Cette nuit résignée, parfumée, complice de cette brise légère caressante, qui me chuchote – je l’entends encore : « Toi, tu ne peux rien, lui il peut tout. Tu n’es qu’un corps à disposition, et n’essaye pas de te défendre, tu le sais bien on te l’a assez répété: tu ne pourras jamais rien y faire ».
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