo.
liryc. |
brabant
19/4/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Bidis,
C'est très beau, super correct comme à l'habitude avec la pointe de dérision finale où vous vous mettez en scène pour relativiser nos petites misères à nous, symboliquement grands dévoreurs d'eau. Si vous nous renvoyez à la grande misère de la sécheresse et de la désertification - ETHIOPIE - je crois que tout a en mémoire la grande famine de 1984-85 avec "SOS Ethiopie", "Do they know it's Christmas" et "We are the world", "Tam Tam pour l'Ethiopie" entre autres... Grand mouvement de solidarité mondiale, si donc vous nous remémorez tout cela, vous prenez soin d'étendre le problème à la nature entière, sa flore et sa faune en soulignant et sa rudesse et son extraordinaire beauté (ah ce loup d'Abyssinie !). Quant à 2003 (bien sûr c'était votre émission télé) le malheur de la sécheresse a succédé au malheur de la guerre. Curieusement ce berceau verdoyant de l'Humanité a aujourd'hui à voir avec la désertification et avec la mort. Puisse ce texte, documentaire et fable philosophique, ne pas être la parabole du cercueil de l'Humanité ! |
matcauth
14/9/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Bonjour,
j'ai bien aimé le texte et son écriture irréprochable. Je crois que le problème tient à tout autre chose. Je pense que la vie que l'on mène nous amène à visualiser ce genre d'histoire (comme noté à la fin, d'ailleurs) mais pas à lire, comme cela se faisait autrefois (je n'étais pas né mais bon). Je pense aux reliures Spirou qu'il y a dans le grenier. Aujourd'hui, cela ne se fait plus. On regarde un reportage, et encore, ARTE n'a pas les audiences de la téléréalité, et on n'est pas prêt ou intéressé par la lecture d'un reportage. D'ailleurs, le mot reportage est assimilé au visuel. Je crois donc que ce texte souffre du postulat de départ, à savoir que, quoi qu'on écrive, le lecteur sera intéressé, mais sans plus. Et c'est malheureusement mon cas ! Merci quand même car, je l'ai déjà dit, c'est bien écrit. |