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Menvussa
20/4/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Très beau récit. De doux souvenirs, quelques uns plus pénibles aussi. Un petit détail que j'aurais aimé voir explicité : La scène semble se passer dans un pays chaud, les prénoms évoqués nous parlent d'Afrique, pourtant les souvenirs prennent corps à Lorient...
Ce texte me semble s'inscrire dans quelque chose de plus vaste. L'écriture est fluide et agréable, précise et clair, détaillée, sans surcharge, permettant au lecteur d'imaginer sans contrainte. Tout petit détail que je constate à l'instant : 18h 30min, le "min" n'est vraiment pas nécessaire. |
Anonyme
20/4/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Merci Marite.
Ce texte m'a particulièrement touché. Et je parie vingt billes en agate que je ne serai pas le seul. J'aurais pu être ton grand frère. Tout ce que tu racontes me rappelle mes propres souvenirs dans la grande banlieue Brestoise. La ville détruite, les baraques, la condition ouvrière, mais aussi la campagne omniprésente, la mer à portée de lance-pierres, et surtout cette formidable énergie née des espoirs de l'après-guerre. Crois-moi, Marite, reste en Afrique. Tu ne reconnaîtrais plus le paradis de ton enfance. |
Anonyme
20/4/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Marite ! Une belle écriture, simple mais précise, au service d'un récit qui me touche d'autant plus qu'il relate une enfance dans ces fameuses baraques américaines ; j'y ai moi-même passé ma jeunesse, dans une autre ville martyre, Brest.
Super flash-back, entre rêve et réalité, à partir d'une Afrique démystifiée par une Mamie qui, semble t-il, sait de quoi elle parle. J'aime beaucoup la "photo jaunie" de ces deux enfants devant leur "maison" de carton ; la petite fille est particulièrement jolie... Un grand merci ! |
Selenim
20/4/2009
a aimé ce texte
Bien
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Beau témoignage ou plane l'ombre palpable de l'autobiographie.
L'écriture est joyeuse, précise; abonde dans les détails utiles. Une histoire simple mais qui résonne avec d'autant plus de force qu'elle a été vécue. Selenim |
clementine
20/4/2009
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Simple et touchant. Des mots vrais pour évoquer des souvenirs émouvants car emplis de sincérité.
C'est si joliment raconté que j'y étais et que j'ai été moi-même surprise par le:"maman, je suis là, tu dors?". La photo est bien accordée au "pastel délicat " du texte. Bien sûr, le présent, c'est l'Afrique? J'aurais aimé le savoir et peut-être situer le récit au présent dès le début. Merci pour l'évocation très imagée de ces beaux et fragiles souvenirs. |
Nicolas
20/4/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Un très beau récit autobiographique. L'ambiance est merveilleusement reconstituée. J'imagine la balançoire sous les tilleuls, la cueillette des mûres, des moments que j'ai vécus et que tu me rappelle avec grand plaisir. La vie offre des moments moins faciles aussi, mais ton texte est aussi plein d''espoir.
J'ai beaucoup aimé ! |
antares77
20/4/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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snif ... c'est magnifique. C'est tres simplement écrit, et très simplement touchant, bravo, à la pointe d'une plume comme la votre vous parvenez à toucher le coeur de vos lecteurs
Pourtant ... je ne suis pas de la génération de "l'après-guerre", loin s'en faut, mais je retrouve les histoires de mes parents, ou de mes grands parents, au travers notamment des photos que j'ai pu voir d'eux et que vous avez si bien su animer tout en tendresse, et ce malgrè les douleurs traversées, mais vous semblez nous dire "cela fait partie de la vie - Soyez Heureux" |
myrtille
21/4/2009
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Mémoire, histoire, morceau de vie. Un peu tout ça à la fois.
Je n'ai pas grand chose à dire, peut-être juste merci pour ce moment de lecture. |
Flupke
22/4/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bravo Marite ! Instructif, très bien écrit et très agréable à lire. J'ai trouvé intéressant l'encadrement avant et après l'évocation des souvenirs dans un contexte géographique très différent. Peut-être une évocation dans une autre nouvelle ?
Amicalement, Flupke |
widjet
23/4/2009
a aimé ce texte
Bien
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Mis à part quelques broutilles (entre autres les dispensables Ah ! oui c’est vrai, il faut revenir sur terre ou l’adverbe « parfaitement » dans Nous étions parfaitement heureux ), c’est un bien joli texte où le passe chargé de nostalgie et de tristesse remonte à la surface d’une vieille mémoire.
C’est simplement écrit mais fort justement, l’auteur s’attachant aux détails pour rendre le tout bien vivant. La photo en noir et blanc ajoute une authenticité à ce récit réaliste et attendrissant. Une réussite. Widjet |
liryc
24/4/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Merci Marit pour ce beau témoignage, riche de repères historiques qu'ils est bon de raviver au présent. On y sent l'amour de la vie, des moments forts qui se savoure dans la précarité et une sincérité sans fioriture. Je suis aussi de la génération suivante. Je l'ai donc lu avec un double plaisir du début à la fin et vous encourage à continuer.
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Pandora
26/4/2009
a aimé ce texte
Bien
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Une écriture fluide, vraie, pour un récit authentique, riche et fort de descriptions détaillées; peut-être un peu trop ? Qu'importe, je me suis laissé bercer par ces souvenirs mélodieux...
Au plaisir, Pandora. |
colibam
3/6/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Belle évocation d'un passé chaotique mais vécu avec l'insouciance relative de l'enfance.
Un texte fluide, des mots choisis avec justesse. J'attendais juste une autre fin avec le présent africain. |
ANIMAL
14/8/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Juste le temps d'un rêve... juste le temps d'une vie.
Magnifique texte empli de tendresse. Un regard en arrière par dessus son épaule au crépuscule de sa vie. Bienheureux celui/celle qui a encore sa mémoire et peut se promener dans son passé. L'écriture est superbe, limpide, elle sonne juste. Merci pour ce joli florilège de souvenirs. |
marogne
13/9/2009
a aimé ce texte
Un peu
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J’ai hésité à commenter ce texte tant il me semblait personnel, plus un souvenir de la propre vie de l’auteur qu’une histoire que l’on raconte. Et je crois que c’est un peu par cela qu’il pèche. Pas assez convainquant pour être une histoire, un peu trop « souvenirs qui remontent », comme si l’auteur, indépendamment de la forme, avait voulu à tout prix nous faire partager cette vie ; dommage.
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Bidis
28/2/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Beaucoup d'atmosphère dans ce texte simple mais fort touchant.
J'ai trouvé un peu lourd le "se font entendre" dans "Quelques musiques bien rythmées se font déjà entendre" mais autrement, je n'ai rien à dire, c'est très bien écrit. |
monlokiana
12/1/2013
a aimé ce texte
Passionnément
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Honnêtement, je ne suis pas tombée par hasard sur ce texte. Marite est une onirienne qui intervient beaucoup sur le forum et je me suis dit que ce serait intéressant que j'aille jeter un coup d'oeil sur ses écrits. Et je ne regrette pas de l'avoir fait! Oh que non! Pourquoi ce texte parmi d'autres? Le titre m'a spécialement attiré.
Et le récit est magnifique dans tous les sens. C'est très bien écrit (pas de pathos ni de cliqués, pas de termes compliqués, pas de tournures bizarres ou de phrases longues...) Je ne sais pas si c'est du vécu, mais c'est très bien raconté. Ce sont de très beaux souvenirs et c'est tellement dommage que Françoise soit venue tout interrompre. Bref j'ai adoré ce récit parce qu'il émouvant, parce qu'il reflète de véritables souvenirs et que la touche émotionnelle y est. Et la note est sincèrement méritée. |
brabant
12/1/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Marité,
Curieux texte qui semble évoquer le souvenir d'un temps heureux mais relate des blessures non cicatrisées : blessure du père, mort de la mère et désertion du frère, le tout sur fond de guerres. Morceau de France transporté en Afrique qui n'a pas réussi à opérer l'oubli. Où est donc ta magie Africa ? Pourquoi Marité, dont le pseudo ressemble tant à Karité, rêve-t-elle encore tant de ce coin de Bretagne ? Est-il donc vrai que l'on ne guérit pas de son enfance et qu'une enfance, même malheureuse, prend des allures de bonheur dans la mémoire ? Que regrettes-tu ici Marité sinon l'innocence ? Les enfants ont des capacités de bonheur insoupçonnées ! Le bonheur est avant tout une question de regard... Heureusement la magie a opéré sur Françoise. Je me demande ce que peuvent lui être ces albums de souvenirs ? Les a-t-elle faits siens ? Possède-t-elle ses propres albums = d'autres albums ? Je découvre ici la nostalgie infiniment triste d'une femme qui, passant lentement le témoin, opère un retour aux sources avec des mots et des émotions dépouillés. Afrique ! Berce-la ! Elle t'a beaucoup sacrifié ! Il est temps de lui rendre ce que tu lui dois ! Que dansent tes griots ! Qu'ils la chantent ! Juste retour des choses ! |
Anonyme
1/8/2013
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Marité,
je trouve ce récit très agréable à lire. J'ai eu l'impression de faire une veillée et que cette mamie me racontait son histoire. Merci de l'avoir écrit pour nous. Fateata |