« Le paradoxe de la haine c’est d’être comme l’amour : une limite extrême des sentiments humains à partir de laquelle il n’y a plus de mot pour en décrire la force. » Jean-Michel Wyl
Et qu’est-ce que tu fais des types qui mangent des briques et se noient dans le fleuve ? Et pourquoi tu ne dis rien, pourquoi personne, jamais, ne dit la vérité, réellement, dis-moi pourquoi ? Tu ne sais pas, hein ?
Le rêve se déroule dans un noir absolu, sous forme d’un dialogue avec une présence étrange. C’est un mystérieux compagnon du noir qui s’est mis à m’interroger sur mes croyances et qui s’amusait à me les reproduire avec une ironie et une moquerie aussi logiques que déconcertantes. Ensuite, il m’a étalé une autre perception de la vie, de la mort, de Dieu et de l’au-delà. Bonne lecture …
Sous forme de réflexion générale sur l'existence de l'eau et de la nécessité de préserver ce bien précieux et essentiel à la vie. Sorte de nouvelle poétique, bobo écolo.
Un début, un milieu et surtout une fin, c'est tout. Un tout, un résumé. Se questionner au travers d'une histoire banale. Convenue. C'est sur le manque, l'absence, mais surtout sur le sentiment d'être vivant. Présent, ici et maintenant.
Simple courrier à la présidence de la république (effectivement envoyé et auquel il a été répondu) à propos d"une polémique récurrente sur la réimplantation, de l'ours dans les Pyrénées.