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Lariviere
23/8/2007
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Martin,
S'il ne s'agissait que de la poésie et de l'imagination, pour moi (au risque de faire grincer de sésériosité les dents des commentateurs les plus rigides), tu gagnerais allégrement et haut la main ton petit 20/20... Il y a toujours dans tes textes cette drôlerie et cette écriture légère teintée d'un je ne sais quoi de mélancolique que je retrouve dans certaines bandes dessinées (comme Franquin par exemple). Tes personnages sont toujours un mélange ridiculement poétique ou poétiquement ridicule, d'absurde (avec eux tout est possible, même atteindre l'Everest) et de drôlerie (les situations si on y prend la peine de ressentir plus que de commenter techniquement, sont toujours burlesques)... Que ton style soit voulu (je me le demande fortement) ou soit pulsionnel (je penche plus pour cela) importe peu. Peut être même que cela penche en ta faveur dans ma balance... Et tant mieux !... Les émotions c'est aussi cela la littérature ! Seulement il n'y a malheureusement pas que ça... Il y a aussi la forme... La façon dont ton histoire se retrouve couchée sur le papier après l'avoir imaginée et écrite. D'ailleurs, je félicite les "nègres oniriens" qui ont du travailler d'arrache-mains sur la syntaxe et l'orthographe de ce récit... Sinon, bravo, Martin !!! Tu t'es drôlement amélioré... Dans tous les cas, Il faudrait quand même songer à mettre un peu de technique dans tout cela. Même si je parle dans le vide, je te le dis : Essaye de diluer un peu tes dialogues dans un contexte descriptif. Décrit les images, mais pas dans la bouche des personnages. Dans ta bouche à toi. Ensuite laisse galoper ton imagination... C'est déjà beaucoup. |
Cyberalx
25/8/2007
a aimé ce texte
Un peu
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Mon Martin, il m'est très difficile d'être objectif et impartial lorsque je lis quelque chose de toi.
Comme le dit si bien le Colonenel Lariviere, il y a quelque chose dans ce que tu écris d'extrêmement touchant, de la poésie pure, et tous ceux qui n'auront pas lu cette gigantesque oeuvre contemporaine qu'est : SLIDERS : La fuite de Milou ne peuvent pas forcement le percevoir (je ne peux que vous encourager à y aller, amis et voisins !!!). Des progrès, tu en a fait et ils sont de taille ! Mais hélas, ce n'est pas encore assez, il va falloir travailler encore dans le sens du plaisir que tu dois donner en étant lu, un exemple ? Voici une partie d'un de tes dialogues : - Oui Laurel, mais pour quelle raison tu me demandes ça ? - Pour aller le visiter le Pérou après les études, Martin. - Très bien, Laurel, nous irons visiter le Pérou après nos études. Il y a des répétitions qui certes, font ta marque de fabrique mais qui au bout de quelques pages deviennent (un peu) pénibles. Ce même dialogue, tu pourrais l'écrire ainsi : - Oui, mais pour quelle raison tu me demandes ça ? - Pour aller le visiter le Pérou après les études, Martin. - Très bien, nous irons. La poésie qui se dégage de tes textes touchera ou ne touchera pas, mais tu agrandirai certainement le panel de tes lecteurs en prenant en compte cette remarque et en l'appliquant à tes dialogues. En tout cas, Martin, bravo ! Bravo pour ta persévérance, tu ne baisses jamais les bras, tu es un travailleur acharné et c'est là, une des qualités premières de l'écrivain. Je mettrai une note à ton texte lorsque j'aurais lu tous ceux du concours. |
Togna
23/8/2007
a aimé ce texte
Bien
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Il y a dans cette nouvelle une poésie candide qui a suscité immédiatement mon attention et l’a maintenue jusqu’au bout.
Chaque petite scène, si succincte soit-elle, provoque une image de bande dessinée pour enfant, et cela est suffisant pour pardonner le style naïf. Les reprises incessantes par Martin des propos de ses amis, qui seraient lourdes dans tout autre style, ne sont pas gênantes ici. Elle contribue à la fraîcheur enfantine des dialogues. Certes, il n’y a pas de descriptions des lieux, ni même de l’Everest, mais qu’importe, j’ai suivi Martin dans son monde fait de poésie, d’imagination et de fraîcheur. Je ne lis jamais les commentaires précédents avant de faire le mien. Une façon de garantir ma sincérité. Cependant, je les lis avant d’envoyer. Mon seul conseil sera de t’inciter à suivre ceux de mes prédécesseurs, ils sont à la mesure de leur talent. Tes répétitions ne m’ont pas gênées probablement parce que c’est le premier texte que je lis de toi, mais, si Cyber dit qu’elles sont gonflantes à la longue, c’est qu’il te faudra faire quelque chose de ce côté-là. |
Ninjavert
24/8/2007
a aimé ce texte
Pas ↓
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Je dois avouer que je ne partage pas l'enthousiasme (même s'il est modéré par certaines critiques) de mes prédécesseurs...
Comme ça a été dit, ton style Martin, évoque plus que fortement de la bande dessinée, teintée d'un aspect enfantin très rafraîchissant. Mais les lacunes techniques sont trop importantes, pour me permettre d'apprécier ces quelques éléments. Cyber l'a dit, ces répétitions font partie de ton style, mais passé deux paragraphes j'avoue que je sature. Ca en devient fatiguant à lire, et du coup tout le plaisir disparaît. Le fait que ton histoire repose quasi-exclusivement sur des dialogues est également déroutant. Raconter quelque chose au travers d'un dialogue est un exercice extrêmement difficile (tu peux jeter un oeil au texte de Pat, qu'elle a écrit pour le concours), et comme ça t'a été conseillé, tu devrais essayer d'incorporer des éléments narratifs dans ton histoire, entre les dialogues, un peu plus développés que "ils entrèrent dans le vortex et allèrent au Népal". Tu as également une faculté d'entrer dans les détails pour des choses totalement futiles (les 20 lignes de discussion sur le magasine de chaussures par exemple), et de complètement passer à la trappe des éléments qui seraient agréable à lire, sur les lieux, les situations dans lesquelles tes personnages sont situés... Moi qui aime la technologie, la technique, j'aimerais bien que tu nous détailles un peu les innombrables gadgets de Martin, que tu nous en expliques un peu le fonctionnement, mais on a rarement droit à plus qu'un "il appuya sur un bouton et hop" ou un "il ouvrit le vortex"... Au final, ces gadgets servent à tellement de choses, qu'on en perd le goût car ils annéantissent toute contrainte que l'histoire pourrait poser. (Y a-t-il quelque chose que le minuteur de Martin ne puisse pas faire ?) Je suis un peu dur, j'en ai conscience, mais ce sont des lacunes qui te priveront de bien plus de lecteurs, que la poésie, la sensibilité à fleur de peau, et l'investissement que tu mets dans tes textes ne t'apporteront. Larivière a cité Franquin pour la bande dessinée, je pourrais aussi parler d'Hergé, de Roba, de qui on veut, mais tous ces dessinateus maitrisent parfaitement leur sujet. Le burlesque qu'on y trouve est mis en scène, calculé, aussi bien graphiquement que dans le rythme, les dialogues, les situations. Gaston Lagaffe est le premier à utiliser des gadgets à la noix, à se retrouver dans des situations cocasses, mais rien n'est laissé au hasard, la moindre de ses gaffe est calculée au milimètre près. Même (surtout) une histoire pour enfants, doit avoir une structure, un fil directeur, un début et une fin. Dans tes textes, tout est tellement décousu, rien ne se suit, rien n'est cohérent ni incohérent, c'est juste là. Alors effectivement, ça dégage une certaine forme de poésie abstraite et burlesque, mais sans structure aucune, ça ne marchera jamais auprès de lecteurs comme moi, qui pourtant adore la bande dessinée, le burlesque et le sans dessus-dessous... Comme Togna, j'ai été beaucoup plus indulgent à ma première découverte d'un de tes textes de Sliders (celui avec les extra-terrestres) mais j'avoue que passé l'effet de surprise, je sature absolument. Ton style est à la fois beaucoup trop quelque chose, et pas du tout assez autre chose. Tu dois continuer à travailler la structure de tes textes, de les doter d'un début, d'une fin, et d'un cheminement, les rendre plus ouverts, changer les points de vue, essayer de lier les évênement entre eux de façon logique (même si cette logique elle même est décallée), travailler tes personnages (on ne sait rien d'eux), etc. Ma note est sévère, mais elle ne fait que respecter les conseils d'appréciation du site. Ecoute les encouragements qui te sont adressés Martin, tu as une capacité de production impressionnante et une façon d'aborder l'écriture pour le moins fascinante, mais il faudra à un moment, que tu prennes également les critiques en compte si tu veux élargir ton cercle de fans :) Bon courage, et essaie de travailler en ce sens... Ninj' |
martin
23/8/2007
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Vous n'avez pas compris ce que c'est l'histoire du mont Everest.
Ca raconte l'histoire de Martin et de ses copines qui part au népal pour allez à la recherches de Kylie Minogue qui se trouve dans un igloo. Relisez-le et vous allez comprendre. |
guanaco
23/8/2007
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Je ne connais pas très bien les textes de Martin, je suis un peu (j'essaye en tout cas!) "Sliders: la fuite de Milou. Je dois reconnaître que du point de vue du style, je suis complètement dérouté, décontenancé. Création d'un univers propre, certes, on ne peut pas le nier: ce texte crée sa propre dimension, reste à savoir laquelle.
En ce qui me concerne, je rejoins le commentaire de Ninjavert pour l'essentiel... Grande capacité imaginative et créatrice mais les outils pour en faire part ne sont pas au point. |
Bidis
24/8/2007
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Cette nouvelle m'a irrésistiblement fait penser à Salinger.
Et je ne suis pas du tout d'accord avec la correction du passage "- Oui Laurel, mais pour quelle raison tu me demandes ça ? - Pour aller le visiter le Pérou après les études, Martin. - Très bien, Laurel, nous irons visiter le Pérou après nos études." C'est cette répétition qui crée la poésie justement -- la poésie de l'enfance. Si un passage devait être modifié, ce n'est certainement pas celui-là. Car peut-être y a-t-il trop de répétitions, c'est possible. Mais comment n'avoir pas laissé ce qui est poignant, génial, unique prévaloir sur la forme ! Pour ma part, j'aimerais beaucoup relire cette nouvelle après qu'elle ait été retravaillée par son auteur. Car il est vrai qu'il manque un peu de texte autour des dialogues. C'est le seul reproche que je ferais. |
Athanor
26/8/2007
a aimé ce texte
Bien
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Alors... Que dire sur cette nouvelle "exotique" de Martin ?
Tout d'abord, je constate que Martin a fait d'énormes progrès depuis son apparition chez Oniris (bien qu'il soit arrivé avant moi je crois). Ensuite, j'ai trouvé dans son texte, quelques petites pépites qui transpirent l'humour et la tendresse vrais : * Une australienne (je suppose bronzée) répondant du nom de Kylie Minogue dans un igloo himalayen. Rien que ça, il fallait oser. Et je ne sais pas si nous sommes si loin de la réalité lorsqu'il est dit que l'une des filles est allée à l'école avec elle... À creuser... * Les filles... Cela me rappelle une certaine série télévisée... Vous avez dit puéril ? Soit ! Mais c'est peut-être un repère. * Le sentier pour monter en haut du mont Everest. Quel drôle d'euphémisme ! * La déclaration de Martin "...Excuse-moi, mais j’ai le droit de m’amuser, moi aussi..." qui semble quelque part expliquer la présence de l'auteur chez Oniris et sa démarche littéraire. * Le fait aussi que l'on doit toujours respecter une promesse faite lorsqu'il écrit : "...Martin m’a dit qu’il en voulait un, manteau de cuir, et je lui ai dit ceci : « Quand je vais aller au Népal, je t’en achèterai un »...". En résumé, le niveau du vocabulaire semble effectivement puéril mais il arrive à faire passer des messages. Les répétitions sont certes lassantes à la longue mais savons-nous dans quel contexte sont rédigés les dialogues ? Et puis elles donnent de la vie à cette aventure en insistant sur l'échange verbal, la communication audible et compréhensible pour les acteurs. Conclusion. Martin ! J'ai beaucoup aimé ta nouvelle sur le Mont Everest. Essaie à présent, dans tes prochains épisodes, d'améliorer la qualité des dialogues en mettant des mots un peu plus difficiles. Essaie aussi de ne pas trop répéter dans les dialogues car à force, on ne sait plus qui parle. En attendant, je suis content d'avoir lu ta nouvelle et que tu aies pu visiter le Mont Everest et la neige de Bosco car moi, c'est sûr, je n'aurai jamais cette chance. |
Absolue
30/8/2007
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Pour ma part, il m'est impossible d'évaluer les textes de Martin...
Tout cela me laisse perplexe... |
Anonyme
31/8/2007
a aimé ce texte
Pas
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Tout cela na pas grand intérêt. Que dire d'autre que ce qui a déjà été écrit dans les précédents commentaires.
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Nico
7/9/2007
a aimé ce texte
Pas
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Bon, pour la petite histoire, je dois signaler que martin m'a bien fait rire.
Son premier envoi parlait évidemment du mont éverest, mais ne faisait pas mention d'une carte postale. martin a donc renvoyé une seconde version « adaptée » aux contraintes du concours, et j'ai été littéralement plié en deux de découvrir, non pas une carte, mais l'ensemble des cartes proposées pour le concours : « - Dis, Martin, est-ce qu’il y a d’autres cartes postales ? - Oui, il y a le désert du Rajasthan - en Inde. Stonehenge – au Royaume-Uni. Il y a l’île de Bora-Bora - en Polynésie française, avec ces belles plages de sable pour se baigner en hiver. Et il y a celle du Mont Everest – au Népal/Tibet, ainsi que cette lettre, les filles. » Je dois reconnaître également qu'il y a un progres non négligeable dans la production de martin. Mais ce progres doit encore être continué encore et encore pour arriver à un résultat correct. En tout cas, c'est sur la bonne voie. |
Anonyme
8/9/2007
a aimé ce texte
Pas ↑
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"Dites les filles, voilà un texte facile à lire."
Et ce n'est pas une critique. Euh je dis les filles mais les garçons sont aussi concernés. Par contre je ne vois pas bien le sens de l'histoire et des siituations (même après deux lectures!). Les personnages ne m'en disent pas plus sauf ici et là des éléments à reconstituer. |
Anonyme
30/7/2008
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Hm, moi je me demande si ce vortex ne crée pas également des failles temporelles... la gamine du Népal (Kylie Minogue entre 40 et 50 ans actuellement si je ne m'abuse) en classe avec Maggie (ou j'ai mal compris) avant que celle ci ne s'installe au collège...? et le manteau qui est là en fin de compte alors qu'il n'y était pas... on nous cache des choses...
Oulà migraine quand tu nous tiens! Bref, ici j'ai ce que je demande dans ma dernière évaluation, un peu plus de choses dévoilées sur Martin et ses "filles"... By the Way, Martin, je pense que c'est très clair que les personnages grimpent l'Everest... Moi du coup j'ai pensé à Martin Matin ... Enfantin, mais souffrant de certaines redondances... et puis ces passages : Martin dit ceci, ils allèrent là... Oui, ça manque d'étoffe... même si l'humour est là, y a pas que ça! |
widjet
30/7/2008
a aimé ce texte
Pas
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Je vais pas prétendre le contraire, et encore moins mentir.
Les textes de Martin, je peux les prendre en long en large en travers, au 2è, 3è, 10è degré...ça passe définitivement pas. J'ai rien contre le postulat de départ joliment loufoque....mais les dialogues madre de dios....Interminables, vains et répétitifs (les mêmes mots utilisés dans les questions et réponses...alors c'est peut etre voulu mais bon...). En un mot insupportables. Les personnages ? A gifler (effet volontaire ? Dans ce cas c'est réussi). Je suis pas pour tartiner un texte de descriptions, parfois ça s'impose pas....Mais si le lieu s'avère être la montagne, autant y mettre quelques détails même succintement ??? Faudrait penser à élaguer un peu, condenser, donner un rythme (même lent....je n'ai rien contre la lenteur, au contraire mais ça se travaille aussi). Je pense de + en + que les textes de Martin fonctionneraient mieux sous forme "parlée" (avec les mimiques et les voix des personnages, ça peut obtenir l'effet escompté...faire rire) Ok j'arrête là sinon on va encore spéculer je ne sais quoi....:-))) Maintenant c'est bon, je suis prêt : jetez moi des pierres.... Widjet |
Menvussa
8/1/2009
a aimé ce texte
Bien
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Martin, ce texte m'a amusé, il est plein de fraîcheur. C'est vrai que tes personnage semblent tout droit sortis d'une bande dessinée, Sylvain et Sylvette, Jo et Zette, les Pieds Nickelés. C'est vrai aussi qu'on y trouve de la poésie et si le style est un peu laborieux il n'en demeure pas moins que tes personnages prennent corps à mes yeux et c'est plutôt bien. Bon le Mont Everest reste celui de la carte postale, on y meurt pas de froid et c'est tant mieux. Le minuteur est une idée plaisante. Un téléporteur au format d'un minuteur ce serait fort pratique.
Au plaisir de te lire. |
Anonyme
12/3/2009
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Déconcertée par le style, j'ai fini par entrer dans le jeu, et j'ai aimé cette poésie, cette fraîcheur, ces répétitions qui appellent une contine. J'ai beaucoup aimé ce rêve offert, cette magie et au cours de ma lecture, j'ai imaginé Martin en train de passer le balai dans la cafétéria, un soir où il était seul, ses yeux s'étant posé avant qu'il ne prenne le travail, sur une carte postale hymalayenne. J'ai aimé ce petit délire qui en est sorti.
Merci pour ce petit moment rempli de poésie. |
Marquisard
20/6/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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c'est fou, assurément fou, j'ai adoré. La simplicité sans entrave, du reve brut, de l'imaginaire de première bourre, vraiment j'ai adoré. jusque dans la forme, le déroulement de l'histoire, le style, les mots... c'est d'une banalité inimitable. vraiment, merci.
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Mistinguette
5/2/2010
a aimé ce texte
Bien
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Le moins que l’on puisse dire, c’est que ce récit sort des sentiers battus ! Je ne chercherai pas à l’analyser (j’en serai bien incapable) mais simplement dire mon ressenti…
En fait j’ai beaucoup aimé, j’ai souris tout au long de ma lecture et par moments j’ai même franchement ri. De plus, je ne saurais dire pourquoi, ce texte m’a fait penser à un Shamallow : léger, tendre et sucré… |
Mwa
29/3/2010
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Hmmm...
La derniére phrase (entre autre) et trés maladroite : AINSI CE TERMINE ... Le style trés enfantin pourrait à la rigeur passé si les répetition et les phrases maladroite ne l'entravait pas... J'ai personnelement du mal à te noter... |
caillouq
1/11/2010
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Woaw, c'est, heu ... surprenant. Je ne sais pas si je pourrais tenir deux cents pages, mais là, ça donne tellement envie de savoir sur quoi ça peut déboucher que j'ai tout lu. Même les répétitions.
Parmi les nombreuses questions que ce texte engendre, j'aimerais savoir à quel point le ton évangélique aux ~ 2/3 du texte est voulu (les répétitions de "il dit"), ainsi que les diverses possibilités d'interprétations scabreuses ... Un texte qui en rajoute une bonne couche sur les mystères de la création. Et sur la notion de degré dans l'écriture. Impossible de le noter, c'est un tel ovni, mais j'aimerais bien en tâter d'autres. Pour voir. |
martin
5/7/2012
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Commentaire modéré
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phoebus
5/7/2012
a aimé ce texte
Bien ↑
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Ces personnages sont d'un réalisme surprenant malgré des éléments de science-fiction comme le vortex, la pensée magique qui a une solution pour tout, au lieu de s'émerveiller de tels gadgets ils restent passionnés de glissades, de bataille de boules de neige. Toutes les scènes sont d'égales importances même l'intrigue, le fil conducteur, n'est là que pour permettre aux personnages de vivre de façon surréaliste des moments joyeux. Les héros ne s'opposent qu'aux éléments naturels le froid, la tempête, la hauteur du mont Everest. Après avoir vécu des moments intenses tous retrouvent le cours normal de leur vie. La narration a été réduite à la portion congrue et tout passe par les dialogues. C'est le principe de la BD. Il suffit au lecteur de construire mentalement les vignettes qui sous-tendent.
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Anonyme
17/4/2013
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Bonjour Martin
Un beau matin, je suis tombé par hasard sur votre récit. Non, pas par hasard en fait : je venais de lire certaines de vos interventions sur les forums d'Oniris, et j’ai eu envie de savoir quel auteur se cachait derrière l’Onirien... Peut-être trouverez-vous surprenant que l’on puisse encore commenter sept ans après la publication d’un texte ? Votre récit ne ressemble à rien de ce que j’ai pu lire sur Oniris. Il fait partie de ces productions tellement originales que finalement, on fait face à deux options radicalement opposées. Ou bien l’on décide que l’on va vous aider et proposer des changements, et dans ce cas, il faudrait tout changer, ou presque ! Ou alors on se positionne en tant que lecteur, et dans ce cas, soit on est désarçonné, soit on a été conquis. Moi, j’ai été conquis :-) Dans sa forme comme dans son fond, votre texte est un mélange étonnant de poésie et de surréalisme, et ne respecte aucune des conventions traditionnelles de construction d’un récit. Je ne sais pas si telle était votre intention (on ne sait jamais vraiment les intentions de l’auteur, dans le fond) mais moi, c’est comme cela que je l’ai perçu ! Je vous encourage à persévérez dans l’écriture. N’écoutez personne (y compris moi) et faites-vous plaisir. Proposez vos textes. Un jour, je l’espère, l’un d'eux passera le filtre du Comité Éditorial d’Oniris, et quand cela arrivera, vous pourrez me compter parmi vos premiers lecteurs ! Merci ! Jérémie Cassiopée |
Annick
9/9/2016
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Comme c'est toi, Martin, qui m'a mis un lien sur le forum pour que je lise ton texte, je l'ai donc lu et j'ai écrit un commentaire car je pense que c'est ce que tu attends de moi.
C'est un récit qui me semble écrit par quelqu'un de très jeune. Le côté positif, c'est qu'il est frais, candide. Mais il y a des répétitions, des imprécisions, des évidences, des dialogues souvent inutiles et ternes. Revoir la notion de dialogue, ce qui te permettra d'alléger la forme. (propositions incises). La fin est confuse. L'histoire est superficielle. Mais continue à écrire, Martin, car comme tu es volontaire, tu feras des progrès. |
papipoete
12/12/2022
a aimé ce texte
Bien
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bonjour martin
je viens commenter ce texte, pour te mettre un peu de baume au coeur, après que le bateau Oniris faillit couler, assailli de toutes part qu'il était... et toi, depuis 2007 que tu embarquas, es resté sur le pont contre vents et marées ! Commenter une nouvelle, pour moi qui ne touche pas ma bille en la matière, est un peu présomptueux, mais j'essaie de te suivre dans cette ascension, où je risque fort de me casser la gueu... figure ! Et le héros entraîne une meute de nanas, à la recherche de Kilie Minogue, partie là-haut qui reste coincée ( heureusement pour elle ) sous un igloo dans l'attente de sauveteurs. Comment ne pas geler sur place ? y'a des manteaux aux super-pouvoirs auxquels notre " Nicolas Vannier belge " a songé, et tant d'autres astuces à faire pâlir la N.A.S.A que notre australienne, enfin sera retrouvée saine et sauve ; et le sauveteur si fier de son exploit ! C'est ainsi que naîtra la fameuse saga de Laurel, martin, maggie et le fidèle milou... blanc comme la neige de l'Himalaya ! NB depuis 15 années, notre ami nous entraîne dans des labyrinthes, où une boussole magique est absolument nécessaire, mais je crois qu'il faut le suivre en fermant les yeux, et se dire on y va ! J'en profite pour faire un petit clin d'oeil à ces gens du Népal, du Thibet dont l'on ne parla jamais autant, depuis qu'au Qatar s'y déroule une compétition mondiale ; il semblerait que ces gens y soient pour quelque-chose ? Cher martin, je vais prendre ( comme à l'école des fans de Jacques... Martin ) ma pancarte où ma note est marquée ; je te la montre en-dessous ; j'ai gravi l'Everest mais surtout ne dis à personne, que des sherpas me portèrent sur leur dos, tout le temps... |
ALDO
19/7/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Unique !
Quelle glisse ! J'ai descendu de nombreuses fois les pentes de ce texte ! Quel plaisir ! Quelle étrange et vive lumière derrière ces lignes claires ... De quel dessin un peu d'enfant étrange et lumineux ? Malice ou pureté ? Minogue, Vortex-Minuteur ...un conte pour un ailleurs... Je ne peux pas continuer vos histoires, Martin, je suis encore trop adulte... Mais j'aimerais que la descente soit plus longue... |