Chaque fois que je me raconte cette histoire, je m’imagine observant un microcosme à travers la lentille grossissante d’un microscope. La réalité comprimée entre deux parois de verre se dilate et se délite dans un espace liquide pour suinter sur la pente gluante de l’imprévu… avec la musique de « Pirates des Caraïbes » en fond sonore.
|